Gay, lesbian and straight erotic stories

Ma décision était prise, et plus rien ne pouvait m’arrêter. Je fis le tour du chalet en silence, mes pas feutrés par l’adrénaline, ma bite déjà raide comme un pieu, prête à exploser. La porte gronda à peine quand je la poussai, et je me glissai à l’intérieur, l’air épais et chargé de l’odeur âcre de la sueur, du sperme et du désir brut. Dos à eux, je restai planté là, les oreilles tendues, le souffle coupé par le spectacle sonore qui m’enveloppait : leurs râles de see the rest

Il glissa une main entre leurs corps, ses doigts explorant avec une urgence presque désespérée l’entrée serrée du grand, déjà humide et prête. Ses lèvres, chaudes et avides, se posèrent sur la nuque de son camarade, y déposant des baisers brûlants, tandis que ses dents mordillaient légèrement la peau, comme pour marquer sa possession. "Je vais te prendre… maintenant," semblait-il murmurer, ses doigts s’enfonçant davantage entre les fesses du grand, comme pour préparer son entrée.Le see the rest

Il glissa une main entre leurs corps, ses doigts explorant avec une urgence presque désespérée l’entrée serrée du grand, déjà humide et prête. Ses lèvres, chaudes et avides, se posèrent sur la nuque de son camarade, y déposant des baisers brûlants, tandis que ses dents mordillaient légèrement la peau, comme pour marquer sa possession. "Je vais te prendre… maintenant," semblait-il murmurer, ses doigts s’enfonçant davantage entre les fesses du grand, comme pour préparer son entrée.Le see the rest

The stocky man, as if wanting to prolong the moment, slowly rose, his tongue tracing a moist path along the tall man's penis, from the engorged glans to the base. He lingered on the pubic area, licking the soft blond hair with calculated slowness, as if savoring every inch, every musky scent. The tall man shivered, his fingers tightening in the stocky man's hair, as if trying to hold him back, to prevent him from rising again. But, continuing upward, his friend reached the navel, plunging his tongue see the rest

Le dimanche suivant, je guettai mon camarade avec une attention discrète. Le camp du Ruchard somnolait sous le soleil de fin d’après-midi, mais moi, j’étais tendu, obsédé par le souvenir de ce que j’avais vu derrière la vitre des douches. Quand il sortit de son chalet, serviette autour du cou et nécessaire de toilette sous le bras, je le suivis des yeux, puis discrètement, jusqu’aux douches. Je me postai près de la fenêtre trouble, le cœur battant.Il était seul. Debout près du see the rest

Ma journée type était simple.Je devais être Mona des le matin.Karim, avant d’ouvrir son épicerie, ne manquait jamais de venir prendre un café chez moi.Il prenait son petit déjeuner et moi je prenais le miens.Tout les matin je prenais son foutre.Déjà toute souillée, il me restait la matinée pour préparer ma chatte anale car Karim revient tout les jours au début de l’après midi pour me casser le cul.Parfois même je l’attend le cul en l’air prête a me faire saillir.Karim bande see the rest

Il y’a une quinzaine d’années, je me trouvais pour des raisons professionnelles dans la région de Niort. Dans un site d’annonces j’apprends que la ville possédait un sex shop particulier. Au premier étage se trouvait le magasin classique. Mais pour une dizaine d’euros on pouvait avoir accès aux étages. Au premier une salle projetant des films gays et au second des films hétéros. Après avoir payé je m’aperçois que je suis seul. Un peu déçu je monte au second. Je commence à see the rest

J’avais 22 ans, j’habitais encore chez mes parents dans un village paumé de l’Yonne, 4 200 habitants, tout le monde se connaît, tout le monde se sourit en journée et tout le monde se cache le soir. Moi, j’étais le « gentil garçon » du quartier, blondinet aux yeux bleus, sportif, toujours poli. Personne ne se doutait que j’étais devenu complètement accro à la queue depuis ma première fois avec Sofiane.Un soir de mars, bien défoncé, je poste une annonce sur Wannonce (le site see the rest

Le plus trapu, maintenant à genoux devant lui, jouait avec une habileté presque cruelle. Ses doigts, épais et rugueux, firent d’abord glisser le prépuce du grand avec une lenteur calculée, comme pour en étudier chaque repli, chaque mouvement. Il le tira délicatement vers l’arrière, découvrant le gland luisant et gonflé, avant de le laisser glisser à nouveau, comme s’il testait son élasticité, comme s’il voulait s’imprégner de chaque détail de cette peau fine et sensible. see the rest

Nous étions en 1976 ou 1977, au camp du Ruchard, près de Tours. Trois semaines de manœuvres sans relâche, sans permission, sans la moindre possibilité de sortir ou d’aller voir des filles. L’ennui, la fatigue et la frustration s’étaient accumulés, pesant sur les épaules de chacun comme un sac de pierres. Ce matin-là, après une punition pour une bêtise quelconque, me voilà condamné à désherber manuellement les abords des chalets de bois, ces constructions alignées comme des soldats see the rest