Sur l'autoroute Paris-Bruxelles pour aller rendre visite à la famille, je décidais de faire une pause au niveau de la Sentinelle. J'étais trop las pour continuer à conduire, de plus je sentais un petit picotement au fond de ma gorge. Sans doute avais-je poussé trop la climatisation comme à mon habitude.    Je garais mon petit SUV sur le parking quasiment vide et me dirigeais vers la boutique pour me restaurer et prendre un café pour adoucir ma gorge. Mon choix se porta sur un Latté noisette. J'attendais que la machine prépare bruyamment mon breuvage lorsque je sentis un regard posé sur moi.   Un type Bcbg, chemisette blanche et pantalon gris à pince impeccablement repassé, soulier lustré, la quarantaine, plutôt beau gosse, n'arrêtait pas de me fixer de manière bizarre. Sans doute un VRP en mission professionnelle. Voyant que j'avais intercepté son attention, il se dirigea vers les toilettes pour homme en me faisant un imperceptible mouvement de la tête m'invitant à le rejoindre.    Était ce vraiment ça ? Ou alors mon imagination s'était emballée et avait mal interprétée ses intentions. Mais alors, ce regard qu'il m'avait lancé? Ce n'était sûrement pas juste de la politesse ou une quelconque forme de jugement. J'arrêtais de me poser des questions en me taraudant l'esprit et finis mon gobelet d'une seule traite avant de me diriger vers les toilettes pour en avoir le cœur net. Au moins je pourrais vider ma vessie avant de reprendre la route.    Apparemment l'endroit était désert,. J'avançais discrètement jusqu'au fond en ayant l'air de rien pour vérifier. Personne aux urinoirs. Les trois cabines ainsi que celle réservée aux personnes handicapées étaient déverrouillées, les indicateurs de verrouillage étaient tous blancs. Mais où était-il passé ? Je décidais d'attendre un peu en faisant semblant de me laver les mains pour voir ce qui allait se passer. Ce type n'était quand-même pas Houdini!   Je perçus un son qui me sembla être un léger gémissement provenant de la cabine du milieu. Mon cœur palpitant à cent à l'heure, je me positionnais devant la porte. Après un bref instant d'hésitation, je la poussais doucement. Je pourrais toujours prétexter que la porte n'était pas verrouillée si il y avait un malentendu.   Le mec Bcbg était assis sur la cuvette des WC, le pantalon baissé jusqu'aux chevilles, une main sur sa queue dressée en matant une vidéo porno sur son téléphone. Le salaud était en train de se branler sans vergogne dans les chiottes publiques d'un relais routier et la porte ouverte par dessus le marché !"_Oh, désolé ! Dis-je d'un ton faussement contrit, médusé par cette vision des plus excitantes._Entre et ferme la porte. Je t'attendais. "   J'entrais et verrouillais derrière moi. Plus la peine de faire semblant à présent. J'étais démasqué. "_Alors comme ça, tu suis des mecs dans les toilettes, petit coquin."   Sans même attendre ma réponse, il pris ma main et la dirigea vers sa bite toute raide. Sa verge battait d'envie entre mes doigts. Il était en manque c'était certain mais j'allais remédier à ça! Je commençais à le branler doucement comme pour le traire . N'en pouvant plus, il s'appuya contre moi. Je sentais son souffle chaud contre ma nuque. Puis il m'embrassa vigoureusement, sa bouche fine se plaqua contre mes lèvres charnues. Il avait un goût de robusta. Je sentais la mouille de son gland sur ma main pendant que je continuais à le masturber délicatement pour ne pas le faire venir trop vite.   Il se dégagea, plongea son regard de fauve dans le mien puis m'attrapa la nuque et me fit mettre accroupit au niveau de sa queue. "Vas-y suce moi, maintenant."   Me tenant à ses cuisses pour tenir l'équilibre, je pris son morceau en bouche. Mes lèvres épaisses coulissaient autour de son membre viril se délectant de son goût aigre, mélange de sexe et de sueur. Cela devait faire plusieurs heures qu'il devait être sur la route avant de s'arrêter sous le joug d'une pulsion sexuelle irrépressible et il m'avait trouvé...   Progressivement, il se mit littéralement à me baiser la bouche. D'une poigne de fer, il agrippa mes cheveux en me donnant de gros coup de reins. Son chibre massif s’enfonçait jusqu'au fond de ma gorge provoquant des hauts de coeur. De la bave s'échappait des commissures de mes grosses lèvres et dégoulinait autour de mon menton. L'arrière de mon crâne tapait contre la fine parois du toilettes qui ondulait sous les chocs répétés. Je priais intérieurement pour que personne n'arrive et nous entende. Mais aussi pour que ce châtiment s'arrête enfin.   Il sortit sa queue de ma bouche et commença à me gifler le visage avec son flagelle pénien (Le terme exact pour cette pratique est "bifler". Je le découvris plus tard lors de mes recherches sur le net et les sites Bdsm.). Il me baffait avec sa teube toute raide contre mes grosses lippes, mes joues, mon front. Il enduisait chaque partie de mon visage de sa mouille visqueuse mêlée à ma salive. La tête tirée en arrière, je ne pouvais que subir ce traitement des plus avilissant sans protester pour ne pas éveiller l'attention d'un éventuel automobiliste passant par ici.    De nouveau, il tira sur mes cheveux pour guid ...

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