Tout juste majeur, c’était l’une des premières fois que je m’aventurais dans l’une de ces backrooms déguisées en cinéma permanent. La salle sentait la javel et le sperme, auxquels se mêlaient des relents de sueur et d’après-rasage bon marché. La clientèle entièrement masculine occupaient à intervalles réguliers les banquettes de moleskines tâchées et usées qui s’alignaient face à l’écran sur lequel un projecteur vidéo plaquaient les images crues d’un porno mainstream. Tout autour de cet espace central, alignées contre les murs, des cabines vidéos accueillaient les nouveaux venus qui, avec leur entrée, bénéficiaient de 20 minutes de zap sur plusieurs dizaines de films de tous genres. Je m’installai dans l’une d’elles et glissai mon jeton dans le monnayeur pour lancer la vidéo, laissant la porte entr’ouverte afin de signaler ma disponibilité.Après un rapide parcours sur les différents canaux, je fixai mon choix sur une très belle scène de fellation : une brunette agenouillée, les seins nus, se régalait d’une bite énorme qu’elle parvenait tout de même avec une aisance déconcertante, à engloutir jusqu’à la base. M’imaginant à la place de cette suceuse experte, je sentis vite monter l’excitation. C’est à ce moment qu’un mec s’est glissé dans l’entrebâillement de la porte, sa queue déjà raide à la main. Sans atteindre les dimensions spectaculaires de celle de la vidéo, elle était d’un bon calibre, longue et épaisse, la verge veinée lui donnait un aspect encore plus massif, dont se détachait le gland rosé, luisant, qui s’allongeait à son extrémité. Plongeant son regard dans mes yeux, il m’a demandé si j’aimais comment cette fille suçait. J’ai acquiescé, alors il m’a demandé si ça me dirait de lui faire la même chose. Comme je disais que oui, il a repris pour me dire de m’agenouiller et d’enlever mon t-shirt. Une fois que j’étais torse nu, ses doigts ont glissé sur mes tétons, et il a bloqué un instant avant de me demander si j’aimais me faire faire les tétons. Devant mon air interloqué, il a entrepris de m’expliquer : d’après lui j’avais de « superbes tétons de petite fille », et il avait envie de s’en occuper, de les caresser, de les pincer et de leur faire tout un tas de choses qui d’après lui ne pouvaient que me procurer beaucoup de plaisir. Après avoir vérifié leur sensibilité d’une caresse furtive qui me surprit par l’intensité du frisson qui en résulta, il me dit que si j’étais d’accord, je n’avais qu’à lui dire d’arrêter s’il allait trop loin. J’ai accepté d’essayer.Il s’est assis sur le siège devant l’écran, moi toujours à genoux devant lui, le dos tourné à la fille qui continuait à gober goulûment de la bite. Tout en glissant ses doigts sur ma poitrine, il m’a dit de sucer. J’ai arrondi mes lèvres autour de sa verge épaisse, sentant son gland glisser sur ma langue et e remplir la bouche. J’ai vite commencé à gémir doucement en allant doucement de haut en bas de sa queue, encouragé par les mouvements agiles et rapides de ses doigts sur mes petits bouts qui se redressaient et qu’il faisait rouler entre ses phalanges en produisant des frissons de plaisir qui me parcouraient l’échine. Dans un accord improvisé, ses caresses se faisaient plus insistantes à mesure que mes lèvres descendaient plus bas sur son sexe tendu. Pinçant la base entre deux doigts, il excitait le bout de la pulpe du pouce tandis que son gland venait buter contre ma glotte, m’emplissant la bouche de salive que j’expulsais dans un mélange de râle rauque et de petits cris de jouissance. Quand enfin je parvins faire glisser sa grosse bite au fond de ma gorge, ses ongles se refermèrent sur l’extrémité de mes tétons, m’arrachant un cri de douleur étouffé par les allées et venues de sa queue contre mes amygdales. Mais la douleur céda vite le pas à une forme de plaisir plus intense encore, qui renforçait celui que provoquait les étouffements temporaires fruits du séjour de son gland au fond de ma gorge maintenant largement ouverte. Je bandais raide dans mon caleçon et en extirpait mon sexe pour me branler pendant que je continuais à dévorer avidement sa queue. Me sentant réceptif, il monta encore d’un cran et se mit à les tordre tout en les pinçant, une nouvelle gradation dans la douleur et le plaisir m’obligea à me retenir de jouir immédiatement.Soudain, il s’interrompit, et recommença à me titiller les bouts de l’extrémité des doigts, me jetant dans une transe telle que je dus arrêter de sucer un moment, me rabattant sur ses couilles que je léchai délicatement en exhalant ma jouissance en long gémissements qui étaient un appel à plus encore. Lâchant un instant mon téton gauche, il m’attrapa par les cheveux pour me remonter vers sa bite en disant : « Vas-y, suce ! » Sa bite un peu ramollie glissa vite au fond de ma gorge, au moment ou ses ongles saisirent la base de mes tétons pour les pincer en tirant et en tordant, provoquant un nouveau cri étouffé de souffrance et de jouissance mêlée. Sa queue redevint vite très dure dans ma bouche, si dure que je peinais à l’avaler entièrement. Je la sentis vibrer entre mes lèvres, puis se gonfler et se dégonfler alternativement, déposant son offrande de semence abondante et épaisse au fond de ma gorge, à l’instant même ou une nouvelle torsion de mes p ...

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