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Une semaine ou tout a changé. (3)

Publié par : charlottelam le 19/12/2025
** NEW **

LA SUITE ....— Tu vois, c’est bien un homme.— Quelle honte, mon Dieu.— Je trouve que ça lui va bien. Tu devrais essayer, bébé.De retour à notre table, Julie a pris la place de Sylvie et celle-ci se retrouve à mes côtés à présent. Charlotte reprend la sienne.— Que vous arrive-t-il, les filles ?— Oh, on avait juste envie d’échanger nos places pour avoir une autre perspective,répond Julie. Nous arrivons au dessert. Élo revient pour prendre nos commandes.— Je pense que pour Théa, ça sera sûrement une banana split accompagnée d’énormément de chantilly,fit-elle en passant sa langue sur ses lèvres et en mordillant celles-ci. Les filles ne purent retenir un pouffement de rire, leur imagination ayant fait le reste. Chacune passe commande. Pendant qu’Élo prépare notre commande, nous reprenons notre discussion. Sylvie nous demande ce que nous sommes venues faire à Toulon. Charlotte lui répond que nous sommes là pour des raisons professionnelles et que nous restons deux jours.Alors que Charlotte explique la raison de notre déplacement, je sens la main de Sylvie se poser sur ma cuisse, tandis que le pied de Julie se fraie un chemin entre mes jambes. Décidément, les deux amies se sont passé le mot. Elles sont très entreprenantes. Heureusement que le rabat de la nappe cache aux yeux de tous cette scène.— Oh, pour deux jours ! C’est génial, on peut se refaire une autre soirée demain. Et on aura un peu plus de temps pour préparer Théa.Julie approuve. Je fais remarquer aux femmes que nous ne sommes pas là pour nous amuser.— Oh ! Il n’y a pas de mal à joindre l’utile à l’agréable.Charlotte commence à m’inquiéter de plus en plus. Je lui fais remarquer que nous devons encore préparer la réunion de demain et qu’il se fait tard. Les filles me traitent de rabat-joie. Pendant ce temps, Sylvie et Julie redoublent d’efforts pour pénétrer mon intimité. Sylvie a remonté ma jupe, laissant mon string à l’air libre. Julie vient faire pression sur mon petit nid. Je resserre mes cuisses pour freiner l’intrusion de Julie et je pose ma main sur celle de Sylvie pour l’éloigner.C’est à ce moment que je suis surpris et choqué lorsque je sens un autre pied venir caresser mes jambes. Charlotte, ma patronne, se met de la partie. Élo arrive sur ces faits avec nos desserts. Elle dépose les plats pour finir par moi. Au dernier moment, elle me chipe de la chantilly avec son index pour la porter de façon suggestive à sa bouche. Toutes les filles se regardent dans les yeux et éclatent de rire en s’apercevant qu’elles sont toutes en train de faire la même chose.À voix basse, je leur dis :— Mais vous êtes de vraies chiennes en chaleur.Sylvie, qui est la plus délurée des trois, me répond :— Pour une fois que ce n’est pas nous qui sommes prises pour de la chair fraîche. De plus, tu es le premier homme que je vois entrer dans mon magasin sans avoir l’air lubrique ou vicieux dans son comportement. Tu es le premier homme que je rencontre à assumer son style pour les vêtements et sous-vêtements féminins. Du coup, ça te donne un côté sexy et on a envie d’aller plus loin.Je regarde les filles une à une.— Vous êtes d’accord avec ce que vient de dire Sylvie ?Julie et Charlotte approuvent. Le côté féminin et masculin que je dégage a, pour elles, un effet rassurant. Je suis entre la bonne copine à qui on peut se confier et l’amant idéal qui sait comprendre les femmes. Je leur réponds qu’à mon avis elles m’idéalisent un peu trop. Je commande à Élo quatre cafés et l’addition. Il est vingt-trois heures passées ; Charlotte et moi avons encore à préparer notre réunion de demain.Élo revient avec les cafés et l’addition. En déposant ceux-ci sur la table, elle me glisse à l’oreille :— J’espère que la soirée s’est bien passée, belle brune, et que l’on va se revoir.J’ai pu admirer son magnifique décolleté au moment où elle s’est penchée pour me le susurrer. Charlotte décide d’offrir le repas à tout le monde et part régler la note à l’intérieur. Pendant ce temps, Sylvie et Julie partent aux toilettes se rafraîchir. Moi, j’en profite pour déguster mon café tranquillement.Un petit bout de papier plié tombe de dessous la tasse. Je le déplie pour y lire le numéro d’Élo. Je ne peux retenir un sourire. Elle a vraiment de la suite dans les idées. Les femmes reviennent, Charlotte prend le numéro de Sylvie. Nous nous faisons la bise et partons chacune de notre côté : Sylvie et Julie ensemble d’un côté, Charlotte et moi de l’autre.Sur le chemin du retour, je réajuste le châle de Julie sur mes épaules, car le temps s’est rafraîchi. Charlotte est enjouée. Je la remercie pour la lingerie et le restaurant, mais je ne peux m’empêcher de lui reprocher d’être allée trop loin. J’aime la lingerie féminine et la mode féminine, mais je fais toujours attention à garder un côté masculin dans mes choix vestimentaires. Là, je lui dis que la mini-jupe en PU noir brillant et les sandales à talons aiguilles, c’était un peu trop. Elle me répond qu’elle en est consciente, mais que j’aurais pu refuser. Elle marque un point de ce côté-là. Elle reprend :— Tu n’as jamais eu envie de te travestir complètement ?Pour être honnête, je lui réponds que cela m’a parfois tenté, mais que je n’ai jamais eu le temps ni l’opportunité de le faire.— Ça ne te manque pas de ne pas avoir exploré plus avant ton côté féminin ?Je lui réponds que c’est une bonne question que je ne me suis jamais posée. Je pense que, pour le faire, j’aurais besoin d’une personne pour me guider, de préférence une femme. Nous flânons tranquillement sur le quai.En plaisantant, je dis à Charlotte qu’Élo m’avait laissé son numéro de téléphone. Elle me répond que c’est mon charme naturel qui agit. Nous continuons tranquillement jusqu’à l’hôtel. Nous nous présentons à la réception pour récupérer nos clés. Le réceptionniste me dévisage de haut en bas lorsque Charlotte lui demande sa clé. Il lui fait la remarque qu’ils sont un établissement respectable et que ce genre de comportement de la part de leur clientèle n’est pas toléré. Il lui conseille de trouver un autre hôtel et de revenir une fois son affaire faite.Je ne sais pas comment je dois le prendre pour moi. Par contre, je sens Charlotte bouillir intérieurement et se dégriser à la vitesse de l’éclair. Pour éviter l’esclandre, je m’avance et demande ma clé aussi. Le réceptionniste est confus.— Je suis désolée, madame… heu ! Monsieur. J’ai cru que vous étiez avec madame.— D’abord, c’est mademoiselle, et vous avez mal cru.Je tire un sourire à Charlotte.— Nous en reparlerons demain avec la direction,lâche ma patronne, outrée et furax. Nous prenons nos clés et montons dans nos chambres. Sur le seuil de la porte de ...

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