Dans la touffeur d’une soirée d’été à Marseille, l’air était lourd d’humidité et de désirs inavoués. J’étais seul dans notre loft en bord de mer avec mon grand frère, Jaxon, qui recevait deux de ses meilleurs potes. « Yo, Milo, tu nous fous la paix ce soir, OK ? Reste dans ta chambre à geeker sur tes jeux, » lança Jaxon, son ton dégoulinant de cette condescendance de grand frère dont j’avais l’habitude. J’ai haussé les épaules, me repliant dans ma chambre pour me perdre dans un match de foot virtuel, l’écran comme seule compagnie.La sonnette a retenti, et j’ai reconnu les voix graves et taquines de Zane et Khalil, les vieux potes de Jaxon. Une vingtaine de minutes plus tard, des bruits étranges ont percé le bourdonnement de mon jeu – des gémissements, rythmés et crus, clairement tirés d’un film porno. Ma curiosité piquée au vif, j’ai collé mon oreille contre la porte, captant les sons d’une femme se faisant prendre sauvagement, ses halètements résonnant dans l’appart. Ils matent un porno dans le salon, ai-je pensé, le pouls s’accélérant. Pas de voix, juste les bruits humides et claquant du film. Je ne pouvais pas résister.Je suis sorti de ma chambre comme une ombre, pieds nus sur le parquet frais, avançant vers le salon. Depuis le couloir, j’ai aperçu l’immense écran plat où une brune voluptueuse aux seins lourds et rebondissants se faisait défoncer sans relâche par un étalon taillé, à la peau d’ébène. Sa queue massive, luisante de sueur, s’enfonçait profondément en elle, ses gémissements syncopés avec les coups de reins brutaux. De dos, j’ai vu Jaxon, Zane et Khalil affalés sur le canapé en cuir noir, leurs épaules droites tressautant dans un mouvement révélateur. Ils se branlent, ai-je réalisé, un frisson d’excitation me traversant.Je me suis figé, hypnotisé par la scène à l’écran, mais une part de moi brûlait de voir leurs queues en action. Je voulais plus qu’un aperçu de la brune empalée. Comme un félin, je me suis glissé sur le sol, rampant lentement pour contourner le canapé et me planquer derrière la console en chêne. Chaque mètre était une torture délicieuse, le risque de me faire choper me faisant bander encore plus. Les bruits étaient maintenant plus nets : le claquement humide des mains sur les cuisses, le frottement frénétique de la peau. Mon propre sexe pulsait dans mon short, dur comme jamais.J’ai atteint ma cachette, le cœur battant à tout rompre. Doucement, j’ai tourné la tête pour les mater. Putain, quel spectacle. Jaxon, Zane et Khalil avaient tous la queue à l’air, droites comme des mats, leurs mains s’activant avec une urgence presque animale. La bite de Jaxon était dans la moyenne, bien dessinée, mais celle de Zane, large et veinée, semblait prête à exploser. Et Khalil… bordel, sa queue noire était monstrueuse, au moins 23 cm de chair épaisse, dominant les deux autres sans effort. Je ne pouvais détacher mes yeux de ce trio de branleurs, leurs corps musclés tendus par le plaisir, leurs regards rivés sur la salope à l’écran qui se faisait maintenant prendre en levrette.Mon propre désir était insupportable. J’ai glissé ma main dans mon short pour libérer ma queue, dure et palpitante, mais l’élastique a claqué légèrement. Jaxon a bondi du canapé, sa bite toujours fière, pointant vers moi comme une arme. « Putain, Milo, qu’est-ce que tu fous là ? » a-t-il rugi, ses yeux lançant des éclairs.« Rien, rien, désolé ! » ai-je bafouillé, pétrifié.« Je vais t’en coller une, tu vas voir ! » Il s’est avancé, sa queue oscillant à chaque pas, prêt à me corriger.« Arrête, Jax, laisse-le ! » a lancé Zane, sa main toujours enroulée autour de sa bite, continuant à se branler sans gêne. « Perso, une petite bouche en plus, ça me dérange pas. »« Il est pas pédé, mon frère ! » a rétorqué Jaxon, ignorant que j’étais gay et que ses mots faisaient grimper mon excitation.Khalil, un sourire carnassier aux lèvres, a renchéri : « Moi, tant qu’on mate la meuf à l’écran, une bouche chaude, ça peut être grave cool. T’as pas une perruque qui traîne, Jax ? Pour qu’on s’y croie un peu plus. »Jaxon a hésité, puis a monté les escaliers quatre à quatre, revenant avec une perruque blonde platine et une minijupe en latex noir appartenant à notre mère. « Tiens, Milo, enfile ça, sale pute ! » a-t-il grogné, me jetant les affaires. Ses mots, crus et dominateurs, m’ont fait bander encore plus fort.J’ai obéi, enfilant la perruque et la jupe, mes petites fesses imberbes exposées sous le tissu moulant. Je me suis mis à genoux devant eux, leurs trois queues dressées comme des totems devant mon visage. À l’écran, la brune suçait goulûment une bite énorme, ses lèvres étirées à l’extrême.« Allez, commence par la mienne, frangin, » a ordonné Jaxon, écartant ses cuisses musclées. Sa queue, bien droite, sentait le mâle, une goutte de liquide clair perlant à son sommet. J’ai approché ma bouche, tremblant d’anticipation, et l’ai engloutie. Le goût salé m’a envahi, sa chaleur pulsant contre ma langue. « Hmm, vas-y, salope, suce bien… pas les dents, pute ! Comme ça, ouais… » grogna-t-il, sa main empoignant la perruque pour guider mes mou ...
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