Deux ans de mariage, et Julien, mon mari, balance l’idée d’un plan à trois avec un mec. Il jouit toujours en trois secondes, me laissant frustrée, la chatte en feu. « Ok, va pour le plan », lâché-je, exaspérée. À 29 ans, 1m67, bonnet C, 53 kg, cul bombé et jambes fuselées, je sais que je fais tourner les têtes. Julien, surexcité, acquiesce comme un gamin. Vendredi, je sors l’artillerie lourde : minijupe en cuir, chemisier transparent laissant deviner mes tétons, talons aiguilles, pas de culotte ni soutif. Direction un club libertin, lumière tamisée, air chargé de sueur et de désir. À peine installés, Sam, un colosse baraqué, barbe taillée, regard brûlant, m’invite à danser. Sa bite dure frotte ma cuisse, il grogne qu’il veut me baiser. Ma chatte palpite, trempée. De retour à la table, Sam glisse deux doigts dans ma fente dégoulinante, pendant que Julien me malaxe le clito. Je jouis bruyamment, indifférente aux regards, un sourire provocant aux lèvres.« Chez nous, Sam ? » propose Julien. Dans la voiture, Sam me désape, sa queue épaisse frôlant ma bouche. Je le suce, langue enroulant son gland gonflé, mais il m’arrête. « Écarte les cuisses, salope. » Il me soulève les jambes, sa bite massive me pénètre, me pilonnant contre le siège. Je jouis deux fois, criant, avant d’arriver. À la maison, Sam me porte nue jusqu’au lit, promettant un « spectacle ». Julien et lui se déshabillent, s’embrassent, leurs bites raides en main. Je suis scotchée : Julien suce Sam, qui gémit, baisant sa bouche. Puis Julien encule Sam, qui hurle, sa queue tressautant de plaisir.Sam se jette sur moi, me baise sauvagement, ses coups de reins me plaquant au matelas. Julien le reprend par derrière, et les gémissements de Sam, sodomisé tout en me défonçant, me font exploser dans un orgasme cataclysmique. Julien jouit dans son cul, Sam continue, déclenchant un second orgasme qui me fait trembler. On s’effondre, mais je prends les rênes. « À poil, montrez-vous ! » Sam suce Julien, sa langue léchant comme une glace, jusqu’à ce que Julien gicle dans sa gorge. Je ris, les traite de « salopes à moi », et leur ordonne de remettre ma culotte et de préparer un sandwich.Soudain, Léa, serveuse du club, blonde, pulpeuse, se pointe nue dans la chambre. « J’veux ma part ! » lance-t-elle, hilare, sautant su ...

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