Bonjour, marié et père de trois enfants, j’ai mené une vie qui, de l’extérieur, semblait parfaitement ordinaire. En apparence, j’étais cet homme respectable, engagé dans sa communauté, notamment en tant que membre actif du club local de Handball. Cela remonte à 25 ans déjà. Mon meilleur ami depuis plus de trois décennies, Frédéric, était le président du club. Tout semblait idéal : deux familles unies, des enfants qui grandissaient ensemble, des sorties en famille, des barbecues partagés sous le soleil radieux de l'été. Le genre de relations sociales que d'autres envient, où tout respire la camaraderie et la sérénité.Puis un jour, après un match particulièrement intense pour notre club, nous avions décidé de prolonger cette ambiance chaleureuse en passant la soirée ensemble. J’allume le barbecue, nos épouses préparent l’apéritif, les enfants courent un peu partout, mettant la table après quelques rappels à l’ordre. Une soirée typique, simple et joyeuse, sous un ciel dégagé et dans une atmosphère où la bonne humeur et la décontraction règnent en maître.Alors que je me délectais de ce moment convivial, Frédéric, l’air légèrement préoccupé, me dit : "J'ai oublié de vérifier si tout était bien fermé au club et aux vestiaires du stade. Veux-tu m'accompagner ?" Sans y penser à deux fois, j’accepte. Après tout, ce n’était qu’une petite vérification, rien de bien important. Le club n’était qu’à deux kilomètres de la maison. Nous voilà donc partis, une simple promenade, rien d’inhabituel.Arrivés sur place, Frédéric ouvre la porte du local, et je le suis sans me douter une seule seconde de ce qui allait se produire. Nous faisons notre inspection habituelle, jetant un œil rapide aux différents espaces. Puis, nous arrivons aux douches. C’est là que les choses prennent un tournant inattendu. Frédéric commence à se déshabiller sans un mot, me laissant stupéfait. Je reste immobile, incapable de comprendre ce qui se passe. Lorsqu'il s'approche de moi, je balbutie quelques mots, lui demandant ce qu'il lui prend, mais avant même que je puisse réagir, il m’embrasse avec une intensité qui me laisse sans voix.Je le repousse, d’abord par réflexe, mais il insiste, sa main glissant sans hésitation sur mon entrejambe. Le choc de la situation est rapidement remplacé par une montée de désir que je n'avais jamais connue. Mon corps répondait avant même que mon esprit ne puisse réellement comprendre ce qui se passait. Mon érection était immédiate et, comme dans un rêve fiévreux, je me retrouvais à lui rendre son baiser. La chaleur de nos corps, le désir brut, tout s’est enchaîné si vite. Frédéric descend alors, baissant mon pantalon, et me prodigue la première fellation de ma vie. Je suis submergé par un plaisir inédit, abandonnant toute réticence. Je me laisse aller, le plaisir me submergeant complètement. Je le déshabille à mon tour, lui offrant ce même plaisir avec une avidité que je ne me connaissais pas.Nos corps nus glissent sur le carrelage froid des douches, le contraste avec la chaleur de nos étreintes rend l'expérience encore plus intense. Je me retrouve allongé sur le dos, et dans un mouvement fluide, Frédéric s’empale sur mon sexe. Ses va-et-vient, d'abord hésitants puis plus assurés, déclenchent en moi une jouissance incontrôlable. Je jouis en lui avec une force que je ne connaissais pas, le plaisir explose en moi. Nos souffles se mêlent, nos regards se croisent, et Frédéric, dans un murmure entrecoupé de gémissements, me glisse à l’oreille : "La prochaine fois, o ...

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