Samedi quinze jours après mon dépucelage, j’arrive à Barbès en métro je suis habillé presque comme la semaine dernière jean blanc très moulant pas de slip avec la finesse du tissu on devine que je n’en porte pas, une chemisette blanche très fine aussi, donc un peu transparente. En sortant de la station il y a des pissotières pas mal de blacks et d’arabes trainent aux alentours. Tout de suite je repense à la semaine dernière. Pourquoi pas me dis-je, et je me mets dans la file, je serre le type devant moi, c’est un vieux bien habillé, il n’est pas du quartier ça se voit. Il m’a senti derrière lui et recule un peu avec une main dans le dos, je me colle à celle-ci aussitôt il me palpe, il la sent grossir et sa caresse s’intensifie, il me fait bien bander le salaud. Des places se libèrent nous entrons il s’installe à la première, je prends la suivante je suis à côté d’un grand black, il me voit arriver, me détaille bien sourit et me tend sa queue, un beau morceau. J’entreprends de le branler, j’étais tellement attirer par le black que je n’ai pas pris le temps de sortir ma bite et le vieux reste sur sa faim. Je m’occupe bien de la belle bite, ça lui plait, elle jouit rapidement, je lui glisse : « Je vais au Louxor si ça te dit. » « Peut-être » dit-il en partant. Je sors aussi, direction le cinéma. Il n’y a pas de queue donc je rentre de suite et descend aux les toilettes, il y a pas mal de monde dans les couloirs qui fument ou discutent, je sens les regards sur moi je me dirige vers les urinoirs, très sensuellement j’ouvre mon pantalon et sort ma queue aussitôt deux blacks s’installent de chaque côté et sortent deux splendides engins. Je montre ostensiblement mon intérêt mais ne touche pas, je rentre ma bite ne ferme pas le jean et doucement je me dirige vers les toilettes des femmes, les deux blacks me suivent, je rentre dans une cabine et m’adosse contre le mur en déboutonnant ma chemise. Les deux noirs se campe devant la porte grande ouverte, Ils me fixent en se caressant la queue par-dessus le pantalon. Je les regarde faire avec insistance et commence par enlever ma chemise puis doucement j’ouvre et baisse mon jean en me caressant les fesses, leur tourne le dos en me penchant en avant, avec mes mains je m’écarte les fesses et leur offre ma rondelle, lentement je balance mon cul de droite à gauche.Un seul rentre en laissant la porte ouverte, je devine qu’il s’approche pose ses mains sur mon cul m’écarte bien les fesses et commence à le bouffer, il a une grande langue c’est un régal.Il se relève, je reste en position, j’attends impatiemment d’être pris, il me caresse le cul avec sa grosse queue puis s’approche de mon trou qui s’est bien ouvert sous l’effet de sa langue et doucement il force l’entrée et s’enfonce, s’enfonce il me fait un peu mal, je bouge pour l’aider à rentrer, je gémis. Il me redresse me plaque contre lui et nous retourne, en me tenant contre lui, il s’assoie sur la cuvette et me tient pour que je m’empale bien puis les mains sur mes hanches m’aide à monter descendre sur ce pieux, encore et encore. Son copain qui n’en a pas perdu une goutte entre dans la cabine le sexe à la main, il ferme la porte puis s’approche de moi et commence à me frapper le visage avec sa queue, j’ouvre la bouche en grand et sort ma langue. Il pose sa bite sur ma langue et me laisse faire. Je le lèche goulument puis l’englouti et laisse sa queue s’enfoncer dans ma gorge pendant que je continue mon va et vient sur le pieu de son pote, il m’arrête me fait lever et me retourne, j’offre mon cul à l’autre pendant qu’il m’enfourne sa queue dans la bouche, me bloque la tête et s’enfonce dans ma gorge lentement profondément, me maintient sans bouger, son pote me démonte le cul à grand coup de reins. La queue du premier gonfle, il me bloque bien et avec un petit coup de reins se vide au fond de ma gorge, je le lèche doucement j’avale tout. L’autre se déchaine, m’attrape par le cou et me tire en arrière, ce qui me cambre beaucoup, et me défonce brutalement, c’est bon j’adore, je vais jouir « plus fort, plus fort, défonce-moi » criais-je hagard. Les coups de boutoir s’accélèrent, je jouis le premier, il s’en rend compte et en trois coups de reins puissant se vide avec un râle sourd, il se retire, je me retourne, me met à genoux et lui lèche la bite, il me laisse faire puis gentiment me repousse et m’aide à me relever. Je suis entre eux, ils me tiennent par la taille et me caressent tendrement, ils sont mignons mes deux beaux blacks. Celui qui m’a fait jouir me roule une pelle en me caressant les fesses, je me serre contre lui puis pris de remords je me tourne vers l’autre et l’embrasse aussi. On se rhabille, moi toujours le jean à moitié fermé et la chemise déboutonnée et on sort ensemble. Je suis entre les deux ils me tiennent par la taille et on déambule comme ça dans les couloirs des chiottes, j’ai l’impression qu’ils exhibent leur conquête. Ça me va bien. On se sépare en se promettant de se revoir dans l’après-midi. Je monte dans la salle du rez-de-chaussée et m’installe dans un coin tranquille j’ai envie de souffler. Une dizaine de minutes plus tard je commence à regarder autour de moi, c’est calme, il ne se passe rien ici. Je sors de la salle et je tombe sur Enki qui vient d’arriver. « Alors ma pute, il y a longtemps que tu es là ? Putain tu vois comment tu es fringué, tu serais à poils ça serait moins bien, tu es un véritable appel au viol » dit-il en se marrant Je lui raconte mon arrivée et il se met en colère ; « je t’avais dit pas de cul avant qu’on se revoie, il faut m’obéir » et il me gifle devant tout le monde. Avec la réaction des gens, je comprends qu’Enki est coutumier du fait. Pour eux je suis vraiment sa pute et lui mon maque. J’ai l’impression, justement que la réaction, ou l’absence de réaction l’a surexcité. « Allez vient, il faut que je te dérouille, je ne vais pas laisser passer ça » il le dit assez fort pour que tout le monde l’entende. Il me pousse devant lui en direction des toilettes, on descend, dans les escaliers, il m’arrête me tourne ouvre complètement mon jean, j’ai la queue bien visible, il ouvre bien ma chemise et dégage une épaule et me pousse devant lui. A un type qui remonte il dit : « T’as vu la pute que je ramène, il va recevoir ce pédé » Il me pousse vers une cabine des toilette hommes, comme je rentre, il me rappelle : « vient ici poufiasse » je me retourne et me dirige vers lui, il m’envoie un aller et retour, j’ai les joues bien rouges. Il prend l’assistance à témoin : « Cette tafiole n’est pas foutu d’obéir, elle se fait baiser quand je lui interdit, en plus elle me le raconte, elle me prend pour un con »« Je vais la dérouillée, régalez-vous profiter du spectacle »« A poils, et complètement » dit -il (il est surexcité ça faire mal)« Regardez, il sait qu’il va recevoir grave, ça le fait bander » d’un seul coup les gens sont plus attentif ça les intrigue.Je suis à poils dans la cabine, il vient et voit que je bande bien il me fait sortir et me montre à l’assistance qui se marre en me voyant bander. Il me fait mettre les mains sur le chambranle de la porte et enlève sa ceinture et les coups commencent à tomber, la ceinture me cingle les hanches, le torse, les fesses. Tout le corps me brule, je suis pris de tremblement et je bande.« Vous voyez comme elle aime ça la petite tapette » dit-il en me poussant dans la cabine, il sort en poussant la porte. Je l’entends parler mais je ne comprends pas. La porte s’ouvre il me tire dehors, m’amène vers les urinoirs et me fait mettre à genoux entre deux urinoirs, avec les pieds il m’écarte les cuisses et les talons de façon que j’ai les fesses et les couilles par terre et me plaque bien contre le mur. Il s’écarte et fait signe aux spectateurs « Il est à votre disposition » dit il se sourire aux lèvresDeux mecs s’approchent, le premier me fourre sa bite dans la bouche, je le suce avec application, il jouit rapidement je continue de le sucer jusqu’à ce qu’il parte, « Elle est bonne la pouffe » dit il satisfaitLe second me passe la queue sur le visage, je le laisse faire docile et ouvre la bouche la langue tirée, j’attends il me la met dans la bouche je le suce, lentement il gonfle je m’applique, il me gicle dans la gorge je continue de lécher, il me laisse sa queue j’avale bien tout et il commence à me pisser dans la bouche, je suis surpris mais continue d’avaler, il me remplit bien et s’en va en disant « C’est une sacré cochonne cette chienne elle à tout avaler » j’en suce encore deux puis Enki viens me chercher je me relève avec le sourire. Il me regarde surpris « ça t’as plu ? »« Oui, tout m’a plu, du début à la fin » dis-je tout excité.Il me fait appuyer les fesses contre le lavabo et les mains derrière moi, j’ai la queue bien dressée et il commence à la gifler comme il sait faire, je bande de plus en plus tout le monde le voit mais pour jouir il me manque un mandrin dans le cul. Enki le sait, s’arrête et m’envoie me rhabiller. Je ressors, aussitôt il vient vers moi me dégrafe le pantalon écarte les pans légèrement déboutonne ma chemise et dégage les deux épaules. « C’est mieux, tu e ...
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