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Voyage en side car au Maroc 52

Publié par : pierre49590 le 27/07/2025
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Alors, dans un sourire malicieux, je décidai de réenrichir la conversation, ajoutant d’un ton léger, presque moqueur :— Vas-y seul, comme un grand ! Et puis, si tu y vas toute la journée… tu pourras y passer deux fois !Peter s’arrêta net, puis son regard s’illumina d’un éclat gourmand, comme si l’idée n’était pas totalement idiote finalement.— Ah, pas con… trois peut-être ? murmura-t-il, un sourire en coin.Et, dans un éclat de rire, je sus qu’il venait déjà de calculer dans sa tête comment maximiser sa journée de plaisirs.Je le regardai, amusé par sa réaction, et haussai un sourcil d’un air faussement sceptique :— Tu me parais bien prétentieux, mon cher Peter…Aussitôt, il se redressa légèrement sur son transat, comme piqué au vif, et me lança, outré :— Attends, tu crois que je suis pas capable de remettre ça plusieurs fois ?!Son ton était un mélange d’offense feinte et de défi, et avant même que je ne puisse répondre, il enchaîna, bombant légèrement le torse, fier comme Artaban :— Tu veux que je te dise ? C’est exactement ce qui s’est passé avec Djamila… et en une heure à peine ! Je lui ai fait l’amour et, dix minutes après, elle m’a fait une gâterie. Et je puis te confirmer que j’ai assuré !Il me jeta un regard triomphant, attendant sans doute que je sois impressionné par sa performance.Je ne pus m’empêcher d’éclater de rire, amusé par son enthousiasme excessif, mais au fond, je savais qu’il ne plaisantait qu’à moitié.— Mais je te crois, frère, je te crois. Tu as ma parole.Peter releva la tête, jetant un regard faussement vexé avant de baisser les yeux vers son maillot.— Tu vois, tu m’as contrarié et du coup, je débande ! lança-t-il avec un soupir dramatique.Je haussai les épaules en souriant.— C’est peut-être mieux comme ça, non ?Puis, croisant les bras avec un air faussement sérieux, je poursuivis :— Parce que sans moi ou avec moi, maintenant, je sais que tu vas aller la voir, ta Djamila. Et dans cet état… Pour piloter… Pas terrible ! Et encore moins pour marcher en short ! je partis aussitôt d’un rire franc.Et, incapable de retenir ma pique, j’ajoutai :— Fais gaffe, car il y a aussi des masseurs !Peter éclata de rire, se redressant légèrement sur son transat, avant de me pointer du doigt, mi-amusé, mi-méfiant :— Toi, t’es vraiment un enfoiré !Mais je voyais dans son sourire éclatant qu’il prenait la blague comme il se devait. Après tout, il n’était jamais au bout de ses découvertes… et moi, j’étais bien placé pour savoir que certaines surprises étaient parfois imprévues.Nous nous installâmes plus confortablement sur nos transats, dégustant notre thé et nos gâteaux, quand Peter, oubliant un instant ses ardeurs, lança avec enthousiasme :— Frère, tu peux dire ce que tu veux, mais ma Yamaha XT 500, c’est la moto parfaite pour ici !Il me vanta sa légèreté, sa maniabilité, sa puissance sur les pistes, persuadé d’avoir trouvé la monture ultime pour ce terrain.Je souris, amusé, avant de rétorquer :— Ouais, elle est bien… mais un bon vieux bicylindre soviétique, ça, c’est indestructible.Il haussa un sourcil sceptique.— Attends… tu veux parler de ton URAL DNIEPR ? Ton tank ?— Exactement. Un vrai mulet, increvable. Tu peux la démonter avec une cuillère et un bout de ficelle, elle démarre toujours.— Ok, je respecte. Mais côté sensations, t’es à des années-lumière de ma XT.— Peut-être. Mais au moins, moi, je roule sans craindre qu’un grain de sable grippe mon moteur.Il leva les mains en signe de reddition, toujours hilare.— Bon, t’as gagné ce round. Mais avoue quand même que la XT est plus excitante à piloter.Nous continuâmes à débattre en riant, échangeant anecdotes et arguments, savourant ce moment de complicité simple et légère, loin des pensées plus troubles qui avaient rythmé notre matinée.Peter finit par se redresser, puis planta son regard droit dans le mien, avec cet éclat déterminé que je commençais à bien connaître.— Bon, moi j’y vais alors. Tu veux pas m’accompagner ? Une dernière fois ?Il n’avait rien perdu de son espoir, mais je secouai doucement la tête, affichant un sourire amusé.— Non, je tiens ma promesse avec Madeleine. Il haussa les épaules, faussement déçu, mais je vis qu’il s’y attendait.Alors, avec un sourire en coin, je lui tapotai l’épaule en ajoutant avec malice :— Mais je te souhaite une excellente journée… et surtout une bonne séance de massage spécial avec la belle Djamila.Puis, avec un clin d’œil, j’enchaînai :— Ou deux… Ou trois, qui sait ?Peter éclata de rire, secouant la tête, visiblement ravi de ma remarque.— T’inquiète pas pour moi, frère. Je saurai bien profiter.Et sur ces mots, il tourna les talons, prêt à plonger à nouveau dans ce monde de plaisirs qu’il découvrait avec un appétit insatiable.Je restai encore quelques instants seul, profitant de la douceur matinale, laissant mon esprit vagabonder entre les derniers éclats de rire de Peter et ce qui m’attendait pour le reste de la journée. Puis, dans un soupir satisfait, je me redressai, bien décidé à retrouver ma chambre. Car j’avais une autre priorité en tête. Il était hors de question de laisser filer l’occasion d’aller prendre la température auprès de Karim. Sa version des faits, son retour d’expérience avec la brûlante Madeleine, m’intéressait au plus haut point. J’avais vu hier soir la lueur complice dans les yeux de Madeleine, j’avais entendu ses allusions à demi-mot sur sa journée passée à "se reposer", mais il me manquait une pièce essentielle au puzzle : celle de Karim lui-même. Et connaissant la fougue du garçon, j’étais curieux, peut-être même un peu impatient, d’entendre comment lui avait vécu cette rencontre charnelle avec cette femme insatiable. Un sourire effleura mes lèvres à cette pensée, tandis que je franchissais la porte de ma chambre, déjà prêt à aller le retrouver.En arrivant à l’étal de Karim, je le trouvai comme à son habitude, bien à son poste, veillant sur ses marchandises avec la même aisance tranquille.Dès qu’il m’aperçut, il me fit de grands signes de salut de loin, son sourire éclatant sous le soleil matinal. Je ralentis le moteur de mon side-car, savourant le plaisir de retrouver ce coin familier, ce petit havre où j’avais tant de repères. Mais en descendant de ma moto et en m’approchant de lui, une étrange sensation me traversa. Quelque chose clochait. L’endroit était le même, la disposition des étals, le bruit de la rue, l’odeur des épices et des fruits mûrs… Tout semblait identique à l’habitude. Et pourtant, il y avait une dissonance, un détail qui m’échappait encore, mais que mon esprit cherchait à identifier. Ce fut au moment où Karim me serra la main chaleureusement, son étreinte forte et sincère, que je compris ce qui me troublait. Il avait changé de tenue.Fini le sarouel ample et la chemise flottante qui laissait deviner la souplesse de ses muscles sans les dessiner trop précisément. Aujourd’hui, Karim portait un tee-shirt blanc, ajusté juste ce qu’il fallait pour épouser la largeur de ses épaules et souligner la fermeté de son torse. So ...

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