Par ces premiers frimas de décembre, je pense que cette lecture réchauffera mes fidèles lecteurs !Je sentis un frisson me traverser, des épaules jusqu’aux cuisses. Il dut le percevoir car un léger sourire passa sur son visage, sans ironie, un sourire doux, presque grave. Ses mains glissèrent sur mes hanches, les saisirent un instant comme pour m’ancrer plus solidement sous l’eau. Puis il se pencha légèrement et lava mes cuisses, les massant de ses doigts, suivant la ligne interne jusqu’à mes genoux avant de remonter plus lentement, jusqu’à la base de mon sexe.Je le vis inspirer profondément, comme pour se donner du courage. Il posa alors ses mains sur moi. Ses doigts enveloppèrent mon sexe avec une infinie précaution, presque une révérence silencieuse. Il le lava sans empressement, le faisant rouler entre ses doigts, passant le pouce autour du gland, nettoyant la base, les testicules, la peau fine et tendue, avec une attention si concentrée que j’en sentis ma gorge se serrer. Il ne cherchait rien d’autre que ce geste-là, simple, pur, un soin donné comme on honore un corps aimé.Puis, lentement, il posa ses mains sur mes hanches et me fit pivoter à nouveau. Je sentis sa main droite, couverte de mousse, se poser sur la courbe de ma fesse, la masser doucement, comme s’il voulait d’abord en prendre la mesure, la forme, la chaleur. Il fit de même avec l’autre, ses deux paumes à plat, pétrissant légèrement, puis glissant ses doigts jusqu’à la limite de la raie. Il étala la mousse avec soin, lavant toute la surface de mes fesses, puis fit glisser son pouce le long de mon sillon, sans brusquerie, avec une douceur lente, presque solennelle. Son geste était précis, attentif, mais sans aucune vulgarité : il lavait simplement, soigneusement, comme on lave un amant, un corps qui vous est confié.Je sentis mon souffle se bloquer un instant, puis repartir plus vite, plus profond. Un petit gémissement silencieux m’échappa, plus un soupir qu’un son. Il continua, descendant jusqu’au creux de mes cuisses, les massant lentement, remontant sur l’intérieur, là où la peau est plus fine et plus sensible, avant de rincer la mousse d’un jet tiède, guidant l’eau avec soin pour que rien ne reste.Enfin, il posa ses deux mains à plat sur le bas de mon dos, les remonta lentement jusqu’à mes omoplates, puis les redescendit, glissant sur mes flancs pour revenir à ma taille. Je me tournai vers lui. Son regard était posé sur moi avec une intensité calme, presque grave. Il posa ses mains sur mon ventre, puis les remonta jusqu’à mon torse, avant de s’arrêter sur ma poitrine, ses pouces effleurant mes tétons dans un frisson involontaire.Il s’approcha alors, posa son front contre ma clavicule, resta ainsi un long moment avant de murmurer, si bas que je l’entendis à peine sous le bruit de l’eau : Tu es canon… tellement beau…Je fermai les yeux un instant. Ses mots résonnèrent dans ma poitrine avec une force tranquille, comme un ancrage, comme une bénédiction silencieu ...
... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration
This site is reserved for a MAJOR public. It contains images and texts of a sexual nature that may offend certain sensibilities. Please leave if you are a minor.
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Yes, I am over 18 years old ! No, I'm a minor

