Lors d’un déplacement professionnel à Meylan, je m’attendais à une mission banale, à quelques centaines de kilomètres de chez moi. Mais je n'avais pas idée de la soirée torride qui m'attendait, transformant ce voyage en une expérience que je n'oublierai jamais.Je suis arrivé à l’hôtel vers 15h, un établissement modeste où l’on accède aux chambres par une coursive extérieure. Dernière chambre à gauche, au bout du dernier étage. L'endroit respirait la discrétion et l’anonymat, idéal pour les aventures nocturnes qui s’annonçaient. Je pose mes affaires, fais rapidement le tour de la chambre et m’allonge sur le lit, prêt à faire une petite sieste. Mais à peine ai-je fermé les yeux que l’hôtel me rappelle ses charmes particuliers.À travers les murs fins comme du papier, j’entends clairement ma voisine se faire baiser avec une sauvagerie qui me met instantanément en feu. Les cris de plaisir, les coups de reins violents qui font grincer le lit contre le mur... tout cela résonne dans ma chambre et me fait bander comme jamais. Ni une ni deux, je ferme les volets, ouvre grand la fenêtre pour laisser entrer un peu d’air frais, et je me mets à poil, prêt à me soulager en rythme avec les ébats endiablés d’à côté. Je commence à me branler furieusement, mon poing fermement serré autour de ma queue. Les gémissements de la voisine me rendent fou, et chaque cri de plaisir est un coup de fouet pour ma propre excitation. Je ne tiens plus, et après plus de quinze minutes de ce traitement, je gicle sur mon torse, recouvrant ma peau velue de ma propre crème. Essoufflé mais satisfait, je m’endors, toujours collant de ma semence, bercé par les derniers échos des ébats de ma voisine.Je me réveille une heure trente plus tard, toujours couvert de jus séché, et une vague de désir m’envahit à nouveau. Je décide de prendre une douche, bien conscient que je vais devoir me nettoyer en profondeur si je veux être prêt pour la suite de la soirée. Dans cette petite salle de bain étroite, avec les toilettes juste à côté de la douche, je m'installe pour une toilette particulière. Le jet d’eau chaude coule sur mon corps, et une idée me traverse l'esprit : je me savonne bien, prends mon tube de gel, et commence à me lubrifier l’anus. Je prends le flexible de la douche, et le glisse lentement en moi, une fois, deux fois, trois fois, jusqu’à ce que je sois parfaitement propre, prêt à être utilisé comme la salope que je suis.Il est déjà 21h, et je passe le reste de l’après-midi à mater du porno sur la télé de la chambre, réglant le volume assez fort pour que les curieux qui passent devant ma porte en profitent. À un moment, j'aperçois un type qui jette un œil furtif à travers l'entrebâillement du volet roulant. Cette attention ne fait qu’attiser mon excitation. Il est temps de passer à l’action. Je me connecte sur mon site de rencontre préféré, cherchant un actif bien monté pour me faire passer une nuit mémorable. "Cherche actif BM TBM pour gros cul bien poilu très excité ce soir hôtel de la zone commerciale à Meylan." Le message est posté, il ne reste plus qu’à attendre.L’attente est courte. Moins de dix minutes après, je reçois une photo qui me fait frémir : une belle bite, fière et prête à l’emploi. Je lui réponds aussitôt avec mon numéro de chambre. "Chambre 28", lui dis-je, et il réplique presque immédiatement : "Je me douche et j’arrive." Mon cœur bat la chamade, mon corps est en feu, et je sais que je vais passer une nuit inoubliable.Vingt minutes plus tard, on frappe à la porte. Je l'ouvre, et là, devant moi, se tient un homme qui dépasse toutes mes espérances : 1m80, costaud, une barbe de trois jours, cheveux grisonnants et une belle proéminence sous le jean. Il me toise de haut en bas, moi, avec mon mètre 83, mes 100 kilos et surtout, mon cul bien poilu et ma petite bite de 9 centimètres. Il ne perd pas de temps. Sans même refermer la porte, il s’avance vers moi et m’embrasse goulûment, sa langue envahissant ma bouche, et je peux déjà sentir son désir animal.Je referme la porte derrière lui, tout en l'attirant vers le lit. Je m’assois pour être à la hauteur de sa queue, prêt à l’accueillir dans ma bouche. Il comprend mon excitation et se déshabille rapidement pendant que je déboutonne son jean. Je suis maintenant devant un véritable morceau d’homme, que je prends en main avant de le branler doucement. L ...

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