C’était une journée très chaude et ensoleillée. J’étais à la plage de La Lède, sur la côte atlantique, près de La Palmyre.J’avais choisi cette plage naturiste pour profiter au mieux du soleil sur ma peau toute lisse, bien épilée partout, surtout aux endroits intimes. J’aime me sentir tout lisse, et parfois simplement me toucher quand je suis bien épilé suffit à m’exciter : je passe ma main sur mes couilles toutes lisses, et je descends vers mon petit œillet tout lisse lui aussi, ce qui provoque une belle érection, et alors très souvent je me masturbe un peu juste pour la plaisir d’arriver proche de la jouissance, mais sans y succomber.Je cherche un endroit sympathique, c’est-à-dire un emplacement avec une belle vue sur la plage, mais surtout un emplacement qui me permettra d’être vu par certains passants, sans qu’ils se montrent trop. Je sais par expérience que certains voyeurs préfèrent rester un peu en retrait pour se masturber en toute discrétion, en regardant en douce. Je dois dire que j’adore sentir le regard des voyeurs, et que je suis excité à l’idée d’offrir la vue de ma croupe et de ma rondelle, et encore plus en les voyant bander et s’astiquer en me regardant. Lorsque je détecte un voyeur excité dans les parages, je prends des poses lascives pour bien m’exhiber à son regard. Je peux par exemple me mettre à quatre pattes en cherchant ma crème solaire dans mon sac, puis je me penche bien en avant en faisant semblant de chercher plus profond, pour exposer encore plus mes fesses. Quand je sens mes fesses s’écarter un peu et que je dévoile ainsi ma rondelle toute lisse, je sais que cette vue peut augmenter le plaisir du voyeur en trains de se branler le manche.Or justement, je m’aperçois qu’un homme passe en regardant bien vers moi, alors que je suis allongé sur le dos, ma queue en demi-érection profitant du soleil pas encore trop fort. Je me dis que c’est bon moment pour m’enduire de crème solaire, en fouillant dans mon sac. Je me penche donc à quatre pattes, en écartant bien les genoux pour que mes fesses s’ouvrent au maximum et découvrent ma petite rondelle toute rose et encore serrée. Je vois du coin de l’œil que mon spectateur s’est arrêté et qu’il commence à glisser sa main vers son entrejambe en regardant aux alentours pour être certain de ne pas être dérangé. Très bien. Je me badigeonne alors de crème, en laissant bien ma main glisser sur mes fesses, en les pétrissant, comme s’il le faisait lui à distance. Je vois l’effet sur sa queue qui commence à gonfler. J’adore ça : voir une queue prendre de belles proportions et devenir bien raide. Quel plaisir visuel ! C’est le cas maintenant. Il bande, pas encore complètement dur, mais se touche et s’astique la bite de manière visible en me regardant. Je passe ma main sur mes couilles, et je remonte sur ma queue qui se durcit aussi. Je vois qu’il a une belle bite assez épaisse pour me combler, et un beau gland bien large et arrondi. Il bande dur maintenant et s’astique bien en s'étant un peu rapproché de moi. Depuis la plage, il est un peu caché par le monticule de sable qui forme une mini-dune, et à l’ombre de quelques arbustes. Je lui fais signe de la main de s’approcher encore plus, en lui souriant pour l’encourager.Il vient alors jusqu’à ma serviette et, sans un mot, j’empoigne son gourdin à pleines mains. J’observe sa tige avec gourmandise, et je lève alors les yeux vers son visage que j’apprécie aussi. C’est un homme dans la cinquantaine, assez grand et large d’épaules. Il est bien bâti et a une belle queue épaisse comme j’aime. A genoux, je penche alors la tête vers ce magnifique bâton érigé, et je lèche son gland doucement d’abord. Il m’encourage en m’appuyant une main sur la tête, sans me brusquer. Je m’enhardit en engloutissant alors son manche dans ma bouche me régalant de son odeur de mâle excité. Il a un peu de mouille sur son gland, et je déguste en le suçant du mieux possible. Ma bouche s’ouvre grand, mais je ne peux pas le contenir sur toute sa longueur. Je me content de bien lui sucer le gland, en mettant ma main sur sa hampe bien raide. Je le branle avec ma bouche et ma main, et je le regarde de temps en temps dans les yeux, pour suivre son plaisir exprimé par de petits halètements et lui faire comprendre que je suis soumis à sa queue.Excité et bandant dur moi aussi, je continue quelques instants cette pipe savoureuse, avant de passer à ce qui m’intéresse encore plus. Je me retourne alors et je lui montre une capote que j’avais sortie pour un tel cas. Il comprend aussitôt et, toujours sans parler, se dépêche d’enfiler la protection. Pendant ce temps très court, je m’enduis la rondelle de gel, et je m’enfile même un, puis deux doigts pour bien me préparer à ce qui va suivre. Je me mets à quatre pattes, le dos bien cambré, la tête penchée en avant, posée sur ma serviette, et j’écarte mes fesses avec mes mains pour lui montrer mon œillet luisant de gel. Il vient contre moi, et frotte son gland encapuchonné de plastique contre mon anus. Mmm… Cette sensation est comme les prémices des sensations qui suivront, et je gémis déjà de le sentir appuyer tout doucement son gland sur ma rondelle. Je m’impatiente, et ma rondelle s’ouvre progressivement alors qu’il pousse de plus en plus jusqu’à glisser entièrement son gland en me dilatant d’un coup. Je ne peux m’empêcher de pousser un râle de plaisir en le sentant me pénétrer et en ressentant une vague de plaisir à l’intérieur de mon petit trou élastique. Il me laisse quelques secondes, mais je recule les fesses pour bien m’embrocher sur sa matraque, que je sens bien dure, et je gémis de plus belle en m’empalant de plus en plus.Je suis maintenant bien rempli par son membre rigide, et je me branle ma queue qui est bien gonflée. Je m’astique le gland moi aussi et je l’encourage à faire des va-et-vients en lui disant et en remuant ma c ...

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