Comme peut-être quelques-uns d’entre vous, j’ai abandonné il y a bien longtemps mon pucelage dans la chambre d’un hôtel minable entre les cuisses d’une prostituée. Elle avait su se montrer gentille et m’avais mis en confiance pour faire de ce moment unique un très bon souvenir. J’étais donc retourné la voir à quelques reprises au début de ma vie sexuelle. Un jour, comme nous avions fait un peu mieux connaissance, je lui confiai que je m’interrogeais sur ce qu’on pouvait ressentir à se prostituer. Elle me répondit qu’elle était indépendante, que c’était son choix et que par conséquent elle se réjouissait de faire du bien aux hommes. Quelques années plus tard, ce souvenir me traversa l’esprit et la question me revint en mémoire. Qu’est-ce que ça fait de vendre son corps ? J’avais 25 ans alors et l’envie de tester me prit. Si j’essayais ? La décision prise, j’étais prêt à tout tenter : servir de gigolo à une femme, de femelle à un homme, de partenaire à un couple… Un soir de printemps, je me préparai et me rendis dans un bar réputé pour ses rencontres faciles, pas très loin de chez moi. Je ne savais pas bien à quoi m’attendre n’ayant recueilli que des informations plus ou moins fiables sur la façon dont les choses s’y passaient. Je m’installai au bar. Le patron prit ma commande. Je sentais son regard intrigué sur moi. Manifestement, c’était une clientèle d’habitués et il s’interrogeait sans doute sur la recherche de ce nouveau client. J’étais arrivé depuis une dizaine de minutes quand un type, la cinquantaine, vint s’installer au bout du bar. Il était plutôt bien fait, soigné et avait du charme. Manifestement, ma présence l’intriguait lui aussi et je surpris des échanges de regards interrogateurs entre lui et le barman. A mi-voix, ils échangèrent quelques mots que je n’entendis pas. Ses yeux ne me quittaient pas, je le sentais, et quand enfin je levai le regard vers lui, il me sourit et leva son verre dans ma direction comme pour porter un toast. Je pris mon verre pour répondre à son geste, ce qu’il prit pour un signe d’encouragement. Il quitta son tabouret pour venir s’installer près de moi. Il me demanda si j’étais nouveau dans le quartier. Je prétendis que oui et très vite il commença à me draguer sans aucune discrétion. Et soudain, la question tomba, abrupte :- Tu prends combien ?Bien que m’étant préparé à cette question, je me sentis déstabilisé et c’est presque malgré moi que j’annonçais :100 francs (c’était les années 90).Le chiffre ne parut pas le surprendre et, glissant la main dans la poche de son pantalon, il sortit un billet de 100 francs bien plié qu’il glissa discrètement sous mon verre.- Tu fais ça où ?Horreur ! Je n’avais pas pensé à ça. Evidemment qu’il fallait un lieu ! A cours d’idée, je répondis machinalement :- Chez moi.- OkIl n’y avait que quelques centaines de mètres jusqu’à mon appartement. Dans l’escalier, un doute me prit. Et si c’était un pervers, s’il en profitait pour me voler, me frapper voire m’assassiner … Tans pis, c’était trop tard. La clé tourna dans la serrure, il entra derrière moi.- Tu débutes, hein ? demanda-t-il.- Oui, vous êtes mon premier client.Il ne fit aucun commentaire, se contentant d’enlever sa veste et de la poser sur le canapé. Déshabille-toi et caresse-toi, m’ordonna-t-il en s’asseyant.Sans réfléchir, je me dévêtis.Un peu plus de sensualité n’aurait pas nui pour m’exciter un peu !Il tapota le canapé pour m’indiquer de m’installer près de lui et je commençai doucement à me caresser comme il l’avait demandé. En me regardant, il commença à déboutonner sa chemise puis sa main de posa sur sa braguette. Sans me quitter des yeux, il défit sa ceinture et commença à se malaxer à travers le slip.Tu suces au moins ? Sans répondre, comme dans un état second, je me penchai vers lui sortit un imposant chibre circoncis parfaitement dressé. Il posa aussitôt la main sur ma tête. Bisexuel depuis longtemps, avoir une bite en bouche n’était pas une sensation nouvelle pour moi mais le contexte était différent. Aujourd’hui, je devais satisfaire un client. Je pensais confusément au billet logé au fond de ma poche de pantalon, au rôle que je jouais, à ce que j’al ...
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