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Voyage en side car au Maroc 46

Publié par : pierre49590 le 08/07/2025
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Je continuais de regarder sans regarder, ne quittant pas vraiment des yeux l’eau, mais conscient du moindre de ses gestes. Puis, sans la moindre gêne, il défit naturellement son short. Mais intérieurement, je savourais chaque détail, chaque seconde où je pouvais le contempler ainsi, nu sous ce ciel brûlant, sa silhouette ciselée et parfaite, debout dans ce décor désertique, comme une statue vivante qu’on aurait abandonnée là, dans un instant d’éphémère perfection.Toujours aussi naturel, il baissa les yeux vers lui-même, comme s’il procédait à un simple rituel, mécanique et dénué de gêne et d’un mouvement fluide, presque distrait, il glissa ses pouces sous l’élastique de son slip, dernier rempart avant la nudité totale. Le tissu descendit lentement le long de ses hanches osseuses, révélant peu à peu une toison discrète, presque rousse, clairsemée, à peine plus foncée que ses cheveux, avant que son membre à, demi déplié, ne se dévoile entièrement, dans un abandon dénué de la moindre retenue.L’espace d’un battement de cœur, je dus me concentrer davantage sur l’eau, sur le moindre mouvement de mes doigts à la surface, feignant toujours cette nonchalance parfaite, alors qu’en réalité, je n’avais rien manqué de la scène.Puis, dans un dernier geste, il se débarrassa de ses chaussures, les envoyant négligemment près de son short abandonné, et s’avança enfin vers l’eau, son corps entièrement offert à la lumière écrasante du désert. Et c’est dans ce déhanchement que je découvrais sa belle petite paire de testicules, presque rosés et à peine poilues.Et moi, toujours immobile, toujours maître de mon apparente indifférence, j’attendais l’instant où il viendrait me rejoindre, où cette baignade deviendrait un instant que ni moi, ni peut-être lui, n’oublierions.Peter venait à peine d’entrer dans l’eau lorsque, brusquement, il s’arrêta, fronçant légèrement les sourcils comme si quelque chose lui revenait en mémoire.— Merde, j’ai oublié mon savon…Sans hésiter une seconde de plus, il pivota sur lui-même, ressortant aussitôt de l’eau dans un mouvement fluide et naturel, totalement indifférent à son état de nudité.Et moi, je fus cloué sur place. Je le regardai, retenant presque mon souffle face à ce spectacle inattendu, mais absolument fascinant. Sous la lumière blanche et impitoyable de l’après-midi, son corps se mouvait avec une aisance absolue, chaque muscle jouant sous sa peau diaphane, sculpté par cette silhouette de danseur dont la perfection m’avait déjà troublé. Mais ce qui captiva définitivement mon regard, ce fut l’adorable jeu de ses deux petites fesses musclées, fermes et galbées sans excès, au pli fessier très marqué, qui accompagnaient son pas souple, s’animant au rythme de sa démarche tandis qu’il remontait vers la rive, vers sa moto. Chaque mouvement faisait apparaître et disparaître des creux subtils au bas de ses reins, soulignant une cambrure délicate, une tension presque féline dans la façon dont il déplaçait son corps, certain de chacun de ses gestes.Mais intérieurement, je savourais l’instant, l’imprimant dans ma mémoire comme une image indélébile, consciente que ce spectacle, dans sa simplicité et sa perfection, resterait gravé en moi bien plus longtemps que je ne voulais l’admettre. Peter revint avec son savon à la main, descendant d’un pas assuré dans l’eau fraîche du ruisseau. Il avançait sans hésitation, sans la moindre gêne, comme si la nudité n’avait jamais eu pour lui la moindre signification particulière. Mais moi, je la percevais différemment. La vasque était exiguë, bien plus qu’elle ne le paraissait. L’espace limité m’obligea à me rapprocher naturellement, jusqu’à ce que nos corps ne soient plus séparés que par quelques centimètres d’eau frémissante.Peter ne sembla pas s’en soucier, concentré sur son rituel simple et mécanique. Il leva son savon légèrement au-dessus de l’eau, et, sans même me regarder, me le tendit d’un geste naturel.— Tiens, tu veux commencer ?Je secouai calmement la tête, lui lançant un sourire en coin.— Moi, je me suis déjà lavé après le massage.Il haussa les épaules, acceptant ma réponse sans poser de questions, puis se mit à frotter lentement le savon contre sa peau, s’immergeant légèrement pour mieux répartir la mousse sur son torse et ses bras.Je ne bougeai pas, profitant de ce moment parfait, où je pouvais l’observer sans le moindre effort. L’eau lui arrivait à mi-cuisses, révélant toute la splendeur de son corps longiligne, sa peau diaphane contrastant avec la clarté ondulante de l’eau. Chaque mouvement était une danse en soi, une gestuelle naturelle et élégante, sans jamais tomber dans l’affectation ou la maladresse. Il passa ses mains savonneuses sur son torse, faisant glisser la mousse sur ses pectoraux plats mais bien dessinés, descendant le long de son ventre, épousant les reliefs subtils de sa musculature. Ses bras se levaient avec cette souplesse propre aux danseurs, ses épaules se tendaient et se relâchaient, créant une suite d’ombres et de lumières mouvantes sur sa peau. Puis il savonna ses hanches, la naissance de ses cuisses, traçant des sillons éphémères de mousse blanche, qui disparaissaient aussitôt sous les ondulations de l’eau.Je restai immobile, silencieux, laissant mon regard se promener malgré moi, cherchant à capturer chaque détail, chaque instant de cette scène que je n’aurais jamais osé espérer. Il était là, offert au soleil et à l’eau, parfait dans sa simplicité, et je me délectais de ce spectacle unique, en sachant qu’il n’avait même pas conscience de ce qu’il m’offrait, gratuitement et spontanément, à cet instant précis.Puis, sans la moindre hésitation, il glissa sa main plus bas. Je me statufiai.Toujours aussi naturel, il s’attarda sur son sexe, le savonnant avec une minutie presque mécanique, comme s’il procédait à un simple entretien, sans aucune pudeur, ni provocation, mais avec une concentration troublante.D’un geste précis, il se décalotta à fond, révélant la chair tendre qu’il nettoya soigneusement, avant de relâcher, d’inspecter un instant, comme pour s’assurer que tout était en ordre, puis de reprendre son savonnage avec une lenteur minutieuse. La sidération me cloua sur place. Ce n’était ni une exhibition, ni un acte volontairement équivoque. C’était juste lui, dans sa logique implacable, entretenant son corps sans la moindre conscience de ce que cela pouvait provoquer chez moi.Et pourtant… Je ne pouvais détacher mes yeux. Malgré ma volonté de feindre l’indifférence, je sentais mon regard s’accrocher à chacun de ses gestes, au glissement précis de sa main, à cette normalité désarmante qui rendait la scène encore plus intense.Puis, à force de ces frictions lentes et méthodiques, sa verge finit par prendre une dimension de bonne taille, bien plus affirmée que le simple début de turgescence que j’avais d’abord remarqué dans sa descente sur les rochers vers moi.Là, enfin, il sembla enfin réaliser ce qui se passait, comme s’il prenait conscience trop tard de la transformation qui s’opérait malgré lui. Son mouvement s’arrêta, il suspendit sa main, hésitant un instant entre ignorer l’évidence ou tenter de la dissiper. Puis, d’un geste instinctif, il leva les yeux vers moi, comme surpris en faute, son regard trahissant une gêne furtive, mêlée d’un amusement un peu nerveux. Un sourire gauche étira ses lèvres, comme un ado pris en flagrant délit d’un moment d’intimité qu’il ne pensait pas partager.Je ne pus m’empêcher de sourire à mon tour, et, d’un ton faussement réprobateur, mais empreint de complicité, je lançai :— Eh bien, tu étais venu ici pour te laver, pas pour te faire plaisir une seconde fois ! Djamila ne t’a pas suffi ?Peter éclata de rire, un rire franc, un peu gêné, mais qui brisa d’un coup la tension.— Oh, merde… lâcha-t-il en secouant la tête, levant les mains en signe d’innocence feinte, comme s’il plaidait coupable d’un crime dont il n’avait même pas eu l’intention. Puis, dans un soupir amusé, il haussa les épaules, et, avec cette désinvolture propre à lui, répondit :— Que veux-tu… C’est indépendant de ma volonté !Je laissai passer une seconde, puis, d’un ton faussement léger, teinté d’un amusement feint, je répliquai :— J’espère bien que ce n’est pas à cause de moi.Il me regarda un instant, les sourcils légèrement haussés, surpris par mon audace soudaine. Puis, au lieu de répondre tout de suite, il esquissa un sourire en coin, une lueur indéchiffrable passant dans ses yeux clairs, mi-amusée, mi-provocatrice.— Pourquoi, tu serais flatté ? lança-t-il, sur le même ton de plaisanterie, testant ma réaction.Je me contentai de hausser les épaules, affichant un sourire indéchiffrable, avant de me détourner légèrement, comme si la conversation n’avait aucune importance. Mais au fond de moi, je sentais que ce jeu, qu’il croyait innocent, avait laissé une trace bien plus profonde qu’il ne l’imaginait.Je ne me démontai pas et, dans un rire léger, je répliquai avec le même humour mordant :— Flatté ? Sûrement pas !Je marquai une pause théâtrale, comme si je voulais lui laisser le temps de digérer ma réponse, puis j’ajoutai, avec un clin d’œil complice :— Et puis, tu n’es pas mon genre… Moi, je donne dans la touriste belge.Peter éclata de rire, cette fois totalement détendu, secouant la tête dans un amusement sin ...

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