Nous étions la dernière semaine d’Aout, l’été se finissait et je pensais déjà à la rentrée scolaire. Je devais profiter des derniers rayons de soleil et de cette température des plus agréables qui exacerbais mon envie de sexe. J’avais les cheveux très longs et j’avais pu profiter de ces derniers mois pour améliorer mon maquillage. Mon visage juvénile et ma taille 34 avec une robe et des chaussures féminines me donnait pleine satisfaction devant un miroir. Je me trouvais belle et désirable, tout était parfait, de loin ou de près, impossible de savoir que j’étais un garçon. Seul le fait de ne pas avoir de poitrine pouvait trahir mon genre. De toute façon, maintenant j’étais une jeune fille. Difficile de me reconnaitre dans la rue car en garçon, mes cheveux était toujours attaché. En fille je les lâchais et les coiffais. Mais j’évitais car je n’avais qu’une robe et un petit string volé à ma cousine. Je devenais coquette et cela me désolait.Ce jour-là, je n’irais pas rejoindre Younès. J’étais un peu chafouin. Comment avoir une plus belle garde-robe ? Je voyais mes cousines avec des habits différents presque chaque jour. Je les enviais. Elles avaient mille et une petite robe courte, presque transparente élégante et sexy. Cela revenait en boucle dans ma tête régulièrement. Il fallait que je trouve une solution. Une idée me traversa le cerveau presque intuitivement. Je savais le pouvoir que j’avais sur les hommes et la façon d’obtenir ce que je voulais. Ils voulaient du sexe, moi je voulais une garde-robe. Je réalisais très vite qu’obtenir une récompense contre du sexe faisait de moi une “ Putain “. En fait, je m’en fichais. Je cumulais, homo, travesti. Cela m’excita encore plus. J’échafaudais un plan.Le lendemain vers 10h00 je revins tourner autour de la grange de l’agriculteur. Il y stockait son matériel agricole. J’avais moins peur que la dernière fois. Je ne le voyais pas. Sa ferme était à 50 mètres de là. Il manquait le tracteur. Il devait être en train de préparer les champs pour l’hiver. Ses différents champs étaient séparés par un grand étang. Il devait donc passer sur le chemin qui le longe. C’était à dix minutes a pieds. En arrivant près de l’étang, j’entendais le tracteur qui faisait des aller et retour dans le champ. Il tirait une énorme herse pour casser les mottes de terres et oxygéner les sols. En deux temps deux mouvements, j’étais nu et me lançais à l’eau pour m’y baigner. Je devais faire comme si j’étais seul au monde. Je faisais la planche et mon petit kiki devint presque inexistant. Un vrai clito. Je n’étais pas bien monté de toute façon et j’étais quasi imberbe. Au bout d’un certain temps j’entendis le son du tracteur qui venait vers l’étang en suivant le chemin. Je faisais mine de ne rien laissait paraitre. Ses nouveaux types de machine avait une cabine très haute et il me vit facilement. Il s’arrêta devant moi et m’interpella. - Que fais-tu là ?- Rien, je me baigne, il fait chaud.- Tu te baignes tout nu ?- Je n’avais pas prévu, mais l’eau est bonne, répondis-je- Cet étang m’appartient.- Je ne savais pas, je peux partir si vous voulez.- Non, tu peux rester, me dit il- Vous devriez vous baigner aussi, avec cette chaleur.- Je crois que j’ai droit à une pause. J’arrive.Je vis que son regard changea, la veine de son cou commença à gonfler. Je l’excitais. Il rentra dans l’eau et dit, elle est bonne. Il avait de l’eau a mi-cuisse et son sexe touchait la surface de l’eau. Pff une montagne de muscle. Je le regardais en entier et cela m’impressionnait. Un géant. Il s’aspergeait le torse. Il avait de la poussière de partout. Il se frottait et se jeta en arrière pour être sous l’eau et chasser toute trace de terre et de transpiration. Hum dit-il, cela fait du bien. Un mâle alpha dans toute sa splendeur. Il m’excitait et mon petit sexe se redressa rapidement, et ne fis rien pour le cacher. Tu veux recommencer ce que l’on a fait la dernière fois dans la grange ? Oui. Répondis-je. Tu es une petite salope en fait. Je baissais les yeux. C’était un compliment pour moi.Il s’approcha de moi et me pris dans ces bras comme un fétu de paille. Il me déposa sur la berge. Il alla à sa machine et revint avec une énorme couverture qu’il déplia sur le sol. J’étais assis comme une sirène dessus et attendit la suite des événements. Il s’allongea et me fit asseoir sur sa poitrine. J’avais l’impression de chevaucher un cheval de trait. Il prit ma tête et l’approcha de la sienne puis il m’embrassa avec beaucoup de tendresse. Je me suis allongeais sur lui. Cette fois ci je cru être sur un porte-avions. Tout était large et grand chez cet homme. Pendant qu’il m’embrassait avec mes pieds je lui frôlais son sexe. Il commença à avoir un début d’érection. Il faisait déjà dix fois ma taille. Il me lâcha la tête et profitais pour descendre le long de son torse et m’approchais de son sexe. Toujours aussi impressionnant, il me fallait les deux mains pour le masturber. Je prenais mon temps et lui caressai aussi ses testicules gros comme des pêches. Il bandait dur maintenant le coquin. Je crachais dans mes mains et m’enduisait la rosette de salive. Je me mis en califourchon sur lui et rapprochais son gland contre mon orifice. Il me laissait faire. J’ondulais du bassin pour faire rentre et sortir son gland et me préparer à tout engloutir. A chaque ondulation, je faisais rentrer un peu plus son sexe dans mes entrailles. J’étais à la limite élastique de ce que je pouvais endurer. Comme j’étais détendu et que je gérai cet accouplement, je n’avais aucune douleur. Au bout de quelques minutes, tout était rentré et commençais des va et viens. Il fermait les yeux de plaisir. Mon excitation augmentait et rapidement j’éjaculais sur son torse musclé et poilu. Je restai en érection. Puis très vite des spasmes venant de mes entrailles me firent tressaillir et je m’évanouis de plaisir. Je repris rapidement contact avec la réalité et senti qu’il avait pris le relais. Il ondulait du bassin pour faire rentrer et sortir son sexe. J’étais comme une marionnette désarticulée sans vie. Un morceau de viande à plaisir. En ouvrant les yeux, la tête contre sa poitrine je voyais son cou qui avait enflé et ses veines jugulaires parsemées de saccade. Il ne s'occupais de rien d’autre que de son excitation et de son plaisir. Je jouis une deuxième fois et devenais folle en pensant à ce qu’il se passait. Il jouit dans un râle d’animal et se cambra fortement en enfonçant jusqu’à la garde son sexe en moi. Il resta ainsi une vingtaine de seconde. Il me serra si fort que je n’arrivai plus à respirer puis il relâcha sa prise et se détendit complètement. Je pouvais respirer de nouveaux. Nous restâmes ainsi de longues minutes, je sentais son sexe se ramollir petit à petit. Il glissa en dehors de moi et une grande quantité de sperme dégoulinait entre mes fesses. Mon anus ne se refermais pas. J’étais comblée comme jamais. Nous restâmes ainsi de longues minutes, comme après un combat. Il fallait que nos corps récupèrent. Il bougea le premier et me fit glisser sur le côté.- C’était bien dit’ il- Oui c’était bon répondis je- On devrait venir se baigner plus souvent- Oui mais il me faudrait un bikini.- Mais un bikini c’est pour les filles.- Justement. S’il passe quelqu’un je voudrais pouvoir me rhabiller dans l’eau.- Quelle idée, c’est vrai que tu ressembles plus à une fille qu’a un garçon.- Oui c’est vrai. Je suis plus une fille qu’un garçon. Vous avez bien vu.Il réfléchit et me dit on va aller chez moi, J’ai des armoires aux greniers avec pleins de vêtements de ma fille quand elle était jeune. Tu devrais trouver ton bonheur. - Ou est-elle maintenant ?- Elle est partie vivre au Canada avec son époux et leurs deux enfants Elle ne vient que rarement. C’est moi qui vais les voir une fois par an. Allons-y, ma journée dans les champs est terminée de toute façon.Je montais avec lui sur son engin et nous nous dirigeâmes vers la ferme.En arrivant, il me dit “ suis-moi “Nous arrivons dans ce grenier qui est complètement refait. Isolation plaquage au mur et même le sol avec un magnifique plancher. C’est immense. Aucune cloison. Au fond j’aperçois une salle de bain moderne avec douche à l’italienne et un WC séparé, c’est tout. Le long d’un mur trône quatre grandes armoires et a cote deux grosses cantines métalliques. Il se dirige vers l’une des armoires, l’ouvre et me dit “ C’est ici ! Regarde, fouille et prends ce que tu veux “ Waouh, il y'a de tout. Des robes, des hauts des jupes, des shorts, des culottes, des maillots de bains et des manteaux. Je trouve aussi une petite boite en bois avec une grande quantité de bijoux fantaisies. Bien je dois choisir. Je regarde les maillots en essaie plusieurs et mon dévolu se jette sur un maillot en lycra une pièce. Il est échancré jusque sous les aisselles et ne tiens que par deux points de couture. Il est en string et cache à peine ma poitrine. Je le choisi car je n’ai pas de seins et c’est ce qui me va le mieux. Il me dit tu peux prendre des culottes et quelques bijoux. Je n’hésite pas et saute sur l’occasion. J’ai les oreilles percées donc aucun problème. Je rajoute un collier et des bracelets. Pour une première fois me dis-je, c’est suffisant. “Voilà c’est parfait “- Bien maintenant il faut mérite ...
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