Ça fait des années que je ne suis pas retourné au bois de Vincennes.Il y a quelques jours, après un plan cul divin avec un soumis bi et marié entre 14h et 15h, il me vient l'idée d'aller voir ce qu'est devenu mon lieu de drague favori.Le temps de faire un bisou à mon complice, de se dire qu'on reste en contact (il a adoré et moi aussi !) et de revenir vers Paris, je me trouve au bois vers 16h00.Galère pour se garer "non payant" tout autour du bois ! Impossible ! Et toutes les petites routes allant vers l'intérieur du bois sont barrées ! Je trouve une place sur le parking proche de l'entrée du Parc Floral.Je range ma sacoche dans la boîte à gants et sort de la voiture les mains dans les poches hormis mon téléphone dans la poche intérieur de mon blouson.J'emprunte le premier sentier venu, je ne connais pas ces lieux, ce n'est pas l'endroit où j'avais l'habitude de me garer autrefois. C'est en semaine, il n'y a presque personne dans les allées et les sentiers.Je vais au hasard des chemins rencontrés, plus ou moins étroits, plus ou moins rectilignes. Au bout d'un quart d'heure de marche, je suis un peu paumé !Je débouche sur une clairière inconnue (les clairières ont souvent été ma chance!). Je distingue une silhouette d'homme, loin, à l'opposé du champ, marchant derrière quelques arbres. Trop loin pour dire si ''le jeu en vaut la chandelle''. Je presse le pas pour traverser l'aire herbeuse espérant le rattraper et l'évaluer de plus près. Arrivé de l'autre côté, mon espoir s'est évanoui. Disparu !Je continue à me balader, au moins je respire l'air pur. Je contourne un peu la clairière et au moment ou j'envisage d'entrer dans le bois par un très petit sentier, je sursaute : j'entends tousser derrière moi !Je me retourne et là, la vision d'un ange... qui se révélera être un diable !Devant moi, un adorable garçon d'une trentaine d'années, à peine plus grand que moi, à l'allure sportive (il tient un vélo à son côté), un beau visage viril, la peau hâlée, les cheveux noirs, des yeux sombres, des yeux de biche.« Bonjour... » avec un sourire craquant.« Bonjour, c'est calme ! » (réponse niaise !).Je suis tellement surpris par cette apparition inattendue que je n'engage pas plus la conversation. Lui, d'un simple signe de la tête, il m'invite ''direct'', avec son sourire d'ange, à nous enfoncer dans un taillis juste à côté de nous. Nous nous mettons vaguement à l'abri des regards, il pose son vélo, nous nous rapprochons l'un de l'autre et, un peu brusquement, il me prends dans ses bras. Il me sert fort contre lui en frottant son sexe contre le mien, tous les deux en érection dans nos pantalons. On s'embrasse fougueusement puis il me repousse pour me regarder, droit dans les yeux, avec un regard profond qui veut dire ''je te veux'' !Puis il me sert à nouveau très fort contre lui. En émettant un souffle de taureau, très bizarre. Il prend le haut de mon blouson et le baisse sur mes bras dégageant mes épaules puis il me sert à nouveau contre son torse, avec ce souffle d'animal en rut ! Nous nous embrassons tout aussi fougueusement.Après plusieurs minutes de ces étreintes surprenantes d'intensité, il me propose d'aller ailleurs, plus cacher des voyeurs. Je le suis à travers le dédale des chemins sans même regarder par où nous passons, je suis totalement sous son charme, subjugué par ce qui m'arrive.En chemin nous échangeons quelques paroles. Il prétend ne pas aimer les jeunes mais plutôt les hommes mûrs comme moi. Quelle aubaine ! Je suis arrivé au bon moment, au bon endroit. Une chance sur un million de rencontrer un faune, une divinité champêtre.Arrivés quelque part au beau milieu de la forêt, après avoir posé son vélo, les étreintes reprennent. Avec la même intensité. Avec les mêmes gestes, les mêmes élans, la même fougue. N'en tenant plus, je déboucle sa ceinture, je déboutonne son pantalon, je baisse pantalon et slip sur ses chevilles."Maman !!!" une merveille sous mes yeux puis dans ma main, dans ma bouche.Sa peau a un parfum de musc.Je me défais en bas des chevilles et me masturbe, totalement "drogué".Il a le sexe entièrement rasé. Un queue très épaisse à la base, à peine moins à son extrémité, d'au moins 18 cm, légèrement courbée sur la gauche. Il bande comme un âne.J'enfourne sa queue dans ma bouche, qui m'étouffe littéralement. Il me prends par les épaules, m'obligeant à me relever. Nous nous embrassons alors qu'il m'entoure complètement de ses bras autour de mon torse. Nos queues se frottent l'une contre l'autre. La sienne est trois fois plus grosse que la mienne !Nous échangeons quelques mots. Il me parle avec ce regard franc, les yeux dans les yeux. J'ai noté un accent dans sa voix. Je lui demande d'où il vient. Il me dit être égyptien, travaillant dans le bâtiment et devant se rendre demain pour quelques semaines sur un chantier en province, habitant avec sa femme chez son père en banlieue parisienne.Je lui demande s'il veut me prendre et, oui, il veut ! Je lui demande s'il a du gel. Il n'en n'a pas. Je n'ai pas pensé à prendre le mien, dans un sac, dans ma voiture, reste de mon plan cul de 14h00. Je le suce à mort, espérant saliver suffisamment pour remplacer le gel. Mais il m'arrête dans mon élan. Alors je lui propose de retourner à ma voitureNous voilà parcourant à nouveau des chemins inconnus de moi, à marche rapide, me laissant un peu essoufflé arrivé à ma voiture. Il monte à l'intérieur côté passager. A mon tour je monte côté conducteur. Il me demande de le sucer. Je refuse prétextant les possibles passages à proximité et le manque de place et de confort ! Il ne m'écoute pas et baisse son pantalon. Il a débandé. Et c'est extraordinaire la diminution de son sexe devenu quasiment identique au mien ! Ça reste quand même un objet de désir d'une bonne taille !!!Maintenant, étonnamment, il me demande de lui bouffer le cul ! J'ai beau lui dire que, pratiquement, ça m'est impossible, le volant et le levier de vitesse m'en empêchant, il se contorsionne sur sa droite, me tendant son cul sur lequel il m'est impossible de poser mes lèvres. Même en tendant la langue, j'ai du mal à le lécher !Il gesticule et se tord le plus possible pour que je puisse le satisfaire. Impossible, ma voiture n'étant pas une limousine ! Dans ses mouvements désordonnés, il donne un coup de genou (soi-disant...) dans ma boîte à gants, laissant voir ma sacoche à l'intérieur. Il referme aussitôt la boîte en s'excusant. Ça a été si rapide que j'ai à peine eu le temps de voir l'action. Pris d'un doute, j'o ...
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