Je suis rentré plus tôt ce jour-là, le jour de mes dix-huit ans. La maison était silencieuse, comme toujours enmilieu d'après-midi. Ma mère était encore au travail, et Paulo, mon beau-père, devait être en train de faire lasieste ou de regarder la télé. J'ai tourné la clé dans la serrure, poussant doucement la porte d'entrée. C'est alorsque j'ai entendu un bruit étrange venant du salon, un genre de grognement étouffé, suivi d'un claquement sourdet régulier.Curieux, je me suis approché sur la pointe des pieds, posant mon sac à dos par terre sans faire de bruit. La portedu salon était entrouverte, et j'ai jeté un coup d'œil à travers l'entrebâillement. Ce que j'ai vu m'a fait retenirmon souffle. Paulo était assis sur le canapé, son jean baissé jusqu'aux chevilles, sa main enroulée autour de sonénorme bite. Il la branlait lentement, les yeux rivés sur l'écran de l'ordinateur portable posé sur la table bassedevant lui. Des images pornos défilaient, accompagnées de gémissements et de cris de femmes en chaleur.Je n'arrivais pas à détourner le regard. Sa queue était impressionnante, longue et épaisse, avec des veinessaillantes qui serpentaient le long du shaft. Le gland était rouge et luisant, déjà humide de précum. J'ai senti monpropre sexe durcir dans mon jean, une chaleur étrange m'envahir. Je n'avais jamais vu un homme se touchercomme ça, encore moins un homme que je connaissais. C'était excitant, interdit, et je ne pouvais pas m'enempêcher.Paulo a soudainement tourné la tête vers la porte, comme s'il avait senti ma présence. Ses yeux se sontécarquillés, et il a lâché sa bite, qui a rebondi contre son ventre musclé. "Putain, mais qu'est-ce que tu fous là?!" a-t-il grogné, paniqué, en essayant de remonter son jean. Je suis resté figé, les yeux toujours fixés sur sonsexe à moitié caché. "Tu... tu aurais pu frapper, bordel !" a-t-il ajouté, le visage rouge de honte et de colère.Je me suis senti mal à l'aise, mais aussi étrangement excité. "Désolé, je... je ne savais pas que tu serais là," ai-je bafouillé, incapable de détourner les yeux de son entrejambe. Paulo a soupiré, passant une main dans ses cheveux bruns. "Écoute, ne dis rien à ta mère, d'accord ? Elle ne comprendrait pas." J'ai hoché la tête, toujours hypnotisé par sa bite qui commençait à se ramollir. "D'accord, je ne dirai rien," ai-je murmuré, avant d'ajouter,plus audacieux : "Mais à une condition."Paulo a levé un sourcil, intrigué. "Laquelle ?" J'ai avalé ma salive, sentant mon cœur battre plus vite."Laisse-moi... laisse-moi te finir avec ma bouche." Les mots étaient sortis avant que je ne puisse les retenir.Paulo m'a regardé, stupéfait, puis un sourire lent et malicieux s'est dessiné sur ses lèvres. "Tu es sérieux, gamin?" a-t-il demandé, sa main se refermant à nouveau autour de sa bite, qui a tressauté sous le contact.J'ai fait un pas en avant, puis un autre, jusqu'à me retrouver à genoux devant lui. "Oui," ai-je répondu, la voixtremblante d'excitation. Paulo a grogné, caressant son sexe qui durcissait à nouveau. "D'accord, mais si tu lefais, tu le fais bien," a-t-il dit, sa voix rauque de désir. J'ai hoché la tête, les yeux rivés sur sa bite qui se dressaitmaintenant fièrement devant mon visage. J'ai tendu la main, enroulant mes doigts autour de son shaft épais. Ilétait chaud, presque brûlant, et je pouvais sentir son pouls battre sous ma paume.J'ai approché mon visage, sentant l'odeur musquée de son sexe. J'ai sorti ma langue, léchant doucement legland, goûtant le précum salé qui perlait à son extrémité. Paulo a gémi, ses doigts s'enfonçant dans mescheveux. "Putain, c'est bon," a-t-il murmuré, poussant légèrement ses hanches en avant. J'ai ouvert grand labouche, engloutissant son gland, puis plus, jusqu'à ce que sa bite touche le fond de ma gorge. J'ai commencé àalle ...

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