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Voyage au Maroc en side car 20

Publié par : pierre49590 le 03/02/2025

Chers amisMerci pour votre soutien et vos notes qui m'encouragent. Mon histoire n'est pas "que" des plans cul, j'ai voulu y mettre une atmosphère. Soyez tolérants s'il n'y a pas que de la baise à chaque fois !MerciJe n’aurais jamais imaginé qu’une simple combinaison puisse raviver avec autant d’intensité ces images gravées dans ma mémoire. Sous ce bleu de travail, je revoyais la peau luisante de sueur, tendue par l’effort, les muscles se dessinant avec chaque contraction, chaque mouvement. Les formes de son corps, alors offertes à moi sans retenue, me revenaient en mémoire, comme une peinture vivante qui se jouait à nouveau devant mes yeux.Je pouvais presque sentir la chaleur de son corps contre le mien, cette chaleur intense, brûlante, qui avait marqué chaque seconde de notre étreinte. La combinaison semblait à peine capable de contenir la force contenue dans ces muscles, de dissimuler les courbes parfaites de son dos, la cambrure élégante de ses reins, la souplesse de ses hanches en mouvement. Chaque geste qu’il faisait pour manier les outils, chaque flexion de ses bras, ravivait en moi les images de cette peau glissant contre la mienne, ruisselante, gorgée de la sueur de nos efforts conjoints.Je me surprenais à détailler les courbes de son corps avec une attention presque obsessionnelle, m’attardant sur la ligne de son dos qui se courbait légèrement lorsqu’il se penchait pour ajuster un détail, sur la manière dont ses muscles se tendaient et se relâchaient avec une fluidité naturelle. Je me rappelais cette sensation d’avoir tout son poids contre moi, cette présence physique, quasi animale, qui avait fait naître en moi des émotions brutes, primaires, peut-être…Mon esprit, pourtant éveillé, semblait basculer entre la réalité de ce moment paisible au bord de la piscine et les souvenirs fiévreux de la nuit précédente. La sueur, ce parfum fort de son corps mêlé à l’odeur du chlore, s’imposait à moi avec une force troublante. Je fermai les yeux un instant, m’abandonnant à ces réminiscences, avant de les rouvrir et de le voir à nouveau, là, à quelques mètres de moi, comme si la veille n’avait été qu’un rêve.Mais ce n’était pas un rêve. Ce corps que j’avais exploré, cette peau que j’avais goûtée, étaient bien réels. Et pourtant, le voir maintenant, si concentré dans son travail, presque indifférent à ma présence, ajoutait une dimension étrange à mes souvenirs. Comme si la nuit passée appartenait à un autre monde, à un autre temps, et que je me retrouvais aujourd’hui seul, témoin silencieux de ce qui ne serait peut-être jamais qu’une parenthèse incandescente dans le fil de ma vie.Mais bientôt, l’envie de mouvement me reprit, et je décidais de profiter de cette énergie retrouvée pour partir en virée à moto. Après m’être changé, je montai sur ma fidèle URAL et quittais les murs protecteurs du Riad. La chaleur était à son zénith, mais elle me semblait moins écrasante après ce bain revitalisant.Je pris la route, savourant la sensation de liberté que me procurait chaque virage, chaque ligne droite avalée par les roues de ma moto. L’air chaud filait autour de moi, emportant avec lui les derniers vestiges de ma lassitude, me plongeant dans un état de pure euphorie.En chemin, je décidai de faire un détour par l’étal de Karim. La perspective de voir ce garçon que j’appréciais tant, de discuter un peu avec lui, me semblait parfaite pour prolonger cette matinée déjà si agréable. Arrivé à son étal, je trouvai Karim toujours en train de disposer avec soin ses fruits, comme à son habitude. Son visage s’éclaira d’un sourire franc lorsqu’il me vit, et nous échangeâmes quelques plaisanteries, tandis que je choisissais quelques melons à emporter.- Alors, mon beau Karim ? Comment vas-tu ? (Je décidais de garder sous silence mon échange déconcertant avec son jeune frère.)- Il faut que je te raconte quelque chose, mais pas maintenant. Repasse à la fin de mon travail !Je repartis donc dans la foulée, poursuivre ma virée, mais avec la confidence promise de Karim en tête. Allait-il me parler de sa veuve ? Cette balade se fit alors, sans goût, sans émotions face aux merveilleux paysages, l’esprit occupé par Karim.Je revins donc au bon moment pour le retrouver à son étal.-C’est bon, je vais arrêter. Amène-moi dans notre coin, j’ai envie de me rafraîchir. Mon parasol est tellement usé et transparent. Je crève même dessous.Ayant compris qu’il souhaitait retourner dans le petit vallon où nous nous étions déjà revigorés dans la grande vasque d’eau, je le fis embarquer et nous partîmes.Une fois sur place, il se déshabilla, rangea ses affaires en les pliant soigneusement et s’immergea dans l’onde courante fraîche. J’ôtai mes vêtements en « ni une ni deux » et le rejoignis. Il vint alors presque tendrement venir se coller, son dos contre ma poitrine. Je l’enserrai immédiatement amoureusement par le torse avec mes deux bras - Alors, qu’est-ce que tu as à me dire de si important ?- J’ai baisé une femme !Je lui donnai l’impression de tomber des nues.- Mais tu m’avais dit que pour toi c’était impossible ici, sauf avec une veuve, éventuellement...- Ben justement !Alors, il me raconta son aventure, assez courte puisqu’elle n’avait dû durer que trente minutes à peine.En fait, c’est elle qui avait pris les devants. Une fois à son domicile, la matrone lui avait mis directement la main au paquet en lui déclarant qu’elle brûlait de désir (ou quelque chose comme çà…) Très grosse femme, elle avait ouvert son pagne en lui apparaissant nue pour lui enfouir immédiatement sa tête entre ses deux énormes seins. Elle lui demanda de lui sucer les seins, maintenant sa tête contre avec une main et, avec l’autre, éveillant les sens de sa queue, qui était déjà toute tendue. Il rigola en m’expliquant qu’elle la malaxait comme un manche de pioche, sans douceur, sans sensualité. Puis ils s’étaient affalés sur sa couche, la surmontant tout de même avec une certaine difficulté, sans sentir son pieu être lâché une seule seconde. Elle le couvrait de baisers, lui mangeant la bouche. Les caresses ne durent pas longtemps car, visiblement elle était folle d’envie. Elle lui demanda alors de la pénétrer. Devant ses difficultés à atteindre ses grandes lèvres, il fut alors guidé par ses mains expertes, lui intimant en même temps l’injonction enflammée de lui caresser le clitoris qu’il découvrait avec surprise, n’en connaissant pas encore l’emplacement exact ni le fonctionnement. L’exercice ne lui fut pas aisé, caressant d’une main son abricot, tout en essayant de tenir en équilibre sur cette masse de chair, et en la besognant rudement. Elle avait paru adorer ça. Heureusement, la longueur de son chibre, et sa raideur, lui permirent de chevaucher la masse tout en la pénétrant à fond. Si le corps ne l’avait pas du tout excité, il me raconta néanmoins ses délicieuses sensations de la pénétrer tout au fond de sa chatte trempée. Lorsqu’elle l’avait senti venir, elle lui avait alors enfoncé un doigt dans le cul en le manipulant. Il avait été surpris de la relative sensation de plaisir, surtout avec la concomitance de son éjaculation brûlante. Elle avait crié, elle aussi, de plaisir.Quelques minutes passèrent à peine avant que la maîtresse-femme, visiblement faite d’expérience, se remit à l’ouvrage pour lui faire revenir toute sa vitalité. Elle parvint à ses fins rapidement.Tout en l’écoutant me narrer cette aventure, je pensais que ce mec était une véritable bête de sexe ! Un détonateur qu’il suffit à peine d’effleurer pour qu’il explose ! Il y avait son grand manque, certes, de femmes mais tout de même ! Déjà se farcir une grosse m’aurait été difficile, mais reprendre tonus quelques minutes à peine après avoir joui ! Avec mon Daoud, oui, mais avec « ça » ! Il reprit son rapport, en m’expliquant qu’elle avait, dans la foulée, voulu être prise en levrette. Il lui avait demandé de la sodomiser, ce à quoi elle s’était farouchement opposée, le traitant de malade ou de fou. Elle se positionna elle-même en experte, tirant bien sur ses fesses afin de mieux faire apparaitre sa moule. Il reconnut, que dans cette position, c’était plus facile pour lui. Il la pénétra alors violemment. Plus il donnait des coups de reins offensifs, plus elle aimait ! Il m’avoua avoir été un peu décontenancé par les ondulations de ces deux immenses masses de chair sous ses coups de butoir. Mais son désir de jouir avait pris le dessus, et il put une nouvelle fois éjaculer, peut-être encore plus longuement, complètement intromis à fond, le gland brûlant… Et sans doigt dans le cul !Il s’était retrouvé quelques instants plus tard dehors dans la ruelle, un peu hébété et les couilles enfin complètement vides. Le soir, dans leur chambre commune, en remerciement de son remplacement au stand, Younes avait exigé avoir un rapport le plus détaillé possible afin d’en apprendre un peu plus sur la femme et le coït.Tout cela les avait terriblement excités, Karim par les souvenirs et les sensations engrangés, Younes par les fantasmes imaginés.Ils s’étaient retrouvé la bite en l’air, se masturbant chacun de leur côté, et en rigolant.Ses confidences terminées, il se tut un instant, puis releva gentiment sa tête vers moi, avec un regard à faire fondre les pierres, à l’instar du puiné admirant son grand frère :- Ça y est, je suis plus puceau. Je suis un homme !Je rigolais un bon coup, ce qui le décontenança.- Pourqu ...

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