J'ai 19 ans et j'ai, à cette époque-là, une petite amie avec qui j'aime faire l'amour ; mais j'ai aussi l'envie des garçons. A cet âge, il m'est seulement arrivé de sucer des copains, dans la cabine près des vestiaires, trois en fait (respectivement Laurent, Gildas et Hervé), le troisième ayant été informé par les autres que je suçais. Je décide d'arrêter.Quelques mois après, mes parents reçoivent des voisins et parmi eux un jeune gendarme (la trentaine). A cette époque-là, ma famille est houleuse et je rêve un peu de familles parfaites comme me semble être celle de ce gendarme et de sa femme, belle. Ceci jusqu'au moment dans la soirée où, alors que j'aide ma belle-mère à faire le service, il me fait un rapide clin d'oeil. Je suis étonné ; ai-je bien vu ? Je crois qu'il perçoit mon trouble. Il n'y aura qu'un seul clin d'oeil ce soir-là et je me mets à fantasmer. Je me branle plus tard en imaginant son corps, sa queue, des poils sur son torse, ce qu'il fait à sa femme.Un mercredi, quelques semaines plus tard, on sonne à la porte, j'ouvre et c'est lui. Ton père n'est pas là ? Il sait très bien que mon père n'est pas là, il prétexte un besoin de perceuse pour du bricolage, je bafouille quelques mots et très vite il me propose de venir chez lui, je suis surpris, silence, et j'accepte.Sa femme est en séminaire à 60 km de la ville et ne reviendra pas avant ce soir. Je suis interdit dans le couloir de son appartement, il est beau et doux, il me demande si j'ai envie, je fais signe que oui et très vite il sort sa queue, très raide (c'est comme une entorse dans la douceur) mais, moi, avec une audace qui me surprend, je m'agenouille et commence à regarder cette queue et très vite à la sucer, ma tête explose, j'ai l'impression que je peux mourir après ça, tenir enfin une queue d'homme, la sucer, je ne le sais pas encore mais je saurai tenir les hommes avec ça -sucer- car immédiatement au contact d'une bite, ma bouche se met à saliver abondamment rendant facile le fait de la prendre très profond dans ma gorge. Je salive déjà ce jour-là et n'ai pas de mal à sentir ses poils contre mon nez, je suis très excité, il m'arrête, me relève, m'embrasse, j'aime. Puis il m'entraîne vers la chambre, il baisse mon slip, il regarde ma queue, il la caresse, il me regarde en faisant signe qu'elle lui plaît, en tout cas parvient-il à me le faire croire et je suis fier comme un paon, il caresse mes fesses comme on ne l'a jamais fait, les presse un peu, les caresse encore, mon corps s'échauffe, se déploie, il me montre le lit et me met sur le dos, il prend le dessous de mes cuisses, je suis les jambes levées, comme une femme pour l'amour, j'ai u ...
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