J’étais un adolescent déluré dans les années 90 et j’allais souvent me promener en scooter dans les endroits où j’avais entendu que des mecs venaient faire leur petite affaire entre eux.Pas d’internet ni de GPS à l’époque, c’était un peu au petit bonheur la chance et je dois bien avouer que je me retrouvais le plus souvent dans des coins paumés où rien ne se passait...Une fois cependant, je marchais sur un chemin de terre avec à ma droite une vaste étendue de vignes et de l’autre coté, un début de forêt.Je me baladais depuis une bonne dizaine de minutes quand une voix m’interpella derrière au loin:« éHo! »Je me retournais pour voir arriver un homme qui avait l’air de boiter un peu, probablement la soixantaine, pas très grand et assez trappu.Il était accompagné d’un gros chien noir.Il arriva donc à ma hauteur et m’invectiva sans préambule avec une voix rocailleuse et un fort accent du sud: « Je suis garde-chasse moi ici et je surveille les allées et venues, qu’est ce que tu fais ici? »Je le regardais des pieds à la tête, il portait des sandales, un short et un simple polo sportif.Tout ça me semblait bien léger pour un authentique garde-chasse aussi répondis-je avec un sourire narquois:« Bah j’me promène, pourquoi, j’ai pas le droit? »- Oooh mon garçon, si y a bien truc que j’aime pas, c’est l’arrogance. Tu vas me suivre tout de suite!- Et pour aller où? fis-je sur le même ton.- Tu verras bien et c’est moi qui pose les questions ici. Et puis il va falloir montrer un peu plus de respect. C’est compris ça?- Oui chef! fanfaronnai-je sur un ton martial.Le chien de l’homme était sagement resté assis au pied de son maitre pendant tout ce temps.Maintenant que nous marchions tous les deux, il tournait autour de nous en remuant la queue.Après avoir marché quelques minutes, nous arrivâmes à ce qui semblait être une cabane pour chasseurs.Une toute petite maison en ruine, il n’y avait plus de porte et de fenêtre, une seule pièce délabrée avec comme seul mobilier un banc.Les murs étaient couverts de graffitis en tout genre et un coin semblait avoir brûlé, surement les jeunes du coin s’y retrouvaient pour faire la fête.Il faisait frais à l’intérieur ce qui n’était pas désagréable car il faisait vraiment chaud dehors.Sur le même ton sévère, l’homme me dit d’emblée: « Voila, je vais te fouiller maintenant. Mets les mains sur la tête et écarte tes jambes! »La situation commençait à m’exciter et je m’exécutais, croisant mes mains sur la nuque et écartant autant que me le permettait mon jeans. Je pris aussi soin de bien cambrer mes fesses.L’homme passa derrière moi et les agrippa fermement, il avait de la force et je pouvais le sentir. Il me pelota ainsi le cul un bon moment.On n’entendait que le bruit des cigales à l’extérieur et l’halètement du chien qui ne ratait rien de la scène.L’homme s’était maintenant collé à moi et avait passé ses mains sous mon t-shirt.Je sentais sa bite contre mes fesses et il trouva sans peine mes tétons, durcis par la fraîcheur de l’endroit.Il les pinça délicatement d’abord puis plus fort.- Haaan... soupirai-je avec excitation.- Allez, je sais très bien ce que t’es venu faire ici, petit salaud. Ça te plait ça, hein?- Oui chef... avouai-je.Il tirait mes tétons vers le haut et je m’étais carrément mis à bander maintenant.- Vilain garçon, me souffla t-il à l’oreille.Il souleva alors complètement mon t-shirt et vint me fourrer le pan dans la bouche comme si c’était un baillon. C’était plus fort que moi et je ne ne pouvais pas m’empêcher de frotter mon petit cul contre lui, je pouvais sentir qu’il bandait lui aussi.Il tourmentait toujours mes tétons à l’air maintenant et je m’étais mis à gémir.« Tu pointes comme une salope, dis donc... »En baissant les yeux, je remarquai que le chien avait sa truffe collée sur ma braguette et sa queue fendait l’air tellement il la remuait.- Il a reniflé quelque chose on dirait. Qu’est-ce que tu caches là, petit cochon?- Rien chef... fis-je d’une voix étouffée par mon t-shirt toujours entre les dents.- Pas la peine de mentir, tourne-toi!Je fis volte-face tout en gardant les mains jointes derrière la tête et je tendis du mieux que je pus mon bassin vers lui.Il déboutonna lentement mon pantalon et baissa ensuite mon slip d’un geste vif, ma queue jaillit, droite comme un i.« Petit vicieux, va! Tu vas voir un peu... »Il saisit ma queue raide dans sa main et avec l’autre, commença à m’administrer des claques du bout des doigts, de haut en bas sur mon gland décalotté. La douleur s’estompa vite pour laisser place à une vague de chaleur à chaque fois que sa main s’abattait. Je faisais mine de protester avec de petits cris mais le bout de mon gland était complètement mouillé d’excitation.- Tu vois ce qui arrive quand on est insolent?- Oui monsieur le garde-chasse, répondis-je, ayant l’air d’avoir capitulé.Après encore quelques claques, il me laissa pantelant, pensant que ma punition était finie.Mais m’entrainant alors vers le mur le plus proche, il plaqua mes paumes contre la paroi et penché ainsi, je pouvais offrir complètement mes fesses.Il vint se placer à coté de moi et me tournant le dos, saisit mes hanches sous le bras.Impossible comme ça d’échapper à la fessée que j’allais recevoir.Il baissa encore mon slip jusque mi-cuisses et commença sans plus de façon à corriger mes fesses.Ses claques étaient sonores et il alternait la droite puis la gauche.J’en avais déjà reçu quelques unes et à nouveau, l’excitation me gagnait.Il ponctuait la correction de mots crus et humiliants, je devais vraiment me mordre la lèvre pour ne pas crier mon plaisir.- On ne t’entend plus, petit con! Tu aimes ça, pas vrai?- Oh oui monsieur, merci... laissai-je échapper, le souffle court.Le chien se mit tout à coup à aboyer, deux jappements secs et des pas dehors se faisaient entendre.Je voulus me redresser par réflexe mais l’homme me maintenait fermement en position.- Tu bouges pas! Compris?- Bien chef...Un autre homme venait d’apparaitre dans le cadre de la porte, je ne le distinguais pas à cause du contre-jour mais lui aussi avait cet accent de la campagne du sud de la France:« Té, mais qu’est-ce tu fais? Tu as l’air de bien t’amuser là... » fit-il à mon fesseur.Les deux hommes avaient l’air de se connaitre et mon garde-chasse me délaissa quelques instants pour aller serrer la main du nouveau venu.De mon coté, je gardais la position, appuyé contre le mur, tête baissée et le cul à l’air.- Je corrige un jeune, il en avait ...
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