LA SUITE .... Je tiens à remercier mes lecteurs et j’espère qu’ils prennent plaisir à lire l’aventure de ma folle semaine.Charlotte vient de me livrer ce qu’elle avait sur le cœur depuis un certain temps. Je dois reconnaître qu’elle a en partie raison, mais ce n’est pas si simple.— Alors, bon sens, pour une fois dans ta vie, quand le hasard frappe à ta porte et que quatre femmes t’apprécient pour ce que tu es, profite-en, bon sang ! Lâche-toi ! Vis !Avant de repartir pour ma chambre, Charlotte me tend la parure en satin rose, celle avec un petit nœud papillon au ras du cou et sur le devant du string.— Je voudrais que tu la mettes demain pour la réunion.Je repars avec. J’ai encore en tête les mots de Charlotte à propos de moi et de mon couple. Je ne remarque même pas le couple âgé qui me croise dans le couloir et qui s’offusque de ma tenue. Je hausse les épaules et entre dans ma chambre.Je me couche directement. Je prends le temps de répondre à Élo en me laissant une porte ouverte. Je suis curieux de voir où cela peut me mener. Je m’endors en me remémorant les propos de Charlotte. Elle a peut-être raison.Le lendemain, c’est la grosse journée et la prise de contact avec notre client. Il est sept heures. J’ai assez mal dormi suite à notre soirée d’hier. Je me demande si je n’ai pas rêvé tout cela. Je passe rapidement par la salle de bain et me prépare pour descendre à la salle à manger pour prendre mon petit déjeuner. Je reprends mes dessous de la veille, mais sans le serre-taille. Je passe une jupe longue noire plissée avec mes sandales rouges. Je file au restaurant et y retrouve Charlotte déjà attablée. Je commande un petit déjeuner : café, croissant et jus d’orange.— Tu as bien dormi ?— Non, pas trop. Notre discussion d’hier ne cesse de tourner en boucle dans ma tête.— Quelle partie ?— Toute. Mon couple, le travestissement…— Bon, concentre-toi sur la journée d’aujourd’hui et ça ira. En tout cas, ta jupe est jolie, mais pour la réunion, un pantalon serait le bienvenu.Je lui réponds que ce n’est que pour le petit déjeuner. Je me suis habillé rapidement. Elle me rappelle de porter l’ensemble qu’elle m’a donné hier soir. Je lui raconte ma rencontre dans le couloir avec le petit couple âgé, qui vient d’entrer à l’instant dans le restaurant. Ceux-ci me reconnaissent et ne peuvent s’empêcher de faire un commentaire sur la dépravation de notre époque.Nous terminons notre petit déjeuner et repartons dans nos chambres pour nous préparer. Je prends une douche pour finir de me réveiller et réhydrate ma peau avec une crème de jour.Je passe l’ensemble rose satin de Charlotte. Pour attacher le soutien-gorge, c’est plus compliqué sans Sylvie : la partie collier ras-du-cou est difficile à attacher. Je finis par y parvenir. J’enfile des bas autoportants bicolores avec des arabesques. Par-dessus, je passe un pantalon en toile de coton de couleur crème. Ensuite, je mets une chemise blanche avec un fin quadrillage bleu. Je choisis une cravate bleu marine, ce qui permet de cacher la partie collier du soutien-gorge. J’enfile une veste de costume bleu foncé. Il ne reste plus qu’à chausser mes mocassins noirs. Me voilà prêt. Je vérifie mon ordinateur une dernière fois pour m’assurer que tout est OK.Je rejoins Charlotte au parking et monte à la place passager. Nous partons pour le rendez-vous, qui doit durer une bonne demi-journée. En chemin, je demande à Charlotte comment elle est entrée en contact avec ce client. Elle me répond que c’est via un de nos clients, qui lui a montré nos boards sur un projet de cosmétique. Pour la présentation de l’époque, nous nous étions inspirés du monde du yachting. Celui-ci cherchait une agence avec un regard différent. Pratiquement toutes les agences d’aménagement d’intérieur naval sont à Paris. Il avait l’impression que celles-ci commencent à tourner en rond, présentant toujours le même genre de choses. Il avait trouvé que nos roughs avaient une touche d’originalité.Je ne peux m’empêcher de rappeler à Charlotte que ce n’est pas notre domaine d’activité : il y a des contraintes réglementaires et techniques avec lesquelles nous ne sommes pas familiers. Elle répond qu’elle en est bien consciente et qu’elle a soulevé la question lors de l’entretien préliminaire. Il en est ressorti que, pour ce côté, il nous viendrait en aide et nous guiderait. Il préfère que nous soyons libres de toute contrainte.Je croise mes jambes lors de notre discussion, ce qui a pour effet de remonter légèrement le bas de mon pantalon. Elle me le fait remarquer : cela met en évidence mes bas.— Personnellement, j’apprécie tes tenues, mais lors de la réunion, essaie d’y faire attention.Nous arrivons sur le lieu du rendez-vous. Nous nous présentons à l’accueil. Le directeur général nous attend avec le directeur artistique et technique. Nous nous présentons.— Bonjour, enchanté de vous rencontrer en vrai. Je suis Charlotte. Nous nous sommes contactés par téléphone. Voici mon collaborateur Théo. Il s’occupe de la modélisation, des rendus 3D et de la partie technique.Gérard se présente : c’est le DG. Il présente ensuite ses deux collaborateurs : Marc, le directeur artistique, et Paul, le directeur technique. Nous partons pour la salle de réunion. Je sors mon ordinateur portable et nous essayons de le connecter à un vidéoprojecteur, mais en vain. Nous décidons de nous en passer. Je branche via un câble HDMI mon ordinateur sur un grand écran de télévision et nous commençons notre présentation avec des rendus et des animations. Charlotte explique ses inspirations pendant que je fais défiler les différents thèmes. La réunion est dense.Je retire ma veste et la dépose sur le dossier de ma chaise pour être plus à l’aise. Lors d’une pause, alors que Charlotte a une discussion avec Gérard, Marc vient me voir pour me poser des questions sur les logiciels que j’utilise. Il regarde par-dessus mon épaule mon écran. Je lui explique que j’utilise aussi bien des logiciels libres que professionnels. Il pose une main sur mon épaule pour être plus stable dans sa position penchée. Celle-ci tombe sur ma bretelle de soutien-gorge. J’ai une boule qui se forme dans mon ventre : il vient de comprendre ce que je porte. Je sens ses doigts glisser le long de ma bretelle pour venir finir sur les attaches arrière. Il pince légèrement le dos de mon soutien-gorge, le tire légèrement comme pour en vérifier l’élasticité et le relâche. Celui-ci claque légèrement dans mon dos. Personne ne s’est rendu compte de la scène, le corps de Marc faisant écran à sa main.Je comprends maintenant le regard que Charlotte m’a lancé lorsque j’ai retiré ma veste. Ma chemise, bien qu’opaque, ne cache pas suffisamment mes dessous. Un œil exercé peut deviner ce que je porte dessous, le léger reflet rose de mon soutien-gorge. Je ré-enfile ma veste afin d’éviter de nouveau cette mésaventure. Marc n’a fait aucune remarque ; j’en suis étonné. La présentation reprend, les questions fusent, Charlotte répond toujours de façon souriante.À midi, nous invitons nos clients au restaurant. Le repas se passe de manière détendue. Nous parlons de notre cœur de métier, le packaging de luxe en parfumerie, cosmétique et spiritueux. Ils nous font remarquer que nous sommes vraiment loin de notre domaine d’expertise. Je leur réponds que j’ai une expérience dans le domaine du transport, que j’ai passé une vingtaine d’années dans le concept-car, mais aussi dans l’aéronautique, le ferroviaire et le naval. Le secteur automobile représentait quatre-vingt-quinze pour cent de mon activité à l’époque.Nous revenons dans les locaux de l’entreprise et continuons notre rendez-vous. C’est moi qui gère la partie technique. Pendant ce temps, j’observe Charlotte, collée à son portable. Je pense qu’elle doit répondre à nos clients par texto. Elle semble concentrée et, parfois, je la vois sourire.Lors de la dernière pause, je vois Marc se diriger vers Charlotte. Il engage la conversation avec elle. Au début, elle semble inquiète, puis elle se détend et sourit. Ils finissent par échanger leurs numéro ...
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