Déjà deux ans que j'ai sucé le beau gosse qui surveille la salle de sport ?! Depuis tout ce temps il est resté neutre. Je me suis fais à la situation. De toute façon, je n'attendais pas non plus après lui. Nos échanges sont restés professionnels et courtois. Comme il me l'avait annoncé, il n'a jamais plus eu de gestes équivoques ni fait de proposition. Jamais... jusqu'à ce jeudi après-midi. Il est 11 h 00. De retour à la salle après ma saison au camping, il passe l'aspirateur dans l'escalier des vestiaires pour hommes. En me voyant, la surprise se lit dans son regard. Il m'accueille avec un large sourire. Je lui souris en retour, en passant devant lui, avant de monter. Une fois en haut, je me remémore la scène d'il y a deux ans. J'espère qu'il puisse monter à son tour pour aspirer les vestiaires. S'ensuivent alors des pas lourds dans les marches et le bruit de l'aspirateur qui se rapproche. Je le vois entrer, sans un regard vers moi, occupé à nettoyer sous les bancs, le dos tourné. Je suis torse nu, assis de mon côté. Il fait le tour de la pièce, tête baissée. Pourtant, il commence à traîner, repasse aux mêmes endroits. Il soulève de temps en temps son t-shirt au logo de la salle, ce qui laisse entrevoir les début de ses poils pubiens. Il se gratte plusieurs fois l’entrejambe. Le tissu en toile de son short, qui est en réalité un maillot de bain noir avec de petites ancres bordeaux, laisse facilement apercevoir une bosse se dessiner. Mais rien de plus. Je finis de me changer. Au moment où je m’apprête à me lever, il me bloque le passage avec l'aspirateur, ce qui, par recul, me fait me rasseoir. Il s'approche de moi ; cette fois son érection est clairement visible, au point de former un chapiteau sous son short. Je le regarde malicieusement, la bouche entrouverte, me passant la langue sur ma lèvre supérieure. Il lève les sourcils en guise de surprise, feignant ne pas réaliser avoir une érection. À qui tu fais croire ça ? Mon kiki se dresse dans mon short. Je me passe la main dessus. Mais il continue de m'ignorer. Je lève les yeux au ciel, gagné par l'agacement. Quelques secondes se passent... son short toujours autant tendu. Exaspéré par la situation qui n'avance pas, mais qui m'excite tout de même, je lui demande : « Je peux toucher ? » Il rit de manière gênée, détourne la tête et répond : « Non ! » Et paradoxalement : « Mais tu peux sucer. » Dans la foulée, il sort sa bite de son short. Une vague d'excitation m'envahit, j'empoigne son sexe et je commence à lui lécher le gland. Sa bite est raide, égale à elle-même deux ans auparavant. Malheureusement, toujours trop large pour être gober. « Comment tu la trouves ? - Elle me plaît ! - Mais comment elle est ? - L' odeur est excitante ! - Je m'en fous de ça ! Tu la trouves grosse ? - J'arrive pas à la mettre dans ma bouche... - Ouais, je sais, j'ai une grosse bite ! » Qu'es-ce qu'il me fait ? Il avait besoin de sentir fier et de se rassurer ? Ne voulant pas m'arrêter si vite, je baisse un peu plus son short pour en sortir ses boules. Ne portant pas de sous-vêtements sinon le filet du maillot, elles sont facilement accessibles. Couvertes de petits poils qui repoussent, je les caresse délicatement avant de les saisir fermem ...

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