JE SUIS SUR LA ROUTE. LE MASSIF CENTRAL ME PLAIT ET J'AIME M'Y PROMENER. CETTE JOURNEE J'AVAIS FAIT UNE RANDONNEE DANS LA FORET. J'ETAIS COUVERT CAR IL FAISAIT PLUTOT FRAIS. ON ENTENDAIT PARFOIS LES OISEAUX. PERSONNE EN VUE.JE VOYAIS LES CIMES, LES PHOTOGRAPHIANT. PUIS CE FUT LE MOMENT DU CASSE- CROUTE. ASSIS SUR UN TRONC COUCHE JE PRIS UN PETIT GATEAU AU CHOCOLAT ET UN PEU DE CAFE DE MON THERMO. JE M' EN FAIS TOMBER SUR MON JOGGING, JE FROTTE. ET JE CONTINUE A FROTTER , J'AVAIS LE JOGGING QUI GLISSAIT, JE SENTAIS LE POIL DE MON PUBIS ET JE CONTINUER A FROTTER SURTOUT A MASSER LE SEXE JE SENTAIS EN MOI UNE FORME DE PLAISIR QUI MONTAIT. QUAND SOUDAIN UN BUCHERON PASSA, ME DIT BONJOUR ET ME DEMANDA SI J'ETAIS DU COIN. JE LUI AI DIT QUE NON ET LUI PROPOSA UN CAFE QU'IL NE REFUSA POINT. IL SENTAIT LE MALE., IL ETAIT GRAND ET FORT. IL ME PROPOSA DE ME GUIDER VERS SON VILLAGE DU CANTAL.NOUS MARCHIONS L'UN A COTE DE L'AUTRE. JE SENTAIS PARFOIS SA MAIN DROITE ME FROLER MA FESSE GAUCHE. JE NE DISAIS RIEN. IL ME DEMANDA OU JE ME RENDAIS. QUE J'ALLAIS BIEN TROUVER UN REFUGE.IL S' ARRETA ET FIT PIPI CONTRE UN ARBRE, JE VOYAIS LE GET , SON SLIP ETAIT BLANC.IL REVINT VERS MOI , LA BRAGUETTE A PEINE FERMEE.IL ME PARLA DE SON VILLAGE , LES 2 VERGES , JE SOURIS, JE ME DEMANDAIS SI TOUT CELA ETAIT BIEN SERIEUX.NOUS Y SOMMES , DIT IL.UNE FERME BIEN ENTRETENUE, IL ME FIT SIGNE D'Y ENTRER. ON SENTAIT ENCORE LA CHALEUR DU FEU DANS LEQUEL IL REMIT UNE BUCHE.IL COMMENCA PAR RETIRER SA VESTE ET ME DEMANDA DE ME METTRE A L'AISE IL S'APPROCHA ME RETIRA LE BLOUZON DU JOGGING.ET ME DIT NOUS SOMMES AU VILLAGE DES 2 VERGES, ME FIT GLISSER LE PANTALON, J'AVAIS CETTE SENSATION DE TREMBLER, SOUDAIN ME BASCULA SUR LA TABLE ET COMMENCA A ME BAISER, LA LANGUE ME PRIT LES TETONS JE COMMENCAIS A GEMIR SES MAINS FROLAIENT MON CORPS. IL ME RETIRA CHAUSSURES ET LE PANTALON . J'ETAIS DEMI NU SUR CETTE TABLE AVEC UN INCONNU DS CE VILLAGE DES 2 VERGES. IL CONTINUAIT A C ...

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