rJe m’appelle Léo, 31 ans, corps sec et musclé, cul rasé toujours prêt à l’emploi. Depuis des années, je connais le spot parfait entre La Motte-Servolex et l’aire de repos du Bourget-du-Lac : ce minuscule parking de la voie verte, juste une poignée de places, une piste cyclable qui file dans le noir, pas de toilettes, pas de lampadaires, juste la lune et les phares des voitures qui passent au loin sur l’autoroute. C’est là que les mecs en chaleur se retrouvent la nuit, surtout les jours fériés quand tout le monde est saoul et que les inhibitions ont disparu.Le 1er janvier, vers 1h30 du matin, j’arrive en voiture, toutes lumières éteintes. Il fait -3 °C, mais l’excitation me chauffe déjà. Je me gare au fond, près des arbres. Il y a déjà trois voitures garées, moteurs coupés, vitres embuées. Je sors, capuche relevée, jogging gris qui moule bien mon cul bombé, et je fais mine de pisser contre un tronc pour montrer que je suis dispo.Premier mec, 5 minutes après : un grand Black d’environ 40 ans, costard-cravate défait, il sort d’une Audi A6. Il s’approche direct, baisse sa braguette et sort une queue énorme, 24 cm facile, noire, raide, qui claque contre sa cuisse. Sans un mot, il me plaque contre le capot encore chaud de ma voiture, baisse mon jogging d’un coup sec et crache dans sa main. Je sens son gland large pousser contre mon trou, déjà lubrifié par le gel que j’ai mis avant de partir. Il entre d’un coup, jusqu’aux couilles, et me défonce en silence, juste le bruit de ses hanches qui claquent contre mes fesses et mon souffle qui fait de la buée. Il me tient par la gorge, me traite de « petite pute du Nouvel An » et jouit en moi en moins de trois minutes, des jets chauds qui me remplissent. Il remonte sa bite, referme sa portière et disparaît.Je reste plié en deux sur le capot, le sperme qui coule le long de mes cuisses, quand une deuxième voiture s’approche, phares éteints. Deux mecs en sortent : un roumain baraqué, la trentaine, chemise ouverte sur un torse poilu, et son pote, un maghrébin trapu avec une casquette. Ils me voient, rigolent, et me font signe de venir vers eux, côté forêt. Je les suis dans l’obscurité, à 20 mètres du parking. Le roumain me baisse le jogging jusqu’aux chevilles, me met à quatre pattes sur l’herbe gelée. Le maghrébin sort une bite épaisse, circoncise, 20 cm bien large, et me l’enfonce direct dans la gorge pendant que son pote me prend par derrière. Ils se relayent toutes les 30 secondes : un dans la bouche, l’autre dans le cul, sans capote, sans douceur. Je bave, je gémis, mon trou fait des bruits obscènes à chaque retrait. Le roumain finit le premier, me remplissant une deuxième f ...
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