Ce mercredi après-midi, dans un loft branché du centre de Marseille, je me retrouve seul avec mon grand frère, Axel, qui a prévu une soirée entre potes. La lumière tamisée du salon et l’odeur de pizza qui flotte dans l’air donnent une ambiance décontractée, mais Axel, fidèle à lui-même, me lance avec son sourire en coin :— Élio, tu restes dans ton coin, OK ? Va geeker sur ta Play dans ta chambre, et pas de vagues avec mes potes.À 19 ans, il me traite encore comme un gamin, mais j’ai l’habitude. Je hausse les épaules, file dans ma chambre et lance *FIFA*. Les bruits de la manette et du jeu remplissent l’espace, mais je tends l’oreille quand la sonnette retentit. Les voix graves de Samir et Idriss, les deux potes d’Axel, résonnent dans l’entrée. Samir, le rebeu au charisme magnétique, et Idriss, le colosse black toujours taquin, sont des habitués. Je les imagine déjà en train de déconner autour d’une bière.Au bout d’un quart d’heure, des sons étranges me parviennent. D’abord faibles, puis de plus en plus nets. Je coupe le son de la télé et colle mon oreille contre la porte. Pas de doute : des gémissements gutturaux, des claquements rythmés, le genre de truc qu’on reconnaît tout de suite. Putain, ils se matent un porno dans le salon ! Pas de discussions, juste les sons crus du film. Ma curiosité l’emporte. J’ouvre la porte millimètre par millimètre, le cœur battant, et me glisse dans le couloir comme un ninja en chaussettes.Depuis l’angle du salon, l’écran 4K trône en maître. Une brune aux courbes affolantes se fait sauvagement prendre par un mec baraqué, son corps luisant de sueur sous les assauts. De dos, je distingue Axel, Samir et Idriss affalés sur le grand canapé en cuir. Leurs épaules bougent en rythme, un mouvement qui ne trompe pas. Merde, ils se branlent ! Mon souffle s’accélère. Je veux voir ça de plus près. Oubliant toute prudence, je rampe comme un félin vers le buffet, me planquant derrière pour avoir une vue imprenable.Le son des mains qui glissent sur leurs queues est hypnotique, un claquement humide qui me fait bander instantanément. Je retiens mon souffle, me positionne, et là… putain, quel spectacle. Axel, la bite bien droite, se caresse avec nonchalance, son gland luisant sous la lumière. Samir, à côté, a une queue épaisse, circoncise, qu’il malaxe avec vigueur. Mais Idriss… bordel, Idriss, c’est une autre catégorie. Sa bite, longue, épaisse, d’un noir profond, domine le tableau, et il la branle avec une assurance qui me fait frissonner. Je suis dur comme jamais, ma main glisse machinalement dans mon jogging. Erreur fatale : l’élastique claque légèrement.— Élio, c’est quoi ce bordel ? hurle Axel, sa queue toujours fièrement dressée, en bondissant du canapé.— Rien, rien, désolé ! je balbutie, rouge de honte, mais incapable de détourner les yeux.— Je vais te démonter, mec ! grogne-t-il, s’avançant vers moi, son sexe tressautant à chaque pas.— Attends, Axel, cool, intervient Samir, un sourire lubrique aux lèvres, sans arrêter de se caresser. Moi, une bouche en plus, ça me dérange pas.Axel fronce les sourcils, perplexe. — Il est pas gay, Élio !Je reste figé, le cœur en panique. Axel ne sait pas que je fantasme sur les mecs depuis des années, que je rêve de moments comme celui-ci. Idriss ricane, sa voix grave faisant vibrer l’air.— Moi, tant qu’on a l’écran et ses gémissements, je prends. T’as pas une perruque qui traîne, Axel ? On pourrait s’amuser à fond.Axel hésite, puis éclate de rire et file à l’étage. Il redescend avec une perruque blonde platine et une jupe moulante en latex noir, piquée dans les affaires de notre cousine.— Tiens, Élio, enfile ça, petite salope, lance-t-il, un éclat pervers dans les yeux.Je frémis d’excitation. Ce ton, cette ambiance… je suis déjà à fond. Je passe la perruque, la jupe, et me mets à genoux devant eux, leurs trois bites dressées comme des totems. À l’écran, la brune hurle de plaisir, empalée par deux mecs. Je commence par Axel. Sa queue, moyenne mais veinée, glisse dans ma bouche. Je l’aspire, jouant avec ma langue sur son gland, savourant son goût salé.— Putain, t’es doué, salope, grogne-t-il, enfonçant s ...
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