Monsieur Nogare est un professeur frustré. Il aurait voulu être écrivain, mais, sans talent et n’ayant pas de rentrées financières, il est devenu professeur. Sa vie se résume à se rendre à l'école, puis vers 16 h, à rentrer chez lui où personne ne l'attend.Aujourd'hui, c'est vendredi, le jour pour faire ses courses. Il se rend dans la petite supérette pour prendre de quoi faire sa semaine. Il se dirige vers un rayon où il prend ses bières en promotion.Monsieur Nogare est plutôt chétif, et, bien qu'encore jeune, sa frustration d'écrivain raté l’a rendu mou, râleur et sédentaire. Son occupation principale du week-end est de parcourir les sites pornos pour virtuellement s'inventer une vie sexuelle. Cela ne dure que quelques instants, car, hélas, Monsieur Nogare est un éjaculateur précoce !Ne faisant, comme d'habitude, attention à rien, il bouscule un homme corpulent qui prenait du vin au rayon suivant. La bouteille de vin, sous le choc, échappe de la main de l'homme, tombe sur le sol et, en se brisant, éclabousse le pantalon du costume de cet homme.– Oh, excusez-moi, Monsieur, je suis désolé, je n'ai pas fait attention.L'homme lui répondit :– C'est malin, un tout nouveau costume… Vous pouviez faire attention quand même.Monsieur Nogare est très embêté. Il promet de régler le paiement du nettoyage au plus vite. Il prend les coordonnées de l'homme, qui se prénomme Jean, et rentre chez lui.Jean, le vendredi suivant, téléphone à Monsieur Nogare, le priant de venir chez lui avec les 80 euros le lendemain, samedi.Vers 15 h, Jean ouvre à Monsieur Nogare, le fait entrer et l’invite à s'asseoir.– Merci d'être passé. Au fait, quel est votre prénom ?– Je m'appelle René, répond Monsieur Nogare.– Bon, ok René, voici la note du pressing.– Tiens, j'ai fait du café, je te sers une tasse.René, effacé et timide, n'aime pas le café, mais il n'ose le dire. En prenant sa tasse maladroitement, quelques gouttes tombent sur le pantalon de Jean.– C'est pas vrai ! s’exclame-t-il. Tu fais exprès ou quoi ?René est tout rouge de honte et bredouille des excuses. Jean va prendre une éponge, la passe sous l'eau et revient au salon.– Tiens, pour la cause, tu peux nettoyer les taches.René prend l'éponge et commence à frotter le pantalon de Jean. Pour ce faire, il se met à genoux. Les taches sont disparates ; René les efface une à une, en partant du bas vers le haut. Il reste une tache en haut, mais mal placée : elle est juste sur la protubérance de l'entrejambe de Jean. René hésite, puis frotte doucement la tache.– Tu fais ça bien, mais fais-le doucement, il y a du fragile en dessous.René ralentit son mouvement et le frottement devient une caresse. Jean lui tend une ser ...

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