Le jogger part 2Purée qu il est beau! Et charmeur! Nos yeux sont rivés l’un à l’autre, on a l’impression d’être seuls, dans une bulle, tel un paon on fait le beau, essayant de projeter nos meilleurs atouts, hey quoi de plus normal la tension sexuelle est palpable, je sens mon sexe palpiter, ses yeux brillent, tout à coup une de ses jambes frôle une des miennes, j’accentue la pression, et lui aussi, notre conversation devient plus personnelle, plus intime, nos doigts se frôlent, on se la joue discret afin de ne pas froisser nos voisins de table.Ne tenant plus il me dit tout doucement j’ai envie de toi.Cela a suffit pour me secouer après avoir régler l’addition on se hâte de rentrer chez moi, j’ai eu l’impression de voler sur le trottoir, à peine ma porte ouverte qu’il se jette sur moi, à moins que ce soit moi qui me sois jeter, nos bouches l’une contre l’autre, nos lèvres ouvertes, nos langues fouillant se mêlant, nos corps serrés l un contre l autre, nos sexes durs se frottant, nos mains se baladant, on respire fort! Heureusement la chambre n est pas loin, nos habits tombent les uns après les autres, on se retrouve à poil, étendus sur le lit, nos corps s’emmêlant , mes pecs sont durs tellement je suis tendu, son corps est enfin à moi, ma langue voyage autour de son cou et derrière son oreille, nos respirations s’accélèrent, nos mains tracent des sillons de feu feu sur nos corps, je sens son sexe de belle taille contre le mien, je mouille comme jamais je n ai mouillé, il descend vers mes tétons avec sa bouche, et la c’est le délice, je suis très sensible des tétons, et comme s’il l avait ressenti il joue sur chacun avec langue en les aspirant de temps en temps, seuls les gars qui font l’amour aux femmes savent le faire, il pétri mes pecs comme si ils étaient des nichons avec force et douceur, mon corps me trahit, il ne m’appartient plus, j’en tremble, je sens son sexe contre une de mes cuisses je veux le toucher mais il m en empêche, il continue son exploration, avec sa bouche et sa langue en maintenant mes poignets avec ses mains, qu’elle poigne, mon corps se raidit, je ne suis qu’un pantin livré à ses désirs, il me mordille me lèche, sa langue atteint mon nombril et avec le bout de celle-ci il joue avec, c est la première fois qu on me fait ça, j’en tremble de volupté, machinalement où naturellement ou instinctivement me ...

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