Je ne me suis jamais travesti, du moins pas en public. C'est quelque chose qui ne m'attire pas plus que ça. Même si je dois admettre avoir déjà essayé des sous-vêtements féminin devant mon miroir, juste pour voir l'effet que cela ferait sur moi. Mais voilà ,tout cette attirail en dentelle que les femmes utilisent pour attiser le désir des hommes n'était pas vraiment fait pour moi. Pas que je ne suis pas joli avec, simplement je préfère porter des sous-vêtements masculin, type Jockstrap. Tout au fond de moi, je me sens plus lopette que femelle refoulée. Je n'ai donc jamais fantasmé sur une éventuelle relation avec un travesti ou un transsexuel et pourtant c'est ce que j'allais découvrir. Peu avant de passer un examen d'oral, je me rendis au sex-shop "le libertin" (le nom à été quelque peu modifié) pour me libérer de mon stress. (en écrivant ces lignes, je me rends compte que le sexe est bien souvent un moyen de chasser mes angoisses). Après avoir pris un passe pour la journée, je déambulais au niveau des trois salles du fond, chacune ayant son thème. Personne dans la salle hétéro et seulement deux mecs qui s'astiquaient devant un film dans la salle trans jouxtant la salle gay. Personne ne semblait prêter attention à moi. Déçu, je montais à l'étage pour prospecter au niveau des cabines de projection individuelles et éventuellement trouver mon bonheur. C'est sur le palier en haut des escaliers, que j’aperçus un travesti qui attendait peut-être quelqu'un pour s'amuser. Elle portait un haut en dentelle sous un boléro en cuir rouge, une jupette noire plissée très courte lui arrivant au ras des fesses qui dévoilait ses longues jambes gainées de bas résilles. Elle était coiffée d'un carré plongeant châtain foncé et chose étonnante ;elle n'était pas rasée de près. Je trouvait ça curieux pour un homme voulant ressembler à une femme. Arrivé à sa hauteur, je sentis à son regard qu'elle avait envie de moi. La fixant droit dans les yeux, je glissais ma main sous sa jupette. Et surprise! Elle ne portait rien en dessous! Je caressais sa grosse queue de femelle qui était déjà toute gonflée! Je n'en revenais pas! Jamais je n'aurais pensé qu'une femelle puisse bander autant! Elle me dit de la suivre dans sa cabine pour qu'elle s'occupe de moi. Elle entra la première, s’assit dans la banquette, me dit de retirer mes fringues et de laisser la porte ouverte. Adossée contre le dossier, elle écarta ses jambes, me montrant son membre phallique érigé qui n'attendait que moi. Complètement envoûté par ce spectacle, je tombais à genoux entre ses cuisses et goûtais à son Priape turgescent. Mes grosses lèvres charnues dégustaient la queue de cette femelle en lui prodiguant de savoureuses succions languissantes, ma langue lapait le nectar délicieux de ce fruit défendu. La douce texture en nylon de ses bas frottait contre mes joues, quelle sensation agréable ! Elle écarta un peu plus les cuisses, récupéra sa bite et me fit lécher ses grosses couilles poilus que je gobais avec l'avidité d'un "mort de faim". Mes joues étaient gonflées de ses énormes bourses remplies de jus et j'avais le plus grand mal à reprendre ma respiration avec ses deux chiques dans ma bouches. Je devais avoir l'air ridicule dans cette humiliante situation! Elle en profita pour me gifler avec sa queue. Des filets visqueux de son jus atterrirent sur mon visage. Je voulus alors lui doigter le cul pour reprendre un peu le dessus sur cette femelle dominante et restais coi lorsque je sentis un plugg entre ses fesses! Je voulus lui retirer pour jouer un peu avec son cul, mais elle me somma de le laisser à l'intérieur ! J'obéis à contre cœur en continuant de savourer sa grappe qui pendait dans ma bouche sans protester et puis, ce n'est pas convenable de parler la bouche pleine ! Je perdis toute contenance lorsqu'un flash illumina la cabine, on m'avait pris en photo alors que j'étais nu, à quatre pattes en train de sucer la queue d'une femelle vicieuse! Honteux d'être exposé de la sorte par un mec travesti en femme qui normalement était sensée être à ma place! Trois hommes se trouvaient derrière moi dans l'encadrement de la porte. Ils nous mataient en se caressant l’entre-jambes devant le spectacle indécent que nous proposions. Ici, les rôles étaient inversés et c'était moi la femelle salope! J'étais tombé plus bas que terre. L'homme-femme pria nos visiteurs de bien vouloir se donner la peine d'entrer, proposant de me baiser: "si le cœur vous en dit!" Et cela sans même me demander mon avis! Deux des trois hommes s'avancèrent jusqu'à nous en déboutonnant leurs pantalons, pendant que le troisième restait à sa place pour profiter du spectacle. Les "invités " étaient deux mecs mâtures d'une cinquantaine d'années bien sonnés qui me présentèrent leurs queues pour que je puisse m'occuper d'eux. Ma bouche de suceuse passait d'un membre à l'autre sans répit, au comble de la délectation dans cette forêt de queues. Mes grosses lèvres ourlées autour des sexes onctueux de bave butinaient ses étamines débordant de nectar. Un des mâtures plutôt prévenant disposa un coussin sous mes genoux mis à dur épreuve sur le carrelage dur et froid. Le transgenre se mit alors debout et décida de me baiser la bouche plus fort. Elle posa un de ses escarpins sur la banquette et me bourra la gueule à fond avec sa grosse pine devant les autres médusés. « _Ouvre bien ta bouche maintenant, salope, me dit-elle. Je vais jouir dedans! » Je pris quelques giclées sur mon visage mais elle vida la majorité de sa semence à l'intérieur de ma bouche à bites. Après s'être vider les couilles, elle s'essuya la queue sur mon visage et m'abandonna sans aucune considération à mon égard.  Me laissant un peu de répit, un des deux mecs mâtures me tendit un mouchoir pour m'essuyer mon visage souillé de foutre et me demanda si je voulais bien continuer avec eux. Je lui répondis que ce serait avec plaisir et, je me remis au travail sans même me nettoyer, me ré ...

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