Voilà deux jours que je n’avais pas vu Younés et mon corps était en demande. Fébrile et excité.Dans l’après-midi, je reprenais ma petite robe et un peu de maquillage que je chipais par ci par là à mes nombreuses cousines. Sur l’étendoir à linge séchait un petit string en satin noir à ma taille et je l’emportais aussi. Je trouvais dans la salle de bain un fond de pot de crème Nivea. Je pris une douche, me parfumais avec du parfum de ma mère et m’enduisais mon anus de crème Nivea. J’avais lu que la lubrification adoucissait la pénétration. Enfin, je pris le chemin pour aller voir mon homme dans la petite clairière. Avec la glace, je me maquillais. Les yeux, les sourcils et les lèvres. Je me trouvais belle et féminine avec mes longs cheveux longs qui descendaient en dessous des épaules. J’enfilai le string de satin noir qui me fit avoir un léger frisson de plaisir. Puis j’enfilais la mini robe bleue et me plaçait derrière l’arbre à attendre mon homme. Il passait toujours à la même heure. Précis, ponctuel. Il regarda dans ma direction et me vit. Son visage me délivra un grand sourire et il vint dans ma direction. Il s’arrêta devant moi et me dévisagea des pieds à la tête.« Alors ma coquine, tu as envie de ton chéri »« Oui » répondis-jeIl me prit par la main et m’emmena dans la petite clairière en dehors du chemin. Il prit son temps pour faire durer son plaisir et le mien. Nous restâmes environ une heure et demi entre douceur et sodomie presque brutale. La crème avait été de bon salut car je supportais tout avec plaisir.Cela dura ainsi durant 15 jours à raison de 4 fois par semaine. Mon maquillage s’améliorait et mon excitation augmentait en même temps que le plaisir.Un matin, je me levais avec une excitation et une érection monumentale. Je savais où travaillait Younés. Il me fallait son sexe. Je pris le chemin qui emmenait vers le champ ou il était. Du personnel agricole ramassait du tabac et lui conduisait le tracteur. Je me cachais et attendit qu’il arrive au bord du champ qui longeait le chemin. Avant qu’il fasse demi-tour je m’élançais comme si j’étais en promenade. Il me vit et marqua le coup d’étonnement. Il commença son demi-tour et s’arrêta. Il y’avait le tracteur entre les ouvriers et moi. Avec le l’aplomb, je le regardai et sorti ma langue et la frottait sur mes lèvres. Il comprit. Je continuai le chemin et pris un chemin à l’orée de la foret et me plaçais derrière un chêne. J’attendis cinq minutes et de mon poste je le vis descendre du tracteur en faisant semblant d’aller vers le bois pour se soulager. Il arriva et me dit« Je travaille là, tu peux attendre la fin de la journée » « Non répondis-je. Maintenant !! »Mon assurance l’excita. Il défit son pantalon et me sortit un sexe presque en érection. Je me mis à genoux et l’engouffrai en fond de gorge. Plus je le suçais et plus je gémissais de plaisir. Lui ferma les yeux et se laissa faire. Je voulais son jus, j’avais appris à l’aimer. En 3 minutes il gicla son foutre au fond de ma gorge et m’empressais de tout avaler. Je tirai sur sa verge comme pour le traire et récupérer la dernière goute. Je me levais, me blotti contre lui et d’un grand sourire je lui dis « A plus tard ». Je repris le chemin de chez moi soulagée.A partir de ce moment, je pris l’habitude de venir le rejoindre n’importe où et n’importe quand dès que mes hormones se mettaient en ébullition. J’aimais cette façon de faire et cela m’excitait de savoir que je risquais d’être surpris.Un soir que mes parents étaient absent et que j’étais avec mes cousines à regarder la télé. Je leur dis que j’allais rejoindre un ami et que j’en avais pour une heure. Je ma faufilais dehors, pris mon sac avec tout mon nécessaire de fille et décidais d’aller le chercher dans la petite maison qu’il partageait avec deux autres personnes qui étaient là pour les récoltes en provenance du Maroc. C’était une petite maison forestière avec 3 chambres, salle de bain commune et deux toilettes. Il y’avait aussi une petite cuisine et un petit salon avec table et TV. Elle appartenait au père d’un collègue d’école et nous avions déjà joué dedans auparavant. Je la connaissais bien. Je savais dans quelle chambre était Younés. Je m’empressais de me changer et aller grattais au volet de sa chambre avec délicatesse. Je vis la lumière s’allumait à travers les lattes en bois. Le volet s’ouvrit et il me vit. Il me sourit. Il était nu. Il sauta le rebord et ferma très délicatement le volet. Nous nous sommes éloignés d’une cinquantaine de mètre. Il était en hyper érection. Il me prit comme on prend une chose pour son propre plaisir. Il était fougueux et il râlait fort. Moi j’éjaculais de sentir son membre aussi dur aller et venir en moi. Cela dura un quart d’heure. Il m ensemença avec force et brutalité. Il cria de plaisir. Il m’embrassa sur la bouche et tapa sur la fesse et me dit « Va te coucher petite chienne » J’aimais ces mots-là. Nous primes l’habitude de faire cela partout et en tout temps. J’étais addict au sexe.Au Début d’aout, ce fut la fête du village. Auto tamponneuse, stand de tir, barbe à papa constituait le gros de ces festivités avec une course de vélo régionale et un concours de pétanque était organisait pour l’évènement. Tout le monde était là. Je croisai donc mon Younès avec des collègues a lui. Il me sourit sans plus. Ils me regardèrent tous les trois et se mirent à rire. Puis ils s’éloignèrent. J’étais avec mes cousines et profitions de toutes les activités.En fin de journée, je vis mon Younés seul près d’un stand. Il me regardait. Il me fit signe de le suivre la tête. Je regardais autour de moi et vis mes cousines sur les autos tamponneuse qui s’amusaient. Je lui fis OK et me mis à le suivre à une centaine de mètres de distance. On était rapidement à la sortie du village. Il continua sur deux cent mètres et rentra dans une grange qui servait à stocker des semences. Là il me baissa mon short et me mis rapidement nu. Il m’embrassa et me masturba. Il enleva son short et me pris ainsi durant une demi-heure. Alternant les positions. Il éjacula se rhabilla et comme d’habitude, je devais attendre une dizaine de minutes pour sortir. Il y’avait des vieux chiffons et je commençai à m’essuyer. J’entendis un bruit et soudain un homme d’une soixantaine d’année que je connaissais de vu se planta devant moi. J’étais tétaniser, nu et en état de panique totale. Par instinct, Je reculai et mon dos se plaqua contre un mur. Il était immense, large comme un rugbyman. Ses mains ressemblaient à des battoirs à linge. « Que fais-tu là » me dit ilJe ne sus quoi répondre. « Je t’ai vu avec l’arabe. Depuis tout a l’heure je vous surveille »Mon cœur s’accéléra. Je paniquais de plus en plus. « Tu es la pute de l’arabe ? » « Oui, non » je ne savais que dire. « Tu sais, je peux aller voir tes parents et dire à tout le monde ce que je viens de voir » « Non, non s’il vous plait » j’allais m’évanouir en réalisant toutes les conséquences.« Il y’a bien une solution qui nous arrangerait tous les deux » « Oui » dis-je.« Tu vas faire avec moi ce que tu as fait avec l’arabe et après on est quitte. Je ne dirai rien »« Oui je veux bien »Je me détendis un peu.Je le regardais maintenant. Il était immense et imposant. Pas loin des deux mètres.Il défit sa chemise, des muscles de partout avec des poils sur le torse grisonnant. Des bras plus gros que mes cuisses. Il descendit so ...
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