Il y a quelques mois, lors d'une chaude soirée d'été à Paris, j'ai vécu une aventure 100% réelle qui m'a transformé en lopette soumise totale. Moi, c'est Lucas, 35 ans, hétéro marié avec une vie bien rangée en banlieue, mais depuis mes 20 ans, je craque secrètement pour les mecs matures qui me dominent comme une chienne en chaleur. Je les rencontre via Grindr, et cette fois, c'est avec un type nommé Victor, un quinquagénaire baraqué, poilu et autoritaire, qui cherchait une "petite salope à dresser". Il m'a envoyé des pics de sa bite : une verge monstrueuse de 21 centimètres de long, 6 centimètres de diamètre, veinée comme un tronc d'arbre, avec un gland large et rose comme une prune mûre, et des couilles pendantes, lourdes et velues. Il voulait me travestir en femelle : bas résille, tanga rouge en dentelle, escarpins de 12 centimètres et un harnais avec laisse. J'ai bandé direct ma queue de 17 centimètres, circoncise et fine, en imaginant me faire défoncer par ce daddy.Je me pointe chez lui, un appartement haussmannien chic dans le Marais. À peine garé, comme il l'avait ordonné, je sors ma bite et mes couilles de mon jean slim, les laissant ballotter au vent tiède, et je frappe à sa porte. Victor ouvre, torse nu, son regard perçant me scanne comme une proie. "Entre, lopette," grogne-t-il en me claquant le cul d'une main ferme. À l'intérieur, il me commande : "À poil, tout de suite !" Je me déshabille fébrilement, révélant mon corps athlétique mais imberbe, ma bite déjà semi-dure suintant du pré-cum. L'excitation monte ; je sais que je vais me faire humilier et utiliser comme un trou à bites.D'abord, il veut me "préparer comme une vraie pute". Il me fait mettre à quatre pattes sur un tapis en cuir dans son salon spacieux, avec vue sur les toits de Paris. "Cambre-toi, montre-moi ta chatte de salope !" ordonne-t-il. Je m'exécute, arquant le dos au max, écartant les cuisses pour exposer mon trou rose et serré, encore vierge malgré des dizaines de pipes offertes à des daddies. Victor sort un rasoir électrique et me tond les poils autour de l'anus et des couilles, commentant : "Putain, t'as un cul de femelle, rond et ferme, parfait pour se faire démonter. T'es né pour te faire enculer, hein ?" Une fois lisse, il ne résiste pas : il écarte mes fesses avec ses grosses mains calleuses et plonge sa langue dedans. Il lèche voracement mon trou, enfonçant sa langue rugueuse de 5 centimètres profond, tourbillonnant autour de l'anneau musculaire, me faisant gémir comme une chienne : "Oh oui, daddy, bouffe ma chatte !" Je me cambre plus, sentant mon trou se dilater sous ses coups de langue baveux, mélangés à des crachats chauds qui coulent sur mes couilles.Après ce rimming intense, Victor se redresse et se place devant moi, toujours à quatre pattes. "Déboutonne mon froc, petite pute soumise," aboie-t-il. Je défais sa braguette avec mes dents, les yeux levés vers lui en signe de soumission totale. Son jean tombe, révélant une bosse énorme dans son boxer gris. Je lèche le tissu, sentant la chaleur de sa bite de 21 centimètres pulsant dessous, mouillant le coton de ma salive. "Sors-la et suce, lopette !" Je baisse le boxer : sa queue jaillit, raide comme un piquet, le gland enflé luisant de pré-cum, veines saillantes palpitant. Je prends ses couilles massives – chacune de la taille d'une balle de golf, poilues et pleines – dans ma bouche une par une, les aspirant doucement, les léchant avec ma langue plate tout en le fixant. Victor gémit : "Bonne salope, tu sais y faire avec les burnes d'un vrai mâle."Puis, je remonte : ma langue trace la veine principale de la base jusqu'au gland, que j'engloutis d'un coup. Sa bite remplit ma bouche, étirant mes lèvres au max autour de ses 6 centimètres de diamètre. Il attrape ma tête à deux mains et me baise la gorge violemment : "Prends tout, 21 centimètres au fond de ta gueule de lope !" Je m'étouffe, de la bave coule sur son scrotum, mais je pompe avidement, alternant succions profondes et léchages de couilles. Pour pimenter, il me tire les cheveux : "T'aimes sucer du daddy, hein ? T'es une vraie tapette mariée qui trompe sa femme pour de la bite gay hard." J'acquiesce en gémissant, ma propre queue de 17 centimètres dure comme du béton, frottant contre le tapis.Au bout de 10 minutes, il me tire par les cheveux : "Suis-moi à la chambre, à quatre pattes, chienne !" Il attache une laisse à un collier en cuir qu'il me passe autour du cou, et me traîne comme un chien. Dans la chambre, sur le lit king-size, la tenue m'attend : bas résille noirs, tanga rouge qui moule à peine ma bite, escarpins vernis de 12 centimètres et un plug anal vibrant de 15 centimètres. "Enfile ça, et fais-moi bander plus fort." J'obéis, glissant les bas sur mes jambes, le tanga rentrant dans ma raie, les talons me f ...

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