J'avais au alentour de 18 ans et j'habitais encore Paris pas loin de la gare de l'Est, comme vous avez pu lire dans mes récits précédents. Je faisais pas mal de rencontre, la jeunesse ça aide lol... Je voyais quelques réguliers dont bien sur des bi tout à fait sympas et coquins qui appréciaient mon petit cul et mon « savoir faire ». L'un d'eux Édouard de son prénom que j'avais rencontré dans les wc de la gare de l'Est me voulait au moins une fois ou deux par semaine. C'était les après-midi pendant l'absence de son épouse. Il avait assez confiance en moi pour me faire venir chez lui sans que je lui cause des soucis. En effet certains sont des « emmerdeurs » et attirent des ennuis aux partenaires qui cherchent discrétion. Donc en général je venais les mercredi après midi chez lui. C'était un chaud lapin en effet, la cinquantaine, bien viril, bien monté lol et très actif et pervers. C'était une délectation de le sucer et se faire sodomiser. Il avait pris l'habitude de ne plus mettre de capote avec moi et il était devenu accro à moi. Il m'expliquait que son épouse bien que jolie était « froide » au lit, bref souvent la même rengaine, mais je comprenais le manque qu'il avait de sexe sans compromis sans retenue. Avec la lope soumise que j'étais il était servi. Pour vouloir me voir il me contactait moi ou s'il tombait sur mon père sur le téléphone fixe (hé oui pas de portable à cette époque). Mon père avait l'habitude de mes sorties depuis tout le temps et d'ailleurs il était gay donc me prenait les rendez vous comme « mon secrétaire ». Don un mercredi matin mon père me passe le téléphone en me disant « un de tes chéris », c'était Edouard qui me demandait si je pouvais venir l'après midi. J'ai bien sur accepté. Il m'a dit de venir après 12h30 chez lui. Le matin j'ai fait une bonne toilette, mis une petite culotte rose de femme comme il aime, un ensemble léger dessus et voilà j'étais prêt pour voir un de mes amants. En sortant de chez moi mon père m'a donné une fessée en me disant quelques choses du genre « amuses toi bien », j'ai plus trop le souvenir de l'exactitude des mots. Apres quelques changement de métro etc..... me voilà chez Edouard qui m'ouvre la Porte. L'appartement est pas mal mais je suis attiré par la de son slip son unique vêtement. Il me semble qu'il m'attendait avec impatiente. A peine la porte fermée qu'il m'a pris dans ses bras et nous nous sommes embrassés tendrement et langoureusement. Sa bite bien dure, dans le slip contre moi commençait à me mettre le feu un peu partout. Il m'a alors pris par la main et direction la chambre où il m'a déshabillé tout en s'embrassant et se caressant. Nos étreintes étaient chaudes brûlantes et explosives. J'avais baissé son slip et son sexe était dur à souhait. Il s'est allongé sur le dos et j'ai entamé une fellation qui lui faisait soutirer des gémissements de plaisir. J'alternais avec les coups de langue et des allers retours sur son pieu tout chaud, mes mains lui malaxaient les boules. Le feux allumé et avec lui je savais qu'il allait me donner du plaisir. Je me suis mis sur lui et me suis empalé sur son sexe et j'ai entamé une série de mouvements qui le mettaient hors de lui. Son sexe provoquait du plaisir en moi comme un dingue, j'ai joui une première fois de l'anus (vous le savez chez moi ça me provoque des choses lollll). Après un certain temps passé ainsi, il a joui en moi, pendant que je poussais un petit gueulement de jouissance. Je ressentais ses saccades de sperm en moi, son sexe entièrement en moi. Je me suis affalé sur lui toujours accroché par la chatte et nous nous sommes embrassés comme deux amoureux peuvent le faire. Après un bon moment de douceur, il m'a invité à boire une boisson fraîche. Il m'a dit qu'il fallait que je parte à 18h00 car bien sur sa femme rentrait. Mais il était pas encore l'heure et nous comptions bien nous amuser encore. Nous nous sommes à nouveau rendus dans sa chambre et après des étreintes des baisers sans retenue, j'ai à nouveau sucé Edouard. Sa queue qui était sortie récemment de ma chatte avait son goût mélangé à celui du sperm. D'ailleurs sa raideur puissante était revenue et j'ai eu le droit à des fonds de gorge très prononcés, le boules touchant mon menton. Il m'a pris à nouveau moi sur le dos cette fois et lui entrain de me labourer fortement. J'étais dans un état second et j'ai encore joui je ne sais plus combien de fois. J'entendais ses ...
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