Troisième partie. Voilà bien longtemps que j'ai laissé en train ce récit. Les choses de la vie ne m’ayant pas donné le temps nécessaire pour pouvoir finir ce récit qui me tenait tant à cœur. Maintenant, c’est chose faite. J’espère que vous prendrez autant de plaisir à lire cette dernière partie que j’en ai eu à retrouver et écrire tous ces émois. Je vous souhaite une bonne lecture d’une main, je l’ai fait pour ça. La chambre se trouvait à l’étage. Je le suis dans cet étroit escalier. En retrait, j’admire ces fesses et le bas de ses reins qui m’excitent énormément. J’aime bien ça façon d’avancer, tout en montant les marches. J’admire sa façon qu’il a de bouger son corps. Je me dis, à la vue de sa nudité, que j’aurais préféré qu’il soit glabre, mais, contre toute attente, je me rend compte qu’il est beau et que sa peau chaude est si douce. Arrivé sur le palier, il s’engage dans la première ouverture en m’annonçant que c’était par là. La chambre, petite et mansardée, légèrement éclairée, est largement occupée par un lit 2 places et deux armoires. Une aux̌ pieds du lit, l’autre sur la gauche, à côté de la porte. L’autre mur comporte la fenêtre. Pas de miroir! Tant pis! Il se baissa pour écarter le couvre lit, laissant le drap sur lequel il me fit asseoir. Mon visage était maintenant à hauteur de son sexe. Face à moi sa magnifique verge. Elle avait perdu un peu de sa vigueur. J’écarte les jambes en l’attrapant par les hanches pour mieux le ramener vers moi. Il met ses mains dans mes cheveux. Je l’encourage à s’avancer encore un peu. La bouche offerte, c’est entre mes lèvres que son membre reprit de la teneur. Tout en me délectant de la douceur de son gland déambulant de mes lèvres au plus profond de ma gorge, d’une main, je profite de la douceur de ces testicules toutes lisses, tandis que l’autre se faufile ente ses jambes vers sa raie toute aussi douce et lisse. Du bout de mes doigts, j’écarte cette vallée tout en fouillant pour y trouver son petit œillet. Enfin là, j’y applique mon majeur que j’avais bien pris soin de lubrifier à la frontière de son mat et de ses couilles avec ma salive abondante. Tout en douceur, mon doigt écarte les pétales de cette fleur cachée. Avec délicatesse, j’agrandis le passage vers ses profondeurs. Dès la première phalange, je sens ses fesses se cambrer légèrement, tel un signal que je suis, il m’invite à aller plus loin, plus fort. Passé les contreforts de son anus qui continuait à se détendre, mon doigt découvre la chaleur et la douceur de cet adorable petit orifice. Une fois bien à l’intérieur, je profite, en prenant mon temps, de la moiteur en caressant les parois lubrifiées de son foutre avec un doigt, puis deux... Enfin, je pars à la découverte de cette petite bosse qui apporte tant de bonheur. Elle est là, à 2 ou 3 centimètres de l’anus, quelque part derrière ses testicules. Par de petites poussées de mon majeur, j’y donne de légères pression. Son anus se détend toujours de plus en plus. J’ai mes deux mains toutes occupées à ses fesses. L’une à les écarter, l’autre à jouer avec sa prostate. Pendant ce temps, ma bouche se vide ou se remplit de plus en plus vite, de plus en plus profond, au gré des aller et retour de son sexe en moi.Se laissant aller au confort de mes attouchements, ses gémissements finissent par lâcher des "mmmh! Que c’est booon! Mmmmh", qui m’emplissent de fierté. Tout d’un coup, comme sorti de sa torpeur, il dégage sa voluptueuse verge de ma bouche d’un petit coup de rein. Il prend ma main pour extraire mon doigt tout en me glissant à l’oreille : " Viens, allonge-toi... J’ai très envie de te sucer aussi... ". De la parole, il m’invite gentiment à m’allonger en faisant mine de ses mains de me reculer sur le lit. Tous deux, têtes bêches, sur le côté, nous sommes chacun face à face avec le sexe de l’autre. Je savoure un instant la vision de son gland luisant tout proche de mon visage. La beauté des veines parcourant sa verge dénuée de tout poils ainsi que de ses couilles qui ont tendance à pencher vers le matelas. Ce sont par ces dernières que ma bouche est attirée. Pendant ce temps, mon homme de ses doigts expérimentés commence à me décalotter. Je sent mon gland sortir de son étui pour être délicatement caressé par sa langue humide. Petit à petit, je me sent gobé par ses lèvres avides. Ma verge s’enfonce lentement et profondément dans sa bouche. La douceur de sa langue sur mon gland et mon frein filant sous son palais envoient des signaux de bonheur qui remontent jusqu'à ma bouche qui s’ouvre sur ses magnifiques testicules. Tandis que je frotte son sexe contre ma joue, son gland se perd du côté de mon oreille. Je sens son lubrifiant naturel coller mes cheveux. Excité par ses caresses buccales autour de mon sexe, ma bouche gobe une de ses fragiles boules. Sachant la délicatesse de la chose, j’ai peur de mal faire. Je ne veux pas prendre le risque de faire un geste de trop. Malgré tout, je trouve extrêmement agréable d’avoir cette testicule dans ma bouche et le contact de ma langue sur sa peau, j’appréci de palper l’organe si sensible. Dans un mouvement de concert, entièrement spontanés, nous soulevons, ensemble, notre jambe la plus haute afin que l’autre puisse mieux accéder entre nos cuisses. Avec mon compagnon de jeux, nous no ...
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