Je sors de ma voiture. Malgré l'heure de pointe, l'aire d'autoroute est quasi vide. Deux voitures, dont la mienne, en tout et pour tout. Il faut dire que c'est l'air peu attrayante en ce mois de juillet : pas de station essence, pas de grand parking ... Je sors de ma voiture, débardeur blanc prêt du corps, short bleu marine très court, sans sous vêtements dessous. Ça ballote ... Je me rend aux toilettes. J'ai une folle envie de baiser. Enfin, vu l'affluence de mecs, je n'y crois pas. Je sors fumer une clope. L'autre voiture est toujours là, mais je ne vois personne. Adossé à ma voiture, clope au bec, je commence à me caresser par dessus mon short, puis je sors ma queue déjà bien dure, au niveau de mes cuisses en remontant légèrement la partie droite de mon short. Je me branle tout doucement, à la chaleur intense du soleil. "T'aurais pas une clope?" Surpris, je lache mon matos, et remets tout à sa place. Je dois être rouge écarlate et pas uniquement à cause du soleil. "Oui bien sur" "Merci. C'est calme ici. Ca permet certaines activités plaisantes" Un beau mec, la quarantaine, pas très grand, mais assez musclé, avec tatouage et bronzage parfait, habillé de façon quasi similaire à la mienne. La propriétaire de l'autre véhicule. Je suis pas le seul à avoir la queue gonflée sous mon short si j'en juge par la bosse que je ne peux m'empêcher de regarder. "Tu veux qu'on se caresse ?" me lance-t-il "Oui pourquoi pas. J'avoue avoir envie d'un peu plus que des caresses" "T'inquiètes pas, je vais te donner ce dont tu as envie" On se dirige dans un bosquet prêt de l'air, derrière les toilettes. A peine enfoncé dans le bois, il me retourne pour me rouler une pelle bien baveuse. Puis il me fait mettre genoux et sort sa queue. Normale au début, puis de plus en plus imposante à mesure qu'elle gonfle. En fait, contrairement, au apparences, elle est énorme. J'arrive petit à petit à la mettre dans ma bouche. Une fois au fond, il me maintient la tête. Je suffoque, j'ai envie de vomir, mais qu'elle plaisir de sentir son gland taper dans le fond de ma gorge. Il réitère l'expérience plusieurs fois, que j'ai de plus en plus de facilité à réaliser, et avec de plus en plus de plaisir. Tout à coup, je sens qu'il se crispe, sa respiration s'accèlere puis je sens au des jets bien chauds au fond de ma gorge. J'avale tout tant bien que mal, c'est qu'il est bon juteur le monsieur. Il me demande d'en garder dans la bouche, me relève et me roule une pelle au jus. Le kiffe. Ravi et déçu à la fois. Il a jouis, je me dis qu'il va remettre son short et partir.Il se met a genoux, et commence à me sucer. ...

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