Séance de piscine au lycée finie, nous filons en direction des douches communes. Entre mecs, c’est tout le monde à poil et les grosses quéquettes font la danse au milieu de la piste ! Je n’en fais pas partie, je suis normalement doté. Ce qui m’intéresse, ce ne sont pas les bites, grosses, petites, tordues, peu m’importe. Ce que j’aime chez les mecs, c’est leurs culs.Je les aime le plus rond possible, bien marqués mais pas larges de préférence. J’avais déjà remarqué dans la cour celui de Paul mais, là, je suis très proche de lui et comme il cherche à me cacher son petit asticot que l’eau de la piscine a réduit à peu de chose, je ne vois que son cul. Un cul magnifique dont mon regard ne peut se départir. Je le fais discrètement et personne ne le remarque.Nous rejoignons le vestiaire et nous rhabillons. Alors que nous sommes deux par deux pour rejoindre à pied le bahut, je me suis arrangé pour être avec Paul. Je lui effleure volontairement la main pour qu’il se tourne vers moi et lorsque nos regards se croisent, je sens quelque chose. Sans aucun détour, je lui dis que j’ai mâté son cul pendant toute la douche et que je le trouve superbe. Il rougit et baisse le regard. Je lui dis qu’il devrait en être fier et que pour avois un aussi joli cul, il doit faire du sport.Là, il me regarde de nouveau droit dans les yeux, ses rougeurs ont disparu. Il me répond, qu’en effet, il pratique le culturisme et travaille beaucoup ses fessiers. Là, il repart dans les rouges sanguins, il hésite et m’avoue que c’est même sa priorité, qu’il souhaite que cette partie de son corps soit la plus attirante possible. Je comprends sa gêne et pourtant, il a osé m’avouer ce côté de sa personnalité. Je n’insiste pas.Juste avant d’arriver aux grilles du lycée, je lui demande où il pratique le culturisme. Il le fait dans la salle que possède son père et il me propose, en rougissant de nouveau, si je veux essayer. Tu penses que je veux ! Il me fixe rendez-vous le soir même, vers 21 heures.Quand j’arrive devant la salle, je regarde les horaires et je vois que ça ferme à 21h30. Je me demande s’il ne s’est pas moqué de moi et quand je l’aperçois, je me dirige vers lui. Il est en nage ; la sueur dégouline de partout sur tout son corps. Je lui dis que j’ai vu que ça fermait dans une demi-heure et il me tend un large sourire : « Je sais, j’ai fait exprès ! Ne t’inquiète pas, c’est moi qui fais la fermeture aujourd’hui. Il ne reste plus que trois personnes, qui vont bientôt partir. Il y en a déjà deux sous les douches. »Il est habillé de façon très moulante et plutôt flashy. Il me montre la salle en m’expliquant à quoi servent toutes ces installations et me propose de travailler en premier mes pectoraux. Il me fait m’allonger sur un banc et me fait soulever une barre sur laquelle il a placer des poids assez conséquents mais pas trop. Il se place derrière moi, en sécurité, comme il dit. Il essaye d’être discret mais je vois bien qu’il me mâte, surtout au niveau de la bosse. Il me rend la monnaie de ma pièce ! A chacune des fins de séries de lever-baisser, il m’aide à reposer la barre sur son support en s’arrangeant bien pour frôler mes doigts.Le dernier culturiste est sorti et Paul va fermer la porte. Il revient vers moi et m’indique que j’en ai assez fait pour une première séance. Il m’aide à me relever et nos visages se frôlent au point que nous nous approchons l’un de l’autre dans un mouvement naturel d’attirance réciproque. Nos lèvres se touchent, Paul pose une main sur mon paquet et moi sur ses fesses.Nous nous galochons longuement, langoureusement. Son vêtement est soyeux mais c’est la peau de son cul que je veux ressentir au bout de mes doigts ! Aussi, je remonte ma main avant de la plonger avec l’autre pour passer la barrière de l’élastique et caresser chacune de ses fesses en même temps. Qu’elles sont douces et tendres ! Je les croquerais, je les croquerai.Il n’est pas en reste et quitte ma bouche, me dit qu’il aime mes caresses et tout en m’aidant par devant, me demande de le désaper par derrière. Puis il baisse mon short et mon boxer alors que mon chibre commençait sa séance de gonflette. D’une main, il soulève délicatement mes couilles. Il se baisse. Et de sa deuxième main, il dirige ma bite vers sa bouche. Il avale mon gland et ...

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