Après mes ébats à Hennebont, j’arrive à Languidic dans une ferme isolée au milieu de la verdure. C’est Pierre-Yves qui m’accueille. Je découvre son visage. Jusque-là, je n’avais vu que des photos de son cul. Il me sourit et je tombe directement sous son charme. Il m’embrasse sur les joues avec une délicatesse exquise. Ses lèvres sont douces et en même temps, il me prend par la main pour m’inviter à prendre un petit rafraîchissement. Sa main est aussi douce que ses lèvres : il fait partie de ces agriculteurs dont les mains ne sont pas desséchées par le contact avec la terre. Il élève des bêtes : veaux, vaches, cochons…Nous buvons une citronnade et dégustons quelques traou mad (traduction : lichouseries, des bons biscuits quoi !). Il m’indique qu’il est temps de rendre visite aux bêtes, en commençant par les lapins. Ceux-ci gambadent dans un large espace de verdure, mi ombragé par des noisetiers et autres essences botaniques. Nous commençons par faire le tour de l’enclos pour vérifier l’état du grillage et Pierre-Yves en profite pour me caresser régulièrement au niveau des bras, des hanches, des jambes sans oublier les fesses. Sur cette dernière touche, je me retourne et j’approche mes lèvres des siennes. Nos bras se prennent avant de nous serrer l’un contre l’autre et notre baiser des plus discret au début se fait de plus en plus profond : nos langues entrent en contact et se croient à un défilé de mode en mannequins qui font virevolter les volants de leurs jupes légères.Notre baiser est langoureux au point que je sens que mon sexe se retrouve à l’étroit dans mon sous-vêtement (un tanga fuchsia aux jolies broderies Richelieu). Bien sûr mon périnée est glabre sinon mes poils traverseraient le tissu ajouré. Mes mains demandent à découvrir ce corps des plus attirants contre lequel je me serre. Je lui caresse la nuque en remontant vers ses petits cheveux et promène mes doigts dans cette chevelure ondulée et si soyeuse que mes sens commencent à m’échapper. Mon autre main se porte sur ses fesses dont j’ai bien l’intention de prendre possession rapidement.Le hasard fait bien les choses et nous sommes au niveau d’un petit carré d’herbe tendre. Nous nous y laissons tomber lentement. Pierre-Yves me malaxe l’entrejambe et sa main traverse ma barguette et s’introduit dans mon tanga. La douceur de sa main se marie à la perfection avec celle de mon gland qui s’est fait décalotter avec une hardiesse exceptionnelle. Il commence à me masturber lentement et fermement. De mon côté, ma main est venue au contact direct de la peau de ses fesses glabres, douces comme la soie (il porte un jockstrap). Même sa rosette est lisse et détendue au point que la première phalange de mon majeur s’y immisce sans effort. Cette intrusion lui plaît car je sens son bassin qui bascule et bien que nos langues soient l’une contre l’autre dans nos bouches, je devine un râle de bien-être de sa part. Je m’enhardis donc et enfonce davantage mon doigt tout en le faisant virevolter au même rythme que nos langues.Pierre-Yves ondule du bassin et pousse ses fesses en arrière pour que je le pénètre au mieux. J’ajoute un deuxième doigt dans son fondement et sa langue se fait plus dynamique avant qu’il ne change de position et quitte ma bouche. Tout en laissant mes doigts lui exciter la rondelle, il se tourne pour placer sa bouche face à mon vit. Il défait mes vêtements pour accéder librement à mon gland qu’il a déjà décalotté avec une seule ...
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