Retour sur des expériences passéesIl y a maintenant une quinzaine d’années je commençais à ressentir l’attrait d’une queue. Avec l’envie de tenir un membre chaud dans la main, de sentir un sexe durcir dans ma bouche et aussi de me faire pénétrer par une queue bien ferme qui me ramonerait longuement avant de m’arroser le visage d’un foutre bien épais. Je me décidais alors à m’inscrire sur des sites de tchat afin de trouver des mecs intéressés par ce programme ou en tout cas désireux de trouver un trou accueillant dans la perspective de jouir. La première rencontre que je fis eut lieu dans une forêt proche de Rennes à proximité d’un centre équestre. Nous nous donnâmes rendez-vous sur un parking qui jouxtait l’orée de la forêt. J’étais à la fois très excité et en même temps un peu inquiet par ce qui allait être une première pour moi. Vincent me demanda de le suivre à distance en direction des bois. Quelques dizaines de mètres parcourus, il s’adossa contre un arbre et commença à défaire la ceinture de son pantalon. Sans réfléchir, je m’agenouillai alors devant lui et commençai à avaler une queue encore à demi-molle, mais qui laissait présager un membre très respectable. Je le pompai si bien que la queue de Vincent, excité par la succion de ma bouche, grossit très rapidement. Elle était effectivement belle, un format que mon expérience future me conduira à qualifier d’idéal : 18 centimètres de long pour 4 à 5 centimètres de diamètre. J’avais tellement envie de sa queue que je m’étais littéralement jeté dessus comme un mort de faim. Vincent apprécia ma première pipe. Plusieurs fois, il retira sa queue de ma bouche pour me demander de la lui lécher sur toute la longueur et de passer ma langue sur ses couilles. Sa respiration s’accélérait. Il me demanda de baisser mon pantalon. Je me penchai alors vers l’avant en me tenant à l’arbre auquel il était précédemment adossé. Je le vis enfiler une capote et me dis alors que j’allais pour la première fois me prendre une bonne queue dans le cul. Mes deux mains sur le tronc d’arbre afin de trouver le meilleur équilibre possible, je le sentis placer son membre à l’entrée de mon petit trou qui frémissait d’impatience à l’idée d’être honoré par un sexe d’homme. Il fut très délicat. Tout en douceur, il m’introduit sa bite entièrement jusqu’aux couilles. Il resta ainsi quelques secondes sans bouger afin que je m’habitue à son dard. Il s’enquit de savoir si je me sentais bien. Je lui dis alors qu’il pouvait me baiser et que j’avais envie de ses coups de queue. Je subis alors mon premier assaut. Il était très excité. Il bougea doucement au début en me tenant bien par les hanches. Il me donna ensuite de longs coups de queue. Je sentis ses couilles qui claquaient contre mes fesses. Il accéléra rapidement le rythme. Il me ramona à fond, de plus en plus vite, et d’un seul coup il se colla à moi pendant qu’il crachait son jus dans la capote. Il se retira aussi très rapidement, me remercia et repartit vers sa voiture. Le pantalon sur les chevilles, j’en profitai alors pour me caresser la tige et eut une grosse jouissance. Je léchai le sperme que j’avais sur les mains, à défaut d’avoir pu goûter le sien, et repartis vers mon véhicule en me disant que ce n’était qu’une première car il y en aurait sûrement beaucoup d’autres, tellement j’avais apprécié de me faire enculer.Quelques temps plus tard, je rencontrai un nouvel internaute pour un plan rapide lors de la pause méridienne. Il avait envie d’une bonne bouche accueillante. Dans un endroit calme à l’abri des regards, je m’accroupis devant lui et commençai à sucer sa queue qui était déjà bien dure. Son membre perlait déjà. Il était très excité. Je m’accrochai à ses cuisses et suçai son engin qui était aussi de taille très honorable. Ma bouche coulissait sur son membre rapidement. Afin de retrouver mon souffle, je lui demandai s’il appréciait. Il hocha la tête et me demanda de reprendre mon travail buccal. Je repris mes va-et-vient de plus belle. Sa queue chaude palpita. Et tout d’un coup, sans prévenir, il me tint la tête et deux grosses giclées m’emplirent la bouche. Je reculai et il continua à jouir sur mon visage plusieurs autres giclées. Sans mot dire, il se rhabilla et partit illico presto. Après avoir recraché son jus abondant, j’avais encore le goût de son sperme dans la bouche. J’avais adoré la sensation de cette queue qui se raidissait avant l’explosion finale. Je m’empressai alors de me nettoyer le visage car le propriétaire de cette queue était un gros juteur et j’en avais partout. Une fois rentré dans ma voiture, je m’aperçus que du sperme pendait à mon lobe d’oreille… C’est clair qu’il avait les couilles bien pleines et que j’avais apprécié me faire gicler dessus. Je me promis de renouveler cette expérience qui m’avait excité. Je continuais ainsi à rencontrer régulièrement des mecs via Internet. Je les suçais toujours dans la nature, dans une voiture, voire dans des toilettes publiques. Avec plusieurs d’entre eux, j’ai entretenu une relation régulière. Mais si j’aimais ces rencontres qui aboutissaient invariablement à recevoir une bonne dose de jus dans la bouche, je ressentais une forme d’insatisfaction liée au fait qu’il y avait certainement beaucoup mieux à faire dans des endroits plus calmes et plus propices aux jeux sexuels. Je décidai alors de me concentrer sur les mecs qui pouvaient me recevoir. Alors que j’en discutais avec un de mes réguliers, celui-ci me proposa de passer chez lui un après-midi où sa femme travaillait. C’était un mec poli, très courtois, mais qui adorait me traiter de grosse pompeuse ou de salope quand je prenais son beau membre dans ma bouche. Il présentait aussi cette particularité d’avoir toujours les couilles bien pleines. Je vins alors un après-midi chez lui. Il faisait très beau. Il m’accueillit dans son jardin et baissa directement son short pour que je le pompe agenouillé dans l’herbe. A l’abri des regards, je le léchais pendant de longues minutes. Il interrompit l’action de ma bouche sur son engin et me fit rentrer dans sa maison. Arrivés dans sa chambre à l’étage, il me demanda de me déshabiller et nous nous caressâmes debout. Ma main branlait simultanément nos deux queues bien raides. Xavier m’entraîna dans la salle de bains. Nous prîmes une douche rapide. Il me demanda de lui faire une feuille de rose. Je lui léchai avec application sa raie et m’attardai sur son anus tout en lui caressant son membre turgescent. Je durcis ma langue et la lui introduisit dans son fondement. Excité par ce léchage en règle de son trou, son émoi se traduisit par une queue aussi dure qu’un bâton. Il m’entraîna ensuite dans le lit marital et me dis qu’il allait me baiser à fond. Il voulait m’enculer, chose qu’il ne pouvait faire avec sa femme. Je me mis à quatre pattes sur le lit et, sans plus attendre, il me prit en levrette comme une bonne chienne. Il était si excité que le ramonage fut rapide. Il sortit alors sa queue et me fis allonger sur le dos rapidement afin de venir cracher son sperme sur mon visage. Son orgasme fut très fort. J’en eus partout. Que cette sensation de sentir le jus couler sur son visage est excitante. J’étais aux anges. Nous descendîmes ensuite prendre une boisson rafraîchissante. Je vis alors qu’il commençait à rebander. Je ne pus m’empêcher d’engloutir son vit dans ma bouche. Xavier était encore excité. Pendant que je le suçais, il se pencha pour m’introduire un doigt, puis deux dans mon fourreau anal. Nous remontâmes dans la chambre. Il me prit alors dans la position du missionnaire. Il me baisa longuement alternant des mouvements rapides et plus lents. L’excitation devenant trop forte, il accéléra avec de grands coups de queue et de couilles qui frappaient mes fesses. Avant de jouir, il sortit sa queue et promptement enleva sa capote et me balança sa purée sur le ventre. Xavier était vraiment un bon baiseur. Omar aussi en était un. Nous discutions depuis un certain temps sur un site gay. Il habitait Rennes comme moi. Il était pour moi la représentation d’un fantasme qui éveillait mon excitation. Comme beaucoup de mecs passifs, j’étais attiré par des mecs bien membrés, même si la taille ne fait effectivement pas tout. Et j’avais cette image d’Epinal, alimentée certes par de nombreuses vidéos de sexe, que les Noirs avaient en moyenne des queues imposantes. Et, si Omar n’était pas Congolais, il en avait une qui suscitait de ma part un intérêt profond. Il m’avait montré une photo de sa queue qui, d’une longueur normale, avait en revanche un diamètre conséquent. Sa queue semblait épaisse et lourde. Il me tardait de le rencontrer. Nous réussîmes à trouver un créneau commun où il m’invita chez lui dans un appartement du centre de Rennes. Je me retrouvai rapidement à genoux sur son lit à hauteur de son boxer déformé par une énorme bosse. Omar me fit signe de baisser son boxer et une très grosse queue en jaillit. Je lui léchai les couilles comme il le souha ...
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