Le lundi suivant, j'arrivais au boulot à 7h tapantes, comme d'habitude, et cette fois, je n'avais pas de café qui m'attendait sur mon bureau, mais un thé. Enfin, il a fini par acceder à ma demande. J'avais changé mon style vestimentaire pour aujourd'hui, j'ai opté pour une mini jupe un peu plus haut que les genoux, il faut tout de même que ca reste correct, avec un chemisier, des collants et escarpins, sans oublier des petites lunettes de soleil pour faire cool et branchée. Je déposais ma veste sur le dossier de ma chaise et allais directement avec mon thé toquer au bureau de mon patron.-Entrez !-Coucou ! Dis je souriante en passant la tête dans l'ouverture. Ca va ?-Oui, et toi ? Eeeh, jolie tenue. Complimentait il en me voyant.-Merci beaucoup. Souriais je. C'est vrai, ça te plait ? Lui demandais je en tournant sur moi-même.-Tu es superbe ! M'assura t il. Ton week-end s'est bien passé ?-Bof, dis je en haussant les épaules. Il avait bien commencé parce que je t'ai croisé et qu'il y a eu ce qui s'est passé dans la cabine d'essayage, mais ça a tourné au fiasco a partir du moment ou je t'ai quitté.-Merde, qu'est ce qui s'est passé ? J'espère que c'est pas trop grave. S'inquiéta t il.-Eh bien, mon obligation était mon fiancé qui m'a appelée en urgence. Quand je suis arrivée, on a discuté cinq minutes et il a décidé de rompre parce qu'il avait trouvé quelqu'un d'autre. En un mot, je suis passée en l'espace de dix minutes du statut de fiancée à célibataire. Expliquais je tranquillement en levant les yeux.Il se leva de son bureau, s'avança vers moi, et m'enlaça tendrement.-Navré.Est ce que je peux faire quelque chose pour toi ? Me demanda t il en me caressant tendrement les cheveux.Je l'enlaçais à mon tour. Quand j'étais dans ses bras, je me sentais bien, tout simplement. Je savais que rien ne pouvait m'arriver. Mon coeur battait à tout rompre. C'est de ça, dont j'avais le plus besoin, de tendresse. Et lui me comblait parfaitement. Quand on était rien que tous les deux, je sentais que j'étais unique pour lui, à sa façon de me parler, de me regarder, de me toucher. Même ses baisers étaient tendres. Est ce que j'étais amoureuse de lui, ce qui m'a permis de ne pas trop souffrir de ma rupture avec Denis ?-Je te remercie. Dis je en renforçant mon étreinte, et posant ma tête sur son épaule. Je ne suis pas triste, parce que je me rends compte que c'est beaucoup mieux comme ça, de toute façons, on ne se voyait plus, on ne faisait rien ensemble, enfin, bon, je te passe les détails.-Ecoute, si il te faut quoi que ce soit je suis là, ok ?-C'est de toi dont j'ai besoin. Dis je simplement.Notre étreinte se relâcha, nos regards se croisèrent et ses mains chaudes se posèrent sur mes joues. Le temps avait comme arrêté sa course. Nous restions immobiles sans dire le moindre mot. De toute façons, qu'est ce qu'il y avait à dire ? Sa bouche se rapprocha de la mienne pour me donner le plus doux, long et chaleureux des baisers qu'on ne m'aie jamais donné, un baiser tendre, sans la moindre arrière pensée qui me rappelait que la vie pouvait être belle a l'aide d'un simple geste tel que celui ci. Cet instant n'était qu'à nous. Hélas, je ne m'étais pas rendu compte que l'heure avait tourné à une vitesse incroyable, tant le moment que nous avions partagé était magique, et j'ai été obligée de reprendre mon poste. Durant la pause repas, nous avions pour habitude quand nous le pouvions, de nous retrouver en groupe dans un restaurant à coté du boulot. Et alors que je mangeais une pizza avec un collègue avec qui je m'entendais bien, je voyais mon patron à quelques tables de nous, presque face à moi. Je ne pouvais m’empêcher de lui lancer quelques œillades avec une lueur sexuellement expressive dans les yeux, tout en mettant discrètement le bout de mon index dans la bouche. Il n'a pas dû louper une miette de mon petit manège, parce qu'il me regardait avec envie durant presque tout le repas.La fin de la journée arriva bien vite, le bureau se vida peu à peu, moi, je finissais de taper un rapport, et je pourrais enfin partir, surtout que ma sœur m'a invitée à dîner, lorsqu'on frappa à la porte.-Oui, entrez ! Dis je, plongée dans mon travail en vérifiant que je n'avais pas commis d'erreur.Mon patron entra dans mon bureau. La fatigue se lisait sur son visage, je pense que lui aussi n'aspirait qu'à une chose, c'était rentrer chez lui au plus vite.-Je peux te parler ?-Bien sur, assieds toi. L'invitais je en désignant la chaise face à moi.-Merci, mais je n'en n'ai pas pour longtemps. En fait, c'était pour te dire que j'ai particulièrement apprécié ton petit numéro de ce midi. Vu que demain sera une journée plus cool, étant donné qu'on a pris un peu d'avance, j'ai offert la de ...
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