En guise de réveil, j’entends par la fenêtre que j’avais laissé ouverte pour aérer, les cris des petits jouant dans le jardin. Vu ma forme matinale, j’en connais une qui est venu hanter mes rêves. Je vérifie l’heure, il est à peine 9h maudits gamins. Je m’habille avec les vêtements de la veille à la hâte. Le besoin de café se fait sentir pour passer la gueule de bois. Dans le couloir du gîte, je croise Manon et Alex qui apparemment ont eu le même réveil. Tout le monde la tête dans le cul, on se dirige vers le gîte principal. On retrouve les parents épuisés qui apparemment sont levés depuis bien trop longtemps. Avec Manon, on les chambre sur leur parentalité et les regrets qu’ils peuvent avoir à l’instant T. Ma tante Emilie qui est déjà toute prête nous annoncent une excursion en famille dans une petite village typique de la région. Elle demande à Manon si Léa est réveillée. Et là, alors que je suis en face d’elle, elle réponds en me fixant «Elle a bien profité de sa soirée je pense qu’elle est épuisée.» Je deviens tout rouge, je prends mon café cul sec et je sors pour respirer et analyser ce qu’il vient de se passer. Je me pose sur la table extérieure allume une clope. Ma cousine Manon me rejoint quelques minutes après mon départ. Elle se plante devant moi et me demande si je n’ai rien à dire à sa cousine préférée. Pour vous situer, Manon c’est la cousine avec qui j’étais, jusqu’a ce fameux week-end, le plus proche. Petits on était toujours fourrés ensemble surtout pour les bêtises. Elle a souvent été mes premières fois. Première cuite à 8 ans quand dans une cave on s’est servi du jet 27 en guise de menthe( on n’était pas les plus intelligents), premier concert de rock, elle a été ma mentor musicale, premier festival, premier pétard. Bref on est très proches. Et la, je me retrouve face à elle sans savoir quoi dire. Manon voit mon inconfort et me dit Cri on va marcher un peu. On s’éloigne des habitations dans un silence pesant. Arrivés au portail, elle s’installe sur le muret en pierre, allume une clope. Je suis à coté la tête basse, honteux. C’est elle qui lance la discussion. « Cri je sais ce que j’ai vu et entendu hier soir». Ne voulant pas lâcher le morceau, je lui réponds ne pas comprendre de quoi elle parle. Elle reprends «Cri me prends pas pour une conne, je me suis levé pendant la nuit. Sois tu as le sommeil très agité sois tu ne dormais pas. Et surtout j’ai entendu Léa passé à la salle de bains avant de revenir se coucher défaire sa boule de drap et elle puait le sexe». Je manque de m’étouffer et je la regarde en l’implorant en lui disant « je sais pas quoi te dire». Me voyant pas serein, Manon reprends en m’expliquant qu’elle veut avoir une conversation avec Léa sans que j’intervienne ni la prévienne. Qu’elle ne me juge pas pour le moment, elle veut comprendre et savoir de quoi il en retourne. Je lui demande si elle veut au moins entendre ma version. Elle me réponds par la négative en m’expliquant qu’ elle veut d’abord celle de Léa. Je lui demande si elle peut au moins être discrète, elle me réponds qu’elle fera ça sans doute mieux que nous à ce sujet. Après une douche rapide, je retourne dehors jouer avec les petits en attendant que tout le monde soit prêt pour l’excursion. C’est l’heure du départ, j’ai à peine aperçu Léa. Elle se dirige vers ma voiture quand Manon l’intercepte au vol en disant qu’elles allaient faire la route entre filles et moi j’hérite d’Alex, le conjoint de Manon. On roule les uns à la suite des autres j’ai Manon juste derrière moi. Durant le trajet, Alex me parle de ma voiture mais je suis ailleurs, fixé sur mon rétroviseur. J’appréhende tellement que je suis à peine concentrer et que je manque de rentrer dans la voiture de mon oncle qui s’est arrêté à un stop. Alex s’est fait une petite frayeur. Ne pouvant pas continuer à conduire comme ça, je profite de la sortie d’un patelin pour mettre une bonne accélération et dépasser tout notre petit cortège. Le reste du trajet est plus agréable et nous parlons musique. Arrivé les premiers sur le point de rendez vous on attends les autres, moi avec une boule au ventre. Quand enfin tout le monde arrive, j’ai le droit à quelques réflexions sur mon accélération auquel je prête aucune attention. Je vois Manon et Léa qui nous rejoignent bras dessus bras dessous et m’adressent un grand sourire. Manon me voyant blême, me dit « respire, ça va bien se passer». Apparemment ça c’est bien passé mais vu la proximité de la famille je ne peux pas demander davantage de détails. Après avoir fait un bon tour du village touristique la famille se sépare certains dans les boutiques de souvenirs, d’autres de produits artisanaux. Manon demande à Alex et Léa de nous trouver un bar ou se poser. Une fois que la petite troupe s’est un peu dispersée, Manon m’accroche le bras. Voulant savoir de quoi il retourne je lui dit juste «alors?». Elle commence par me sourire et me dit qu’elle n’aura pas besoin de ma version. Mais elle me mets en garde, car si elle est plutôt cool et qu’ elle voulait juste être sur que c’était consenti et pas juste l’alcool qui avait parlé, certains n’auront pas la même latitude concernant notre idylle. Après avoir évoquer nos sentiments respectifs et fini la discussion, elle commence à me chambrer sur le coté Sugardaddy que pourrait paraître ma relation de l’extérieur. On rejoint nos chéris respectifs au bar et on profite du beau temps pour siroter un café en terrasse. Léa me fait des grands sourires, je comprends que cela a du être une sacré épreuve pour elle dans la voiture de devoir tout lâcher. Au fur à mesure tout le monde nous rejoint au bar. Il est l’heure de retourner au gîte au programme, barbecue et piscine. Léa grimpe dans ma voiture, on laisse tout le monde partir pour pouvoir enfin échanger. Je lui demande comment elle va. Elle me dit que ça va. Sur le coup elle a eu très peur quand Manon a dit qu’elle savait pour nous deux. Je lui demande de quoi elles ont parlé et Léa m’explique que Manon lui avait demandé si c’était quelque chose de sentimentale ou juste sexuel ou pire une bêtise liée à l’alcool. Et quand Léa lui a avoué ses sentiments pour moi. Manon a apparemment compris et dit que c’était mignon mais qu’on devait être très vigilants. On est comme deux crétins les larmes aux yeux. Je vérifie que les autres sont bien tous partis et je pose le baiser le plus chaste sur ses lèvres. Baiser qu’elle me rends en posant sa main sur ma joue. Je démarre la voiture et on repart vers le gîte. Pendant les vingts minutes de trajets, on se tiens la main dans un silence seulement perturbé par le ronronnent régulier du moteur. Arrivés au gîte, on se promets d’être sage et durant le barbecue, on profite des autres membres de ma famille. Les plus petits vont à la sieste et pour tous les autres direction la piscine. Je chahute avec les plus grands dans l’eau en me tenant le plus éloigné de Léa, qui est sublime dans son deux pièces noires ornés de lacets, pour éviter toute proéminence malencontreuse. Manon se rends contre de mon manège et viens me narguer. Je la coule pour me venger et s’ensuit une bagarre générale. Un peu fatigué d’avoir du lutter contre mes cousines qui souhaitaient absolument me couler, Léa compris. Je sors de l’eau et m’affale sur une serviette posé sur l’herbe. Léa sort de l’eau prends un transat et se mets à coté de moi. Même si on se touche pas, je suis content de l’avoir près de moi. L’après midi passe sous les rires et les vannes autour de la piscine. Le soir arrivant tout le monde se rue dans les douches pour se débarrasser du chlore et rejoindre l’apéro. Pendant l’apéritif, ca se rappelle les bons souvenirs familiaux, je dévore Léa des yeux quand je croise Manon qui me fait les gros yeux. On mange tranquillement les petits vont se coucher. Réalisant que c’est notr ...
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