Gay, lesbian and straight erotic stories

Depuis toujours, j’ai été obsédé par Diego, le mec de ma sœur Elena. À 27 ans, Diego est l’archétype du mâle alpha hétéro : grand, cheveux noirs bouclés, yeux verts perçants, et un corps sculpté par des années de crossfit et de surf. Ses pecs bombés, ses abdos taillés comme du marbre et ses biceps saillants font tourner les têtes. Il est toujours entouré de ses potes, à parler de foot, de soirées et de cul, avec une assurance virile qui me rend fou. Cela fait quatre ans qu’il see the rest

À 47 ans, Mariana, mariée depuis 22 ans, est une femme épanouie dans sa vie de famille à Lisbonne. Mère de deux adolescents, elle travaille comme réceptionniste dans une clinique vétérinaire huppée du quartier d’Alfama. Dans leur maison lumineuse surplombant le Tage, elle chérit son mari, João, un architecte passionné. Leur vie sexuelle, bien que moins fréquente qu’à leurs débuts, reste vibrante : João, avec sa queue épaisse de 19 centimètres, circoncise et veinée, sait encore see the rest

The asphalt rolled by under the tires of my old car, hours of driving swallowed up in a fog of fatigue. My eyes stung, my body screamed for a break. I spotted a remote highway rest area, far from the crowded stations of noisy families. This one, the Debauchery Rest Area, as I later nicknamed it, was a discreet, almost clandestine hideout. A few cars scattered in the shadows, single guys, looking like they were hunting, their gazes lingering. The atmosphere was heavy, electric, saturated with barely see the rest

Il y a trois semaines, j’ai vécu une aventure brûlante avec un mec, Alex, rencontré sur une appli. Nos échanges devenaient de plus en plus chauds, et on s’est vite rendu compte que nos partenaires respectifs seraient absents en même temps pour quelques jours. Alex, un brun musclé aux yeux perçants, m’a raconté qu’il fréquentait une salle de sport branchée à Bordeaux, où il avait déjà eu des plans discrets dans les vestiaires. L’idée m’a tout de suite fait bander, et je see the rest

Un après-midi d’été suffocant, j’avais 30 ans, un corps taillé pour le désir – 1m82, 90 kg, pecs bombés, abdos légèrement ciselés, et une queue épaisse, veinée, toujours prête à l’action. Le boulot m’avait saoulé, et une douleur sourde dans le dos me rappelait que je ne rajeunissais pas. Plutôt que de rentrer, j’ai filé dans un club gay underground, un antre où la sueur, la testostérone et le sexe brut saturent l’atmosphère. Les murs suintent de désir, et l’odeur see the rest

Été 2009, un camping crade près de Sète. Ma mère et son homme ronflent sous l’auvent, moi je tourne en rond. Mes cinq potes du camping, d’habitude mes complices pour la pétanque et les bières, sont portés disparus : rando, cuite, plan cul, gastro, dispute. Je me casse explorer la côte, prétextant une plongée. Un sentier tordu m’obsède, alors je m’y engouffre. Quarante minutes plus tard, entre pins brûlants et falaises, je tombe sur une crique secrète. Pas de familles, pas de see the rest

À 20 ans, en plein cœur de Berlin, ma première fois a été une explosion de désir brut et sans filtre. Tout a commencé sur une appli de rencontre gay, où un message d’un mec à deux pas de mon squat d’étudiant a fait grimper ma température. On échange, et bam, le courant passe direct – une alchimie électrique, un mélange de tension sexuelle et de curiosité dévorante.Il me propose de le rejoindre dans un loft discret à Kreuzberg, à l’heure où le soleil tape fort. J’étais see the rest

Dans la touffeur d’une soirée d’été à Marseille, l’air était lourd d’humidité et de désirs inavoués. J’étais seul dans notre loft en bord de mer avec mon grand frère, Jaxon, qui recevait deux de ses meilleurs potes. « Yo, Milo, tu nous fous la paix ce soir, OK ? Reste dans ta chambre à geeker sur tes jeux, » lança Jaxon, son ton dégoulinant de cette condescendance de grand frère dont j’avais l’habitude. J’ai haussé les épaules, me repliant dans ma chambre pour me see the rest

Chambéry, un dimanche d’automne, fin d’après-midi. Le ciel est lourd, chargé de nuages gris qui écrasent les montagnes environnantes. J’ai rendez-vous au bord d’une départementale discrète, un coin paumé entre forêts denses et champs déserts, là où les phares des voitures percent à peine l’obscurité naissante. Trois mecs, des actifs purs et durs, m’attendent. On s’est chauffés pendant des jours sur une appli, messages crus, photos explicites, promesses de me démonter see the rest

Oubliez Port Galland. Trop de Lyonnais garés comme des sauvages, trop de marche pour rejoindre la plage, trop de chaos. Maintenant, je pose mes valises à Bregnier-Cordon, dans l’Ain, à deux pas du parc Walibi Rhône-Alpes pour les initiés. Une pépite bien cachée, un coin tranquille où la nature brute rencontre des envies brutes. Une plage coquine, un terrain de jeu discret où les regards parlent plus fort que les mots. Ici, pas de chichi, pas de foule. Juste du sable, des rochers, et des see the rest