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Défoncé par le Surfeur !

Publié par : lopepourmecs le 10/11/2025
** NEW **

toujours en vadrouille pro sur la côte basque, mon dernier call se boucle sans accroc, je squatte ma suite au Novotel et file direct à la salle (Keep Cool cette fois) pour cracher mes tripes. Dans ce coin, j'avais un fan hardcore de mes chroniques pornos sur Recon, un prétexte en or pour passer du chat torride au concret – j'avais même zappé mon itinéraire pour choper un hôtel pile dans son secteur, à deux pas des vagues de Biarritz.De minute en minute, ce taré se montait une pression de ouf pour notre plan foireux en suspens. Moi ? J'ai jamais bouffé personne... sucé à mort, ouais, mais bouffer, non ! Du coup, rien de gravé dans le marbre, je trace à la muscu pour évacuer. 45 minutes de vélo elliptique à fond les ballons, je dégouline comme un bœuf en abattoir. Pause haletante, puis je m'attaque aux bancs de développé-couché pour sculpter mes pecs – faut bien que mon cul reste ferme pour les assauts.Entre deux séries de pompes lestées, vibre mon phone : un beau gosse de 35 ans me bombarde de selfies hardcore sur le tchat du site – torse huilé luisant sous le soleil couchant, queue en érection à travers son boardshort, 19 cm de veines saillantes qui supplient d'être pompées. "Viens te vider chez moi, mais cap à 17h max, avant que mon daron rentre". 16h45, 15 bornes à grinder, je lui balance mon 06 et un nude de mon trou plissé après lui avoir maté son paquet gonflé. Deal scellé, à une condition : douche chez lui pour rincer ma sueur de salle.J'abandonne la barre, chope mon sac au locker, torse trempé collant à mon tank top, et waze son adresse en urgence. 15 minutes chrono, je déboule face à l'océan déchaîné, planque la caisse et l'avertis : "J'arrive, bite au garde-à-vous". Ce loup de mer, vibe skateur chelou avec ses dreads blondasses et son tatouage tribal sur le biceps, m'ouvre le portail de sa villa perchée. Salut rapide, on grimpe les escaliers en colimaçon jusqu'à son duplex open space, mon backpack ballottant sur mon dos ruisselant.Porte claquée, on se jauge : lui, 1m83 pour 78 kg de muscles secs et saillants, peau salée par l'iode, abdos en V qui plongent vers un pubis rasé nickel menant à sa bête courbée – 20 cm maintenant, épaisse comme une canette, gland violacé suintant de précum, couilles pendantes poilues qui claquent comme des ballons de baudruche. Moi ? 1m72, 62 kg, corps lisse et tonique d'un minet urbain, queue de 17 cm arquée et raide pour les tops qui me font ramper, cul rebondi et étroit, taillé pour se faire écarteler par des surfeurs en rut.Échange un clin d'œil complice, et bim, nos bouches se verrouillent – baiser vorace, langues qui s'emmêlent comme des algues, ses mains calleuses de planche qui me malaxent les fesses pendant que je pince ses tétons durcis sous son rashguard. "À la douche, vite, t'empestes la testostérone", grogne-t-il en me traînant vers la salle de bain vitrée avec vue surf. Serviette chaude prête sur le sèche-serviettes, je vire tout en un clin d'œil : peau luisante de sueur, bite à demi-molle qui durcit sous son regard affamé. Sous le jet brûlant, je me savonne le trou, l'étirant déjà d'un doigt pour le lubrifier – menu clair dès le premier DM : "Lèche, suce, encule, gicle"... Faut être au taquet !Je ressors en pagne humide, et le voilà dans le couloir, torse nu luisant, short tendu à craquer. Drap qui vole, pantalon qui chute : on s'écrase sur son king-size face à la baie vitrée, vagues en fond sonore. Exploration orale bestiale : je l'embrasse du cou aux pecs saillants, langue qui tournoie sur ses mamelons saillants, descendant vers son aine salée. Il me plaque sur le matelas, avale ma queue d'un coup de gorge experte, aspirant mes couilles lisses une à une pendant que ses doigts fouillent mon anneau plissé, me faisant couiner comme une salope. "T'as un cul de rêve, étroit et gourmand, je vais te le ruiner", halète-t-il, sa trique palpitant contre ma cuisse.On pivote en 69 vorace : moi à califourchon sur sa face, langue plongeant dans son trou musqué – anneau velu qui clignote sous mes coups de langue, le rimant comme un dessert, sentant son jus anal salé couler sur mon menton tandis qu'il me doigte la prostate en cercles vicieux, trois phalanges étirant mon boyau pour le préparer au carnage. Température infernale : dehors 15°C frisquet, dedans 28 de fièvre charnelle, sueur perlant sur nos torses, corps glissants qui frottent en rythme primal.Il me retourne sur le dos – ma pose fétiche, missionnaire pour se bouffer des yeux pendant la saillie. Lubrifiant chauffant enduit sa barre ...

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