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Voyage en side car au Maroc 65

Publié par : pierre49590 le 11/10/2025
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Merci pour votre fidélité et vos notes !Peter me regardait avec cet air mi-amusé, mi-provocateur qu'il adoptait souvent lorsqu'il me lançait un défi déguisé. Son en sourire coin, cette lueur dans les yeux… Il semblait presque s'amuser de ma réaction, ou peut-être cherchait-il à la percer à jour.— Djamila me propose une séance à trois, déclare-t-il avec une légèreté qui contrastait avec la situation. Pour « varier » un peu les plaisirs, si tu veux…Il marque une pause, comme pour mesurer mon expression avant de poursuivre, toujours aussi détendu, son corps à demi redressé sur la table de massage.— Tu sais, moi, j'suis encore… en apprentissage.Il avait pris soin de ne pas employeur un mot qui aurait pu le diminuer, mais l'idée était là. Il n'était plus novice, mais il se considérait encore en terrain inconnu, découvrant ce que la vie lui offrait avec une avidité joyeuse.— Normalement, avec un étranger, j'aurais jamais accepté… Tu me connais…Mais avec un frère, ça se fait, non ?Son regard se pose sur moi, un peu plus sérieux, avant de se fendre à nouveau d'un sourire insouciant.— En tout cas, moi, ça me dérange pas si c’est toi !Puis, sans la moindre gêne, il haussa les épaules, sa main glissant sur une fesse de Djamila qui, toujours debout derrière lui contre la table, attendait ma réponse en se mordillant la lèvre, son regard oscillant entre lui et moi.— Peut-être que ce serait marrant… Une page de plus dans mon livre d'expériences, tu crois pas ?Il n'y avait aucun malaise dans sa voix. Aucune attente sous-jacente. Juste cette ouverture spontanée, cette manière de prendre la vie comme elle venait, d'en savourer chaque instant sans se poser trop de questions.Moi, en revanche… Je restais tout de même surpris. Parce que derrière sa désinvolture apparente, cette invitation n'était pas anodine. Était-ce une simple curiosité ? Une nouvelle façon pour lui de tester ses propres limites ? Et les miennes, sans doute… Et il m’avouait que cela ne le dérangerait pas, en plus ! Ou était-ce une manière détournée de creuser ce lien étrange qui nous unissait, toujours quelque part entre l'amitié et cette tension trouble que je ne savais plus ignorer ?Mais la vraie question, au fond, c'était la mienne. Saurais-je participer à ces ébats communs sans trahir mon attirance pour lui ? Arriverais-je à dompter mes propres instincts, à canaliser cette fièvre qui montait en moi chaque fois que je le voyais, nu et abandonné, à quelques centimètres de moi ? Devrais-je me contraindre à une distance respectable, une barrière invisible entre lui et moi, propre à deux mâles partageant une femme mais jamais plus ? Car c'était bien cela, le risque. Cette limite floue entre le jeu et le désir, entre l'amitié et ce quelque chose d'autre, qui s'immisçait insidieusement à chaque instant passé ensemble.Djamila, elle, n'avait aucun doute. Son regard brûlant oscillait entre nous, guettant ma réponse, attendant de voir si j'allais céder à l'invitation.Mais moi… Moi, je savais qu'accepter, c'était m'exposer. Parce qu'au-delà du plaisir et de la fièvre charnelle, c'était un test. Un test pour moi-même. Serais-je capable de rester celui que Peter voyait en moi ? Son frère, son complice, son égal. Ou bien… allais-je franchir cette ligne invisible et révéler ce que je brûlais de lui cacher ?J'offris comme simple réponse ma serviette que je laissai tomber à terre, m'approchent lentement, non pas de lui, mais de Djamila, voulant sans doute lui montrer que seule elle m'intéressait.Elle eut un sourire ravi, un éclat de malice brillant dans ses yeux sombres. Elle le savait. Elle avait compris qu'elle devait mener cette danse avec une intelligence instinctive, une sensualité parfaitement dosée. Elle était une virtuose dans l'art du plaisir, une femme qui comprenait les hommes mieux qu'ils ne se comprenaient eux-mêmes. Son corps souple se pressa contre moi, ses lèvres brûlantes trouvèrent mon cou, ses mains glissèrent sur mon torse, éveillant ma peau sous ses caresses.Mais mon esprit, lui, était ailleurs. Ou plutôt, sur lui. Je sentis Peter bouger légèrement sur la table de massage, ajustant sa posture, et malgré moi, mes yeux cherchèrent son corps. Son torse sculpté, se soulevant sous le souffle profond du désir. La manière dont ses muscles se tendaient sous les mains de Djamila, son visage, mi-détendu, mi-fébrile, offert au plaisir avec cet abandon brut qui lui était propre. Et surtout, son sexe plus raide et plus dilaté que jamais, cette virilité, exposée sans la moindre retenue, frémissante sous les soins experts de notre enchanteresse commune, virant du rose au rouge écarlate.Djamila s'appliqua alors à nous inclure dans une même étreinte sans jamais provoquer la moindre gêne. Elle ondulait entre nous, glissant, effleurant, se lovant, toujours veillant à ce que nos corps ne se frôlent pas maladroitement. Elle riait parfois, un rire grave et sensuel, comme si elle savourait le pouvoir qu'elle exerçait sur nous.Mais moi, je jouais un tout autre jeu. Je répondais à ses caresses, j'explorais sa peau de mes mains, mes lèvres cherchaient les siennes… Mais c'était lui que je regardais en coin. C'était lui que j'observais dans l'ombre de mes paupières mi-closes. Chaque soupir qu'il laissait échapper résonnait en moi bien plus que les frissons que Djamila tentait de m'arracher. Chaque ondulation de son bassin sous les attentions habiles de notre amante commune éveillait en moi un désir que je m'efforçais de contenir.J'aurais dû être enivré par Djamila. Mais la vérité, la seule vérité, c'était que mon plaisir était ailleurs. Il était là, juste à côté de moi, vivant, vibrant, s'abandonnant dans une extase que je n'aurais jamais osé espérer voir d'aussi près.La situation se compliqua lorsqu'elle voulait nous inclure tous les deux dans une même étreinte, sa bouche allant de l'un à l'autre, jouant à alterner ses baisers, d'abord sur moi, puis sur lui, revenant sans cesse, comme pour nous unir malgré nous dans ce brûlant ballet.D’abord, je tentais d’ignorer ce problème. Je me concentrais sur sa langue, sur la chaleur de son souffle, sur la sensualité d’experte dont elle usait pour nous faire succomber. Mais alors qu'elle nous pressait contre son visage, mêlant nos souffles dans une proximité déroutante, mes lèvres effleurèrent celles de Peter. Un contact à peine perceptible, mais qui me fit chavirer. Un vertige me saisit. Ce fut fugitif, involontaire, presque un accident. Mais cet instant de bouche contre bouche, ce bref frôlement entre ses lèvres et les miennes, éveilla en moi une onde de choc impossible à nier.Je compris, à cet instant, que nous étions à un battement de cœur d'un point de non-retour. Car il aurait été si facile de céder. Nos bouches étaient là, si proches. Il suffirait d'un rien pour que les trois s'unissent dans un seul et même baiser. Mais quelle aurait été sa réaction ? S'il se laissait faire, cela voulait-il dire qu'il acceptait cette zone d'ombre que je n'osais nommer entre nous ? Ou, au contraire, se braquerait-il, rejetant d'un bloc tout ce qui, dans l'implicite, commençait lentement à se tisser entre nous ? Je ne bougeai pas, suspendu dans cette incertitude.Et ce fut Djamila qui, dans son infinie malice, rompit la corde, imposant ce que nous n'osions provoquer. Avec une maîtrise naturelle, elle nous attira l'un contre l'autre, scellant nos lèvres en un baiser à trois, sa bouche en pont entre celle de Peter et la mienne. Oh, bien sûr, ce n'était pas un véritable baiser. Pas d'échange de langue entre nous deux, pas d'élan partagé. C'était elle qui jouait, elle qui menait la danse.Mais les lèvres humides de mon ami, cette fine pellicule de salive qui se mêlait à nos chaleurs, cette sensation étrangère, m'arracha un frisson incontrôlable. Le goût de Peter, enfin redécouvert à travers elle, acheva de me bouleverser.Puis la diablesse décida, après nos bouches, de nous faire profiter de ses faveurs plus bas, et en même temps. D'un mouvement fluide, elle s'agenouilla devant nous, ses doigts glissant sur nos hanches dans une caresse à peine effleurée. Je savais ce qui allait suivre, et je savais qu'elle excellerait dans ce qu'elle s'apprêtait à faire.Mais je n'étais pas prêt pour ce qui vint ensuite. Car alors qu'elle alternait, jouant de ses lèvres et de sa langue, allant de l'un à l'autre avec une habileté qui témoignait de son talent, Peter, dans un geste d'une désinvolture confondante, passa un bras autour de ma taille et me serra contre lui. Un frisson intense traverse mon corps. Un simple geste, un mouvement instinctif, presque fraternel… mais il enflamma mes sens bien plus que les caresses expertes de Djamila. Il n'avait pas hésité. Il ne s'était pas figé dans un sursaut d'inconfort ou de retenue. Non, il l'avait fait comme une évidence, comme s'il n'y avait rien de plus naturel que de me tenir ainsi, collé à lui, nos souffles mêlés, nos peaux brûlantes l'une contr ...

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