L'été, lorsque j'avais 14 ou 15 ans, était ma saison préférée. La mer, la piscine, le ciel bleu et surtout n'avoir pour seul vêtement qu'un slip de bain bref, le bonheur. On allait, avec quelques copains, passer quelques jours au bord de la mer et le seul fait d'y penser me remplissait de joie. Nous étions donc là, à quatre ou cinq à nous promener toute la journée et moi, le seul fait d'enfiler le slip le matin me faisait bander, je pouvais rester bander pendant des heures, mes copains l'avaient bien entendu remarqué et leurs remarques sur la taille de ma bosse ne faisaient que la renforcer...Moi, j'avais remarqué que eux aussi bandaient, la fougue de la jeunesse aidant; nous passions quelques heures dans des endroits de la plage complètement déserts, dans les profondeurs des dunes. Nous n'avions que nos slips sur nous et les conversations allaient bon train: depuis quand nous éjaculions, nous étions-nous déjà maturbés, combien de fois par jour, la taille de nos sexes, avions-nous déjà fait l'amour avec une fille... toutes ces conversations faisaient que nous nous connaissions toujours un peu plus et que nous nous sommes bien entendu découverts des plaisirs communs de masturbation et de jeux sexuels.Ce faisant, les tabous et les barrières ont sauté et c'est avec un plaisir partagé que nous nous sommes livrés à de vértiables jeux qui furent pour nous tous une découverte extraordinaire. Les présentations étant faites nous n'avions plus de barrières et tout nous semblait facile et bon.C'est moi qui démarra les festivités, je me mis à toucher le sexe de mon pote à travers son slip et il en fit de même, c'est alors que les autres se mirent aussi à le faire. Ce spectacle nous excita toujours de plus en plus et nous bandions comme des malades dans nos slips. Ces caresses, faites avec dextérité nous semblaient la meilleure chose du monde. Le plus difficile était de bien se contrôler afin de ne pas juter trop vite afin de prolonger l'instant présent. C'était en fait le plus difficile, bien caresser et comprendre quand le copain était sur le point de non retour, diminuer l'intensité des caresses, sur les fesses, sur les couilles, ne plus toucher à la bite qui avait déjà mouillé pas mal le slip de bain. Se frotter les sexes l'un contre l'autre à travers le slip. Cela pouvait durer longtemps et, l'expérience aidant, cela durait de plus en plus longtemps.Je ne pouvais plus tenir, l'excitation était trop grande et celle de mon copain aussi. Nos couilles étaient pleines et ne demandaient qu'à se décharger de ce sperme que nous retenions depuis un long moment déjà. En effet, durant l'hiver, nous ne nous voyions pas, ce qui mettait un peu en veilleuse nos activités sexuelles. Nous étions tous un peu en manque et bien entendu, il était beaucoup plus difficile de se contrôler, surtout la première fois. L'éjaculation qui se produit alors était la meilleure de la saison. Il fallait bien se concentrer mais les caresses à travers le slip étaient prodigieusement délicieuses.Le hasard voulut que mon pote et moi jutions en même temps dans nos slips. Merveilleusement bon... Je sentis le sperme arriver avec une force que j'avais rarement connue jusque là, mon slip fut inondé à deux ou trois reprises, le sperme dégoulinant sur l'extérieur mais aussi à l'intérieur sur mes couilles et dans les poils. Mon copain pareil, je voyais son slip clair devenir plus foncé à mesure que le sperme s'écoulait de sa bite. Les mouvements de son bassin trahissaient un plaisir intense. Ainsi soulagés, nous nous écroulons sur le sable, heureux de s'être ainsi branlés pour notre plus grand plaisir. Nos autres potes n'avaient pas encore terminé. Nos slips complètement trempés de sperme et notre queue maintenant devenue molle nous allions les regarder terminer. Un spectacle aussi bien bandant.Ils étaient comme nous tout à l'heure, se caressant les sexes, les frottant l'un contre l'autre, couchés sur le sable, nous nous l'avions fait debout. Ce spectacle nous refit bander bien dur. Leurs mouvements nous rappelaient les sensations que nous venions de connaître et nous excitaient terriblement. Leur point de non retour était atteint et ils n'allaient pas tarder à éjaculer. Nous étions tous pubères et les quantités éjaculées n'étaient pas négligeables, surtout après une période d'abstinence comme celle que nous venions de connaître.L'un juta avant l'autre, son sperme gicla avec une telle force qu'une petite quantité gicla à travers son slip de bain. Comme il était allongé sur le dos le sper ...

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