Après la séance dans la voiture avec mes deux lascars, je fis un brin de toilette, car étant de mon côté resté un peu sur ma faim, il n'était pas dans mon idée de quitter la parking. J'avais toujours dans la voiture le minimum pour cela : eau, parfum, lingettes. Je passais rapidement des lingettes sur ma figure, remis un brin de rouge à lèvres, et essuyais consciencieusement mon derrière, épongeant les restes de sperme qui s'en étaient écoulés. Je n'avais pas remarqué que pendant nos ébats un camion s'était arrêté de l'autre côté de l'allée, cabine au niveau de la voiture. Ma mini toilette terminée, je relevais la tête et m'aperçu de sa présence. Dans la pénombre, je vis une silhouette à travers la vitre ; il était évident que le chauffeur n'avait rien perdu du spectacle. Comme je regardais dans sa direction, il baissa sa vitre et me fit signe d'approcher. Je sortis donc de ma voiture et me dirigeais vers le camion. La portière côté passager était ouverte. La cabine étant bien en hauteur, je ne voyais que le buste de son chauffeur. Il me fit signe de monter, mais les marches d'accès étaient un peu hautes, et peu pratique à cause de mes escarpins. Il se pencha, me tendit la main pour m'aider et je me hissais dans la cabine. Il était jeune, 25 à 30 ans tout au plus, brun, costaud, vêtu d'un débardeur et d'un jean. Nous nous tenions un peu courbés à cause de la hauteur de la cabine. Les rideaux étaient tirés à l'exception de la vitre côté passager, et une douce lumière orangée nous éclairait.Il passa le bras autours de ma taille et m'attira à lui. Nos corps entrèrent en contact, son visage se trouva tout proche du mien. Instinctivement j'entrouvris les lèvres et aussitôt sa bouche s'empara de la mienne, sa langue y pénétra et s'enroula autours de la mienne, la caressant lentement et tendrement. Mes mains prirent possession de sa nuque et l'attirèrent vers moi, nous échangeâmes un baiser brûlant et passionné, mêlant nos langues et nos salives, entrechoquant nos dents, tandis que nos bas ventres, collés l'un à l'autre se frottaient dans une ondulation lente et passionnelle. Nous sommes restés ainsi de longue minutes, cette étreinte me changeait de ce que j'avais subi précédemment.Soudain il se sépara de moi, et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il transforma la banquette du camion en couchette, fit valser débardeur jean et slip et s'y allongea. Ses traits étaient fins, il avait un beau torse, son corps musclé n'avait aucune pilosité. Ses seins étaient bien dessiné mais sans excès et les petits mamelons au centre d'une aréole brune se dressaient tout raidis de désir. Une verge bien raide et de belle taille surmontait une paire de couilles gonflées semblant prêtes à exploser. Ne voulant pas être en reste, j'enlevais mon chemisier et ma jupette, déchaussais mes escarpins, ne gardant sur moi que mes bas et ma perruque et je me glissais sur la couchette tout contre lui.Nos bouches se joignirent à nouveau. Ses mains prirent possession de mes petites fesses, il les caressa, les tapota, les malaxa. Sa bouche descendit le long de mon cou, glissa vers ma poitrine, arriva sur un de mes seins. Sa langue fit le tour de l'aréole, ses lèvres enserrèrent mon petit téton, de la langue il le chatouilla, l'aspira, le suça tendrement. La tête rejetée en arrière, bouche entrouverte, respiration courte, je savourais sa caresse. Une de mes mains se glissa entre nos deux corps, s'i ...

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