This narrative was rated : 4.0 / 4

 
( 0 = Boring story   4 = TOP story )


Ajouter à ma liste
Plongées sur Hyères 3

Publié par : pierre49590 le 27/07/2025
** NEW **

Le temps s’étira. Malgré la fatigue et la lourdeur de nos membres, je sentis peu à peu mon corps se ranimer. La chaleur revint sous mon ventre, ma verge gonflait lentement contre sa hanche. Il le sentit avant moi. Son bassin bougea imperceptiblement et je perçus sa propre excitation renaître, dure et brûlante contre ma cuisse.Les ressources de notre jeunesse remontaient vite, comme un feu sous la cendre prêt à embraser nos sens une seconde fois. Il leva la tête, ses cheveux humides retombant sur son front, et planta son regard dans le mien. Ses yeux brillaient d’une lumière intense, mélange de tendresse absolue et de désir sauvage. Il ne dit rien. Sa main glissa lentement sur mon flanc jusqu’à mon bas-ventre, effleurant mon sexe du bout des doigts. Je frissonnai de la nuque jusqu’aux reins.Toujours sans un mot, il se redressa et s’agenouilla à côté de moi. Je le regardais, fasciné par la splendeur de son corps : ses épaules fines et dorées, ses pectoraux fermes, la ligne parfaite de ses abdominaux descendant en V jusqu’à sa toison blond sombre, dense et soyeuse, qui encadrait son sexe dressé avec une beauté troublante. Il se pencha sur moi, ses cheveux effleurant ma poitrine, et posa ses lèvres sur mon ventre, à cet endroit si fin qui palpite au moindre souffle. Un baiser long, presque chaste, avant qu’il ne descende plus bas.Je sentis sa bouche chaude et humide se refermer sur ma hampe. Un gémissement rauque m’échappa tandis qu’il m’enveloppait entièrement, ses lèvres serrées, sa langue souple jouant avec lenteur sur le dessous de mon gland. Il m’engloutissait dans une caresse profonde et rythmée, sans précipitation, comme s’il voulait goûter chaque millimètre de ma chair, jouant avec mon prépuce. Je relevai la tête. Sous la lumière verte, son visage avait la beauté grave d’un prêtre en extase, concentré, ses paupières closes, ses pommettes légèrement rougies. Ses mains tenaient mes hanches fermement, m’immobilisant pour mieux me posséder.Je sentais mon plaisir monter, rapide et irrépressible, une vague brûlante qui envahissait mon ventre, mes cuisses, mon dos tout entier. Mes doigts s’enfoncèrent dans ses cheveux, caressèrent ses tempes, sa nuque, et je le sentis gémir faiblement autour de moi, comme si me donner jouissance le menait au bord de la sienne.Je ne voulais pas jouir tout de suite, je voulais prolonger, retenir cette chaleur et cette tendresse infinie, mais c’était trop puissant, trop pur. Je poussai un cri court, rauque, et je me déversai dans sa bouche, le corps arqué, tremblant de tout mon être. Il continua ses mouvements lents, me vidant avec une douceur inhumaine, avalant tout sans cesser de me caresser de sa langue tout en aspirant à fond ma semence.Quand je rouvris les yeux, il me regardait, ses lèvres humides, ses yeux brillants d’une lumière trouble et heureuse. Il se pencha sur moi et m’embrassa longuement. Je goûtai sur sa bouche le sel de la mer mêlé à celui de mon plaisir, et un frisson me traversa, un frisson de gratitude, de tendresse et d’amour brûlant.Je le pris dans mes bras. Son sexe, encore dur et palpitant, se pressait contre ma cuisse. Je sus qu’il n’était pas rassasié. Et je n’allais pas le laisser en reste.Je glissai une main sur sa nuque et la fis remonter jusqu’à ses cheveux, que j’ébouriffai tendrement avant de l’attirer à moi. Il leva les yeux, surpris, un sourire doux aux lèvres. Je roulai sur le côté et le basculai lentement sur le dos. Sa peau luisait sous la lumière verte des bâtons, comme celle d’une statue de bronze poli, vivante et chaude. Il s’allongea sans résistance, ses bras ouverts de part et d’autre de son corps, ses pectoraux se soulevant à mesure que sa respiration s’accélérait déjà légèrement.Je le contemplai longuement. Sa beauté me paraissait irréelle, presque douloureuse. Mon regard glissa sur ses épaules larges, la ligne parfaite de ses clavicules, puis descendit sur ses pectoraux fermes mais détendus, où deux tétons rose pâle se dressaient, froncés sous la caresse tiède de la brise marine. Je les touchai du bout des doigts, puis les effleurai de mes lèvres, et je sentis son corps tout entier frissonner d’un plaisir muet.Je poursuivis ma descente, admirant la courbe douce de ses côtes, le dessin net de ses abdominaux, six blocs délicats séparés par des sillons fins. Sous son nombril parfaitement dessiné, la ligne sombre de son sillon abdominal descendait en un V précis vers son pubis, dense, blond sombre et soyeux, encadrant son sexe dressé comme un écrin naturel.Je restai un instant à le contempler dans son ensemble, submergé par sa beauté. Sa verge, longue et légèrement arquée vers le bas, se dressait fièrement. Le gland rose et brillant, presque entièrement dégagé, semblait palpiter d’une excitation impatiente. La hampe était parcourue de fines veines bleutées, vibrant sous ma paume lorsque je l’effleurai. Je remarquai aussi la délicatesse de ses testicules, tirés contre la base, la peau plissée luisant d’eau salée à la lumière verte. Une vague de désir brut me submergea, si intense qu’elle m’en coupa presque la respiration.Je passai mes mains sur ses cuisses puissantes, savourant la fermeté fuselée de leurs muscles, avant d’effleurer la face interne, plus pâle et douce, qui menait à la naissance de son sexe. Il laissa échapper un soupir tremblant, ses hanches bougeant légèrement comme pour m’offrir plus encore.Je me penchai sur lui. Mon souffle fit frissonner la peau hypersensible de son bas-ventre avant que je n’effleure la base de sa hampe de mes lèvres. Il poussa un petit cri bref, guttural, et tout son corps tressaillit sous moi. J’embrassai ensuite son sexe à sa racine, remontai le long de la hampe en respirant profondément son odeur : un mélange dense de sel, de mer, de chair chaude et de désir brûlant. Je le pris en bouche lentement, sans précipitation, savourant sa texture ferme et tendre, la tension incroyable de son excitation qui pulsait contre ma langue.Tout en le prenant profondément, je glissai un doigt en lui avec lenteur, découvrant la chaleur et la douceur de cette chair vivante, encore humide de ma semence. Lorsqu’il sentit mon doigt effleurer sa prostate, tout son corps se mit à trembler. Sa verge pulsa contre mon palais, sa respiration devint sifflante et ses hanches se soulevèrent dans un rythme presque désespéré.Ses mains vinrent se poser sur ma tête, non pas pour me guider mais pour me sentir, pour vérifier que je n’étais pas un rêve. J’entendis mon prénom s’échapper de sa gorge, rauque, brisé, comme un souffle arraché au plus profond. J’alternai des mouvements lents et profonds, qui le faisaient gémir longuement, avec des caresses rapides de ma langue sur la couronne de son gland, en titillant le bourrelet, savourant sa chaleur comme un fruit précieux et rare.Ses hanches ondulaient sous mes caresses, ses abdominaux se contractant à chaque succion. Je glissai ma main sur ses testicules, les massant et les faisant rouler avec une infinie douceur. Il poussa un long feulement, qui s’acheva en halètements rapides, presque animaux. Ses jambes se mirent à trembler.Je sus qu’il approchait de la jouissance. Il se redressa sur un coude, posa sa main sur ma joue, m’obligea à lever les yeux. Son regard me traversa comme une flèche : gratitude, abandon, amour brut. Puis il bascula la tête en arrière, son corps se tendit de tout son long, et je le sentis jouir dans ma bouche, par giclées puissantes et généreuses, dans un râle si profond, si brûlant, qu’il fit vibrer tout mon être jusqu’à la racine de mes cheveux.Je restai ainsi à l’accueillir, le ...

... Log in to read the end of this erotic story | 100% free registration


Keywords : 100% lived story, Gay