Je suis accro aux plans en extérieur, et les aires d’autoroute sont devenues mon terrain de jeu favori. En tant que commercial, je passe ma vie sur la route, et ces endroits, avec leurs sanitaires modernes et leurs espaces verts impeccablement entretenus, sont parfaits pour assouvir mes pulsions. Les aires sans station-service, plus discrètes, sont mes cibles privilégiées. J’ai appris à repérer celles où ça baise, où l’adrénaline et la luxure se mêlent dans l’air.En journée, c’est un rituel bien rodé. Je gare ma caisse, descends et scrute les alentours, jetant des regards appuyés aux mecs qui traînent. Direction les sanitaires, je me plante devant un urinoir, baisse ma braguette bien large et sors ma queue, déjà à moitié dure. J’attends, provocant, exhibant mes attributs. Si un mec est intéressé, il s’approche en moins d’une minute, se place à côté et commence à se branler ostensiblement. Pas de chichi : je demande direct s’il est actif ou passif. S’il est actif, je file dans la cabine pour handicapés – plus spacieuse, parfaite pour l’action. Je laisse la porte entrouverte, fais mine de pisser, pantalon baissé jusqu’aux chevilles, mes fesses musclées bien en évidence, bombées pour exciter. Un mec finit toujours par entrer, verrouille derrière lui et sort sa bite, déjà raide.Selon l’humeur et la chaleur, je vais plus loin. Parfois, je me fous à poil, laissant mon corps athlétique – torse sculpté, abdos dessinés, cuisses épaisses – à nu sous la lumière crue des néons. Je me mets à quatre pattes, suce goulûment, ma langue glissant sur leur gland, leurs veines pulsantes. Certains me prennent direct, m’enfilant avec force, leurs coups de reins faisant claquer mes fesses. Le mec jouit, grogne et se barre. S’il y a du monde, je recommence, enchaînant les queues, mon cul offert, trempé de sueur et de désir. Chaque rencontre est brute, anonyme et m’enflamme. La nuit, c’est une autre vibe, plus sauvage. Je choisis un hôtel près d’une aire chaude, comme celles entre Orange Nord et Orange Sud, connues pour leurs plans torrides à toute heure. Je me mets en tenue de sport – jogging moulant, t-shirt serré – facile à virer. Ces aires sont vastes, avec des tables de pique-nique en bois, idéales pour s’abandonner. Je me trouve un coin sombre, loin des lampadaires, et me désape complètement. Nu, ma peau luit sous la lune, mon sexe durci par l’excitation, mon cul prê ...
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