Nous montons dans ma chambre et nous positionnons l’un face à l’autre. Maxime recommence à prendre l’initiative et il baisse mon short tout en s’agenouillant. Il plante son regard dans le mien, et la larme à l’œil, il m’indique que c’est sa première fois ! Je m’en doutais et des éclats de douce lumière d’empathie se projettent de mes yeux vers les siens. Je lui rétorque d’agir à sa guise et qu’il ne peut que me procurer du plaisir si telle est son envie. Je lui caresse les cheveux de façon à le rassurer au maximum et il commence à humer mon sexe qui commence à se sentir à l’étroit dans mon boxer. Sa bouche me frôle avec volupté et ses dents attrapent l’élastique de mon boxer afin de le baisser mais il n’est pas encore un artiste de cabaret confirmé ! Je l’aide par derrière et lorsque mon boxer est suffisamment baissé, ma verge tendue est projetée au-delà de l’élastique et vient cogner contre son menton.Une complicité est en train de naître entre Maxime et moi. Nos regards s’illuminent l’un l’autre et Maxime prend confiance en lui : il engouffre mon pieu en gorge si profonde, sans que je ne sente ses dents, que je pourrais croire que ce n’est pas sa première fois même si indubitablement, ça l’est. Effectivement, il a été présomptueux et il connait un haut-le-cœur phénoménal, au point d’être vraiment sur le point de vomir, une larme pointe à chacun de ses yeux. Je le relève avec une tendresse infinie dans le regard et je lèche chacune de ses larmes. Nous reprenons un baiser endiablé et nous nous projetons sur le lit.Nos mains parcourent désormais le corps de l’autre avec des variations de rythmes et d’appuis qui ne correspondent à aucune chorégraphie connue. Nos bouches se retrouvent, comme attirées telles des aimants.Maxime se tourne et reprend mon sexe en bouche alors qu’il est au-dessus de moi, me laissant accès à sa rondelle, si fraîche, si serrée, si attirante. J’y engouffre ma langue non sans l’avoir au préalable pro ...

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