sDans les ombres fugaces d'une nuit parisienne d'automne, où les lumières des boulevards s'estompent en murmures complices, j'ai franchi le seuil d'un hôtel anonyme du Marais. Moi, Lucas, trente-cinq ans, cadre dynamique aux épaules larges et au regard perçant, j'incarne cette soif insatiable d'un dominant qui sait dompter les corps sans jamais les briser. Cela faisait des mois que les messages s'entassaient, des promesses chuchotées dans l'urgence des nuits solitaires, entre deux existences conjugales étouffantes. Lui, c'était Théo, quarante et un ans, un architecte aux traits ciselés par le temps, avec une barbe naissante qui picotait comme une invitation au vice. Marié lui aussi, il fuyait les cœurs fragiles pour chasser l'extase brute, celle qui ne laisse pas de traces au petit matin.La porte de la suite 17 s'est refermée derrière nous avec un clic sourd, comme un secret scellé à double tour. L'air était chargé d'une tension palpable, ce mélange d'adrénaline et de désir refoulé qui fait pulser les veines. Théo s'est approché le premier, ses yeux sombres rivés aux miens, un sourire en coin trahissant son appétit vorace. "Enfin", a-t-il murmuré, sa voix rauque effleurant ma peau comme une caresse interdite. Sans un mot de plus, il a glissé ses doigts sous ma chemise, explorant les contours de mon torse musclé, traçant des lignes de feu qui me firent frissonner. Je l'ai plaqué contre le mur lambrissé, nos souffles se mêlant en un ballet haletant. Mes lèvres ont capturé les siennes, un baiser vorace, presque punitif, où nos langues dansaient une valse de domination et de reddition. Ses mains, impatientes, défirent ma ceinture, libérant mon membre gonflé qui se dressa fièrement, vingt centimètres de rigidité impitoyable, veiné et palpitant d'anticipation.Théo s'est agenouillé alors, ses genoux heurtant le tapis moelleux avec une docilité feinte qui masquait son feu intérieur. Ses lèvres s'entrouvrirent, humides et chaudes, enveloppant mon gland d'une succion lente, experte, qui m'arracha un grognement primal. Il ne se contentait pas de lécher ; il dévorait, sa langue traçant des spirales vicieuses autour de ma hampe, descendant jusqu'à la base où il titilla mes testicules avec une douceur calculée, les aspirant l'un après l'autre dans sa bouche avide. Chaque mouvement était une promesse de plus profond, un appel à l'abandon total. Je sentis mon pouls s'accélérer, mes hanches se cambrer instinctivement pour plonger plus loin dans sa gorge accueillante. "Plus fort", ai-je ordonné d'une voix basse, et il obéit, ses yeux levés vers moi, brillants d'une soumission lascive qui me consumait. Mais je me retins, savourant cette torture exquise, laissant le plaisir monter comme une marée inexorable. Combien de temps ? Dix minutes ? Vingt ? Le temps s'étirait, suspendu à ses gémissements étouffés, à la vue de sa salive luisante coulant le long de ma longueur. Et pourtant, je voulais plus. Bien plus.D'un geste fluide, je l'ai relevé, le faisant pivoter vers le lit king-size aux draps de soie froissés. "À quatre pattes", ai-je susurré à son oreille, mordillant le lobe pour sceller l'ordre. Théo s'exécuta, son dos cambré offrant une vue hypnotique sur ses fesses fermes, pâles sous la lueur tamisée de la lampe. J'ai tracé du bout des doigts la courbe de ses reins, descendant jusqu'à son entrée secrète, déjà frémissante d'attente. Pas de lubrifiant chimique ce soir ; seulement notre alchimie brute. J'ai craché dans ma paume, étalant la chaleur humide sur mon sexe dressé, puis sur lui, mes doigts explorant son intimité avec une lenteur délibérée. Un, deux, puis trois, je l'ai ouvert patiemment, sentant ses muscles se contracter puis céder, un soupir rauque échappant de ses lèvres. "Prends-moi, Lucas... J'en ai besoin", a-t-il supplié, sa voix brisée par le désir, et ce fut le déclic.Je me suis positionné derrière lui, mon gland pressant contre son anneau serré. D'un coup de reins mesuré, je m'enfonçai, centimètre par centimètre, jusqu'à ce que nos corps fusionnent en une union parfaite, étroite et brûlante. Théo gémit, un son guttural qui vibra à travers moi, ses ongles griffant les draps. Je commençai les va-et-vient, lents d'abord, savourant la friction veloutée de ses parois qui m'enserraient comme un étau de velours. Chaque poussée était une conquête, un aller simple équivalant à une décharge électrique qui nous traversait tous deux. Accélérant le rythme, je passai à des coups plus profonds, plus sauvages, mes hanches claquant contre ses fesses dans un cadence hypnotique. Il se cambra davantage, poussant en arrière pour m'accueillir pleinement, ses gémissements se muant en cris étouffés. "Oui... comme ça... ne t'arrête pas", haleta-t-il, et je ne m'arrêtai pas. Au contraire, je varia les angles, inclinant mon bassin pour frôler ce point sensible en lui, ce nexus de plaisir qui le fit trembler.Le premier orgasme le surprit comme une vague traîtresse. Ses muscles se contractèrent spasmodiquement autour de moi, un flot chaud jaillissant de son membre intact, éclaboussant les draps en jets irréguliers. "Putain... déjà ?", murmura-t-il, le souffle court, mais ses ye ...
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