Je m’appelle C., je vis avec mon épouse N., une femme à gros seins et ceci est une expérience gay qui m’a bien plu mais que j'ai peut être eu tort de ne pas vouloir poursuivre.J’aime m’exciter les tétons ou mieux me les faire exciter. Ils sont saillants, très sensibles et durcissent dès que je suis un tant soit peu chaud. N., mon épouse à la poitrine plantureuse et très sensible, doit d’ailleurs veiller à me les faire durcir, ce à quoi elle prend grand plaisir, pour que je puisse bien cracher mon jus tout chaud : ça l’excite de les voir bien érigés, dressés ou tendre ma chemise ; elle sait alors qu’elle va bien en profiter. J'ai une queue circoncise, à gros noeud et bien arquée.Nous sommes naturistes et libertins. J’aime me montrer et me faire toucher. Une de mes expériences en la matière a été la suivante. Je suis candauliste, mon épouse m'est soumise et apprécie autant les hommes que les femmes, surtout en pluralité.J’ai échangé sur un site avec un homme d’une soixantaine d’années. Il cherchait un garçon d’environ quarante ans, ce qui était mon cas à l’époque, pour s’occuper de lui. J'avais eu des expériences de ce type près de vingt ans plus tôt (cf La Livraison et Le Majordome) et j'en conservais un souvenir ému. A l'époque j'avais servi d'escort boy, en d'autres termes de petite pute vide couilles pour messieurs beaucoup plus âgés...Je n'avais jamais renouvelé cette expérience.Rendez vous fut pris pour faire connaissance. Je suis ainsi arrivé devant son petit immeuble de trois étages, situé dans une bourgade rurale.Mon correspondant m'attendait dehors : effectivement, il correspondait aux photos qu'il m'avait montrées. Une soixantaine très avancée, des cheveux blancs, un peu rondouillard, vêtu d'un jean assez serré et d'une chemise ouverte sur un torse poilu. Il me demande sur un ton autoritaire de monter dans un ascenseur assez étroit et commence par me peloter les fesses et les couilles au travers de mon pantalon. Vu l’exiguïté du lieu, pas moyen d’y échapper, mais j’étais venu pour cela. Je bandais instantanément. Mes couilles me faisaient mal tellement elles étaient tendues. Il les soupesaient comme un maquignon.- Bonne paire, dit-il élégamment.Nous débouchons sur le palier. Il passe devant en me tenant toujours par les couilles et en les serrant au travers de mon pantalon en toile légère. Je le suivais comme un toutou, inquiet à l'idée de rencontrer des voisins. Par chance, personne.Nous entrons dans un petit appartement. Sa chambre est à droite, la pièce de réception à gauche. Il me précède dans sa chambre et s’assied confortablement sur le grand lit double en m’ordonnant gentiment mais fermement de me déshabiller entièrement, suffisamment lentement pour qu’il puisse pleinement profiter du spectacle.Je me suis exécuté sous le regard avide de cet homme qui se touchait au travers de son pantalon, en m’ordonnant par des mots crus de me pencher, d’écarter les cuisses, de bien lui montrer ma queue, de me caresser les seins, d’ouvrir mes fesses, de soupeser mes couilles, le tout dans un cadre simple et de bon goût, en parfaite contradiction avec les mots crus et vulgaires employés pour me décrire mes attributs...Totalement nu, la bite pendante, le noeud gonflé, les seins excités, j’ai été exposé à son regard et à ses commentaires salaces. Cela m’a excité. Ma bite a commencé à durcir. Je me suis laissé aller, j’étais moins crispé. Il m’a dit de m’approcher de lui. Il avait sorti sa queue. Toujours assis au bord du lit, la bite dressée, il a commencé à me palper : le cul – en écartant bien les deux fesses pour voir le trou -, les couilles – en les soupesant -, la queue – en la branlant un peu fort et en l’obligeant à pointer vers le sol lorsqu’elle était bien arquée vers le plafond -, les seins – en caressant puis en pinçant les tétons -. Tout en me malaxant et en me pelotant, il me dévisageait et me commentait ses impressions de la manière la plus crue. J’étais raide, totalement excité. Pour parfaire le tout, il sortait sa langue de sa bouche, la passait sur ses lèvres ; tout d’un coup il l’a dardée vers mon gland et a titillé le petit trou. Je n’en pouvais plus, j’avais l’impression que mes couilles allaient exploser.Il s’est levé, la queue sortie, m’a pris brusquement les poignets avant que je ne puisse réagir, me les a serré dans le dos, m’obligeant ainsi à la fois à lui obéir et à projeter ma queue en avant. Dans cet équipage, nous avons traversé l'appartement. J’étais terrorisé mais en même temps terriblement excité. Après avoir traversé le salon, nous sommes arrivés dans ...
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