Il rôde autour du parking tandis que je remonte de la rivière où je suis allé manger mon repas de midi. Lui, soixantaine, jean et chemise, lunettes de soleil sur un visage viril, léger embonpoint sexy. Je m'engage sous le tunnel pour rejoindre la forêt. Je l'entends me suivre, quelques mètres derrière.  Je marche un peu, envie de prendre le sentier un peu plus loin et de revenir ensuite vers le spot idéal pour prolonger le plaisir de la drague. Je regarde derrière moi et le vois qui s'est arrêté au niveau du premier sentier, celui qui file droit vers le spot.Je continue sur ma lancée et avance encore un peu, avant de virer à gauche dans la forêt.  Je suis le sentier qui sillonne entre les arbres. Personne d'autre dans les bois. En me rapprochant du spot, je vois une silhouette : c'est lui, il est entré dans le bois. Je décide de gagner du temps et bifurque sur le raccourci qui emmène au spot par derrière. J'y suis et l'observe : il prend l'autre sentier pour me rejoindre. Ma poitrine bat très fort à mesure qu'il approche. Il arrive à ma hauteur, une main déjà sous sa ceinture. Il s'approche direct, sans préambule et m'attrape l'entrejambe. Je fais de même et il baisse immédiatement son pantalon et son caleçon et se masturbe. Il ne bande pas encore. Je lui soulève sa chemise et caresse sa poitrine légèrement poilue mais en baissant les yeux, je vois ses cuisses, larges, velues, du genre qui m'excite à fond. Je baisse à mon tour mon bermuda et libère ma queue en pleine érection. "je peux te sucer ? ""oui"Je me baisse alors vers sa bite en demi-molle et la prend dans la bouche. Il déboutonne sa chemise, je peux alors lui caresser le ventre et la poitrine tout en le suçant. Je fais rouler son chibre avec ma langue. Il gémit de plaisir. Je lui caresse les fesses et les cuisses, je le prends tout entier et presse mon visage contre son vente poilu, autre sensation qui m'excite beaucoup. Je le pompe ardemment, sa queue gonfle doucement, il pousse des râles de plaisir avec sa voix grave. "Oh c'est bon, oui" Je lui aspire le gland en le branlant, il aime ça. "Je veux te donner mon jus. Tu le veux ?" J'acquiesce d'un signe de tête sans lâcher son sexe de mes lèvres. Je le suce jusqu'à ce que rapidement il jouisse dans ma bouche. Puis se retire, un grand sourire sur le visage.  "Merci !". Radieux, il a visiblement apprécié le traitement, et va même jusqu'à me faire une petite tape sur la joue. Bon, pourquoi pas ? Le daddy dominateur qui récompense sa petite salope. Pas tellement mon trip, mais ça reste gentil et pas insistant. Il se rhabille et s'en va. Ce fut rapide mais fort agréable, je sors du bois avec l'envie de recommencer mais il est déjà l'heure de retourner au bureau. J'irai me masturber dans les toilettes histoire de faire baisser l'excitation...  Deux jours plus tard…… Je me suis engagé sur le chemin du bois, sous le tunnel. Pas grand monde aujourd'hui dans les parages, le temps n'est pas radieux. Un type avec un vélo qui regarde son téléphone, je suis passé à côté de lui tout à l'heure avant d'aller prendre mon pique-nique, pas trop ma came mais pas rédhibitoire non plus, de toute façon, il m'a à peine regardé. J'ai bien vu 2 voitures se garer, dont une où j'ai vu le conducteur me regarder au moment où il m'a croisé quand je sortais de la mienne. On verra bien... Je marche sur le chemin et je vois quelqu'un qui me suit, à une cinquantaine de mètres derrière. Bon, là, clairement, il m'a pris en chasse, aucun doute possible, il marche d'un pas décidé.J'ai juste jeté un regard furtif en arrière et n'ose pas me retourne encore pour voir s'il me plait, pas envie d'envoyer un signal trop fort pour le moment, mais je sens mon rythme cardiaque s'accélérer. Se faire suivre comme ça est excitant et en même temps j'ai l'impression d'être un peu coincé si jamais il ne me plaisait pas. Je me sens comme le lapin pris dans les phares de la voiture.  Le peu que j'ai pu apercevoir en me retournant me semble tout à fait convenable. Je ne sais pas si il est très jeune ou vieux, bon, on verra bien. Je tourne à gauche dans le petit sentier qui s'enfonce dans le bois. Cette fois, aucun doute, j'ai envo ...

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