A la fin des fins , il fallut bien convenir d'un retour à mon logis. Je me rhabillais, lui aussi. Rien et pourtant tout s'était passé .Le reste à venir serait le dessert des délices ....La Jaguar blanche me ramena à distance de mon logis, dans la nuit vide . Prudents, nous évitâmes les effusions de baisers er d'embrassades toujours visibles pour les insomniaques derrières leurs rideaux à l'aura des lampadaires. Le silence fut notre témoin complice de nos amours naissantes.Durant ce trajet nocturne de retour, nous étions convenus de nous retrouver au matin du suivant samedi pour deux jours. Je savais pouvoir prétexter quelque labeur collectif à la Bibliothèque Universitaire en vue d'un travail à rendre. Il me fut donc aisé d'être ouvert et disponible pour les attraits et bonheurs longtemps escomptés et, là, enfin, réalisables avec mon chéri .Inutile donc ici de narrer par le menu : il semble évident . Ces choses furent racontées dix-mille fois . Ce fut pour moi le moment de toutes les découvertes, y compris de logorrhée langagière que je n'eusse pas osé envisager huit jours auparavant . Je sus manifester mon bonheur de l'intromission en exprimant une douleur rapide devenue vite fusée chaude de plaisir anal, surtout après que mon Amant Maître m'eût travaillé avant ma rondelle par un doigt , puis deux puis trois , tout en commentant son ouvrage à mon grand plaisir des mots crus sexués. J'adorais ma passivité car j'étais bien guidé et dominé. Que voulez-vous de plus ? Mon Homme m'ordonne ma disposition à quatre pattes , genoux dans le lit, cul cambré , " encore un peu plus , mon chéri , cambre bien ton cul pour que je t'encule à fond ". Nu flatté et heureux dans le lit de mon Monsieur de confiance dont vous savez, d'autant qu'il me l'a dit et redit, qu'il allait m' enculer, je ne pouvais qu'être de joie dans cet accouplement tant recherché . La nuit fut une féérie de délices sexuels, caresses et embrassades d'amoureux . Mon Homme chéri me prit deux fois par belle enculade, en levrette, sur le côté, à califourchon face puis dos, sur le dos avec mes jambes autour de son cou. J'aimais cette dernière position qui lui permettait de se pencher pour me baisouiller les lèvres et moi de lui flatter les joues d'une main caressante. A la première, je fus fécondé. Je sentis son jus couler entre mes fesses jusqu'à mes cuisses qu'il écarta de ses deux mains pour me commenter à voix haute le spectacle qu'offrait ainsi mon cul mouillé. Il me promit quelque sommeil puis de me reprendre , ce à quoi je lui dédiais aussitôt mon envie d'être de nouveau à lui comme , dis-je, " sa chose et femelle sexuelle" . Vers les 3 heures au matin, le moment arriva et, après une enculade magnifique pour mon cul, il décula pour me faire ingurgiter , dans ma gorge consentante largement ouverte, sa grosse et belle queue moite des liqueurs de ma rondelle; puis , d'un jet époustouflant, deux fois répété, trois peut-être, me cracha dans ma bouche toute son affection sexuelle pour moi. J'avalais goulûment tout . Il me commanda de bien nettoyer sa belle queue avec ma langue gourmande : je m'exécutais avec frénésie et suçais chaque goutte de son foutre comme mon dessert conjugal . Plus tard, j'appris les plaisirs du fouet sur mes fesses , cul cambré à quatre pattes, ceux de la fessée en travers de ses genoux , des séances d'intromission de godes divers après qu'il m'eût dilaté d'un doigt puis de deux puis de trois doigts , des poses photos avec des pinces à tétons soigneusement réglées : il connaissait parmi ses relations amicales de castes homosexuelles un photographe homo discret pour les tirages qu'il conserva dans des réduits connus de nous seuls. Dans la semaine qui suivit nos premiers ébats maritaux, certains de ses proches amis homosexuels , sexagénaires et septuagénaires ,vinrent le visiter . Fut-ce le pur hasard ou ces arrivées ne furent-elles pas autrement qu'inopinées et savamment orchestrées ? C'est ainsi qu'une fin de matinée, il vint me chercher dans notre chambre où je m'étais réfugié , et me présenta, totalement nu ,à ses deux amis. Je fus pressé de montrer ce qu'il m'avait enseigné au lit pour servir les deux messieurs , acharnés l'un à ma bouche gourmande , l'autre à ma rondelle complaisante . C'était joyeux et mon Mari venait m'encourager en caresses de mes reins accompagnées de mots crus exaltants . Le fait qu'ils vinrent seuls m'épargna de pénibles relations de gouinage dont l'idée m'indisposait . ------------------------------------ VIIINos amours durèrent , dans la discrétion.Je lui fus fidèle . Imaginatif, et élégant, il me conduisit deux ou trois ans après notre union conjugale , dans un de ces rassemblements de Messieurs Homosexuels, directifs et capables, qui aiment dans la discrétion d'usage, au demeurant licite et non illégale, exhiber leurs conquêtes de gitons et de soumis , travestis à souhait et heureux d'être montrés comme tels. J'étais à la fois craintif et fasciné par ce monde dont mon Mari me parla pour m'y mener, dans une tenue travestie . Je me trouvais , à ma première exhibition , quoiqu'avec une certaine réelle appréhension , guidé par mon Mari . Il m'avait ce jour-là attifé d'une tenue simple : je portais un string clair à légères dentelles ajourées , jambes gainées de bas blancs à port ...
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